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Auktionsarchiv: Los-Nr. 378

Ex-musée Schlumpf Lamborghini Miura P400 S coupé 1968

Schätzpreis
1.200.000 € - 1.400.000 €
ca. 1.471.666 $ - 1.716.944 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Auktionsarchiv: Los-Nr. 378

Ex-musée Schlumpf Lamborghini Miura P400 S coupé 1968

Schätzpreis
1.200.000 € - 1.400.000 €
ca. 1.471.666 $ - 1.716.944 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Beschreibung:

Carrosserie Bertone Châssis n° 3474 •Dans la collection Schlumpf pendant 12 ans •Aux mains du même propriétaire pendant 25 ans •Entièrement d'origine « Mais prenez du recul pendant un instant et cherchez ce qui rend la Miura si spéciale. En 1966 il n'y avait rien de comparable. Seules les voitures de compétition et la discrète petite Bonnet/Matra Djet française proposaient un moteur central. La principale routière de Ferrari était la très traditionnelle 275 GTB à moteur avant. Aussi, lorsque le magnat du tracteur agricole Ferruccio Lamborghini lui ravit la vedette au Salon de Genève avec la Miura, le public fut autant surpris par l'audacieuse disposition de sa mécanique que par la modernité de son style et son incroyable beauté.» – Classic Cars, juillet 2004. L'audacieux défi de Ferruccio Lamborghini à l'encontre de Ferrari avait commencé en 1964 avec la 350 GT, mais c'est l'arrivée de la Miura – sans conteste la pionnière des supercars – qui installa Lamborghini comme l'un des principaux constructeurs de sportives haut de gamme. Avant les débuts officiels du modèle au Salon de Genève en 1966, les automobiles Lamborghini étaient respectées pour leurs impressionnantes caractéristiques techniques, mais elles manquaient un peu de personnalité. Tout changea avec la Miura, baptisée du nom de Don Eduardo Miura, un éleveur de taureau de combat réputé. Le projet Miura avait vu le jour sous forme d'un châssis roulant exposé au Salon de Turin en 1965, mais personne ne s'attendait à ce qu'il soit mis en production. Pourtant, au moment du Salon Genève l'année suivante, la première voiture terminée était dévoilée à la presse et à un publique stupéfaits. Les caractéristiques techniques de la voiture étaient à couper le souffle par leur sophistication et leur complexité. Conçue par Gianpaolo Dallara, la Miura recevait un moteur central monté transversalement dans un châssis à caisson, ce dernier habillé d'une carrosserie stupéfiante dessinée par Marcello Gandini chez Bertone. Comme la 400 GT contemporaine, la Miura faisait appel à la version 4 litres du V12 à quatre arbres à cames en tête Lamborghini conçu par Giotto Bizzarrini. Avec ses 350 ch, la Miura offrait des performances éblouissantes, une vitesse de pointe de 290 km/h étant revendiquée. Les exemplaires de série étaient régulièrement chronométrés à plus de 270, confirmant que la Miura était la plus rapide voiture de série du monde. Au début de 1968, après la 125e voiture, l'épaisseur de la tôle d'acier utilisé pour le châssis fut portée de 0, 9 mm à 1 mm, tandis qu'à partir d'avril de la même année, les clients pouvaient demander un intérieur en cuir. La production de la P400 originale prit fin plus tard dans l'année 1968 lorsque son héritière la version S fut dévoilée, alors que plus de 470 de ces magnifiques automobiles avaient déjà été construites. Equipée de la carrosserie numéro 177, le châssis numéro 3474 a été achevé en avril 1968 peint en bleu métallisé avec intérieur moutarde et fut livré en Italie par le concessionnaire Carpanelli. L'historien de Lamborghini et président du club Lamborghini de Belgique, Olivier Namèche, nous informe que 3474 a été accidenté peu de temps après sa livraison et a été retourné à l'usine Lamborghini. La voiture étant irréparable, Lamborghini suggéra de fournir une Miura P400 S avec le même numéro de châssis que la Miura P400 originale (accidenté), évitant ainsi à leur client de payer un montant considérable en taxes. La voiture reçut également une nouvelle carrosserie Bertone de P400 S (numéro 476) tandis que le moteur d'origine (numéro 1896) de la P400 était transféré sur la nouvelle voiture qui fut peinte en Giallo (jaune) avec intérieur bleu, la livrée qu'elle conserve encore aujourd'hui. Il se trouve que la Miura de Johnny Hallyday (châssis 3006), la première P400 livrée en France, a elle aussi reçu un châssis et une carrosserie de Miura S de rechange. Cette voiture, qui fut achetée pense-t-on par un collectionneur particulier italien, fut l

