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Auktionsarchiv: Los-Nr. 320

Autrefois propriété du collectionneur bien connu Eugène Segers De Dion-Bouton Type AX 15 HP double berline 1908

Schätzpreis
90.000 € - 110.000 €
ca. 110.375 $ - 134.902 $
Zuschlagspreis:
184.000 €
ca. 225.655 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 320

Autrefois propriété du collectionneur bien connu Eugène Segers De Dion-Bouton Type AX 15 HP double berline 1908

Schätzpreis
90.000 € - 110.000 €
ca. 110.375 $ - 134.902 $
Zuschlagspreis:
184.000 €
ca. 225.655 $
Beschreibung:

Carrosserie Roussille & Fils, Bergerac Châssis N° 379 •Majestueuse survivance d'un dessin de carrosserie classique •Historique des propriétaires limpide •Restauration ancienne soignée avec intérieur d'origine •Historique des voyages longue distance Bien que ce soit Karl Benz qui ait rendu l'automobile viable avec son primitif moteur à régime lent et ses différents modèles, ils furent aussitôt abandonnés lorsque Panhard dévoila son Système Panhard, un concept qui allait façonné l'industrie automobile au cours du siècle suivant, et quand De Dion-Bouton présenta ses premiers moteurs à haut régime, dans la dernière décennie du XIXe siècle. Les première De Dion-Bouton à moteur arrière cédèrent la place à une nouvelle génération de voitures à moteur avant pour le millésime 1902, des modèles monocylindres utilisant toujours des soupapes d'admission atmosphériques et des soupapes d'échappement mécaniques. La boîte de vitesses De Dion, destinée aux premiers conducteurs, était conçue pour les débutants, le moteur à haut régime était très fiable et le réseau et le service après-vente De Dion étaient de premier ordre. Mais comme avec toute technologie moderne, les choses évoluaient rapidement et la marque devait suivre le mouvement. Au tournant de 1904/1905 un quatre cylindres en ligne était proposé, tout simplement constitué de quatre blocs-cylindres greffés sur le même vilebrequin. Puis le radiateur fut placé au-dessus du châssis, selon la mode initiée par Mercedes, entrainant la disparition du capot dit « alligator » ou « seau à charbon ». La boîte de vitesses suivait également la mode et faisait appel à un mécanisme de contrôle latéral au moment où De Dion engagea son équipe dana le Pékin-Paris en 1907. Le modèle AX, comme celui proposé ici, représente la première évolution de la quatre cylindre originale dévoilée sur un châssis légèrement plus long et plus robuste avec un allumage par magnéto. En châssis nu, elle coûtait 11 500 Francs, plus du double de la monocylindre qui était toujours au catalogue, auxquels il fallait raisonnablement ajouter 40 à 50% de plus pour une carrosserie classique. Comme on peut en juger par l'éclectisme de sa collection, Jacques Vander Stappen montrait un grand intérêt dans le dessin des carrosseries, particulièrement celles des débuts, lorsqu'elles passèrent de l'hippomobile et du wagon de chemin de fer à l'automobile. La De Dion-Bouton présentée ici est l'une des rares survivantes, toutes marques confondues, faisant appel à une carrosserie « double berline » qui doit plus aux chemins de fer qu'à l'automobile et devait littéralement son nom au fait qu'elle était composée de deux carrosseries en tandem perchées sur le châssis. Les deux habitacles étaient indépendants, séparés par une cloison fixe. La plus connue des survivantes a arborer ce style est probablement la fameuse Rolls-Royce « Corgi », vendue un prix record par Bonhams en 2012, mais qui différait par ses compartiments intérieures non séparés. Une autre a survécu sur une Silver Ghost construite par Fuller de Bath, il y en a une autre au musée Mercedes-Benz sur une 60 HP et, bien sûr, Bugatti a copié ce style en version découverte sur l'une de ses Royale, mais il en existe certainement bien peu d'autres. La royale De Dion Bouton proposée ici est un exemplaire moins connu qui a résidé en Europe continentale toute sa vie. On sait peu de choses de son carrossier, Roussille & Fils de Bergerac, ni pour qui il a construit cette pièce majestueuse, mais il s'agit en tout état de cause d'une magnifique automobile qui devait déjà être un monument à son époque. Compte tenu de l'état de son intérieur, il est clair qu'elle fut peu utilisée et on sait, grâce à la documentation au dossier, que quelle qu'ait été la date de sa commande, elle fut posée relativement tôt, intacte jusqu'à ce qu'elle soit découverte au début des années 1960 par le collectionneur bien connu Eugène Segers. Des photos montrent la voiture reposant dans une grange en France, puis sa méticu

Auktionsarchiv: Los-Nr. 320
Auktion:
Datum:
08.02.2018
Auktionshaus:
Bonhams London
Paris, The Grand Palais The Grand Palais Avenue Winston Churchill 75008 Paris Tel: +33 (0)1 42 61 10 10 Fax : +33 (0)1 42 61 10 15 paris@bonhams.com
Beschreibung:

Carrosserie Roussille & Fils, Bergerac Châssis N° 379 •Majestueuse survivance d'un dessin de carrosserie classique •Historique des propriétaires limpide •Restauration ancienne soignée avec intérieur d'origine •Historique des voyages longue distance Bien que ce soit Karl Benz qui ait rendu l'automobile viable avec son primitif moteur à régime lent et ses différents modèles, ils furent aussitôt abandonnés lorsque Panhard dévoila son Système Panhard, un concept qui allait façonné l'industrie automobile au cours du siècle suivant, et quand De Dion-Bouton présenta ses premiers moteurs à haut régime, dans la dernière décennie du XIXe siècle. Les première De Dion-Bouton à moteur arrière cédèrent la place à une nouvelle génération de voitures à moteur avant pour le millésime 1902, des modèles monocylindres utilisant toujours des soupapes d'admission atmosphériques et des soupapes d'échappement mécaniques. La boîte de vitesses De Dion, destinée aux premiers conducteurs, était conçue pour les débutants, le moteur à haut régime était très fiable et le réseau et le service après-vente De Dion étaient de premier ordre. Mais comme avec toute technologie moderne, les choses évoluaient rapidement et la marque devait suivre le mouvement. Au tournant de 1904/1905 un quatre cylindres en ligne était proposé, tout simplement constitué de quatre blocs-cylindres greffés sur le même vilebrequin. Puis le radiateur fut placé au-dessus du châssis, selon la mode initiée par Mercedes, entrainant la disparition du capot dit « alligator » ou « seau à charbon ». La boîte de vitesses suivait également la mode et faisait appel à un mécanisme de contrôle latéral au moment où De Dion engagea son équipe dana le Pékin-Paris en 1907. Le modèle AX, comme celui proposé ici, représente la première évolution de la quatre cylindre originale dévoilée sur un châssis légèrement plus long et plus robuste avec un allumage par magnéto. En châssis nu, elle coûtait 11 500 Francs, plus du double de la monocylindre qui était toujours au catalogue, auxquels il fallait raisonnablement ajouter 40 à 50% de plus pour une carrosserie classique. Comme on peut en juger par l'éclectisme de sa collection, Jacques Vander Stappen montrait un grand intérêt dans le dessin des carrosseries, particulièrement celles des débuts, lorsqu'elles passèrent de l'hippomobile et du wagon de chemin de fer à l'automobile. La De Dion-Bouton présentée ici est l'une des rares survivantes, toutes marques confondues, faisant appel à une carrosserie « double berline » qui doit plus aux chemins de fer qu'à l'automobile et devait littéralement son nom au fait qu'elle était composée de deux carrosseries en tandem perchées sur le châssis. Les deux habitacles étaient indépendants, séparés par une cloison fixe. La plus connue des survivantes a arborer ce style est probablement la fameuse Rolls-Royce « Corgi », vendue un prix record par Bonhams en 2012, mais qui différait