Auktionsarchiv: Los-Nr. 378
Auktion:
Datum:
08.02.2018
Auktionshaus:
Bonhams London
Paris, The Grand Palais The Grand Palais Avenue Winston Churchill 75008 Paris Tel: +33 (0)1 42 61 10 10 Fax : +33 (0)1 42 61 10 15 paris@bonhams.com
Beschreibung:

Carrosserie Bertone Châssis n° 3474 •Dans la collection Schlumpf pendant 12 ans •Aux mains du même propriétaire pendant 25 ans •Entièrement d'origine « Mais prenez du recul pendant un instant et cherchez ce qui rend la Miura si spéciale. En 1966 il n'y avait rien de comparable. Seules les voitures de compétition et la discrète petite Bonnet/Matra Djet française proposaient un moteur central. La principale routière de Ferrari était la très traditionnelle 275 GTB à moteur avant. Aussi, lorsque le magnat du tracteur agricole Ferruccio Lamborghini lui ravit la vedette au Salon de Genève avec la Miura, le public fut autant surpris par l'audacieuse disposition de sa mécanique que par la modernité de son style et son incroyable beauté.» – Classic Cars, juillet 2004. L'audacieux défi de Ferruccio Lamborghini à l'encontre de Ferrari avait commencé en 1964 avec la 350 GT, mais c'est l'arrivée de la Miura – sans conteste la pionnière des supercars – qui installa Lamborghini comme l'un des principaux constructeurs de sportives haut de gamme. Avant les débuts officiels du modèle au Salon de Genève en 1966, les automobiles Lamborghini étaient respectées pour leurs impressionnantes caractéristiques techniques, mais elles manquaient un peu de personnalité. Tout changea avec la Miura, baptisée du nom de Don Eduardo Miura, un éleveur de taureau de combat réputé. Le projet Miura avait vu le jour sous forme d'un châssis roulant exposé au Salon de Turin en 1965, mais personne ne s'attendait à ce qu'il soit mis en production. Pourtant, au moment du Salon Genève l'année suivante, la première voiture terminée était dévoilée à la presse et à un publique stupéfaits. Les caractéristiques techniques de la voiture étaient à couper le souffle par leur sophistication et leur complexité. Conçue par Gianpaolo Dallara, la Miura recevait un moteur central monté transversalement dans un châssis à caisson, ce dernier habillé d'une carrosserie stupéfiante dessinée par Marcello Gandini chez Bertone. Comme la 400 GT contemporaine, la Miura faisait appel à la version 4 litres du V12 à quatre arbres à cames en tête Lamborghini conçu par Giotto Bizzarrini. Avec ses 350 ch, la Miura offrait des performances éblouissantes, une vitesse de pointe de 290 km/h étant revendiquée. Les exemplaires de série étaient régulièrement chronométrés à plus de 270, confirmant que la Miura était la plus rapide voiture de série du monde. Au début de 1968, après la 125e voiture, l'épaisseur de la tôle d'acier utilisé pour le châssis fut portée de 0, 9 mm à 1 mm, tandis qu'à partir d'avril de la même année, les clients pouvaient demander un intérieur en cuir. La production de la P400 originale prit fin plus tard dans l'année 1968 lorsque son héritière la version S fut dévoilée, alors que plus de 470 de ces magnifiques automobiles avaient déjà été construites. Equipée de la carrosserie numéro 177, le châssis numéro 3474 a été achevé en avril 1968 peint en bleu métallisé avec intérieur moutarde et fut livré en Italie par le concessionnaire Carpanelli. L'historien de Lamborghini et président du club Lamborghini de Belgique, Olivier Namèche, nous informe que 3474 a été accidenté peu de temps après sa livraison et a été retourné à l'usine Lamborghini. La voiture étant irréparable, Lamborghini suggéra de fournir une Miura P400 S avec le même numéro de châssis que la Miura P400 originale (accidenté), évitant ainsi à leur client de payer un montant considérable en taxes. La voiture reçut également une nouvelle carrosserie Bertone de P400 S (numéro 476) tandis que le moteur d'origine (numéro 1896) de la P400 était transféré sur la nouvelle voiture qui fut peinte en Giallo (jaune) avec intérieur bleu, la livrée qu'elle conserve encore aujourd'hui. Il se trouve que la Miura de Johnny Hallyday (châssis 3006), la première P400 livrée en France, a elle aussi reçu un châssis et une carrosserie de Miura S de rechange. Cette voiture, qui fut achetée pense-t-on par un collectionneur particulier italien, fut l

Auktionsarchiv: Los-Nr. 378
Auktion:
Datum:
08.02.2018
Auktionshaus:
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Paris, The Grand Palais The Grand Palais Avenue Winston Churchill 75008 Paris Tel: +33 (0)1 42 61 10 10 Fax : +33 (0)1 42 61 10 15 paris@bonhams.com
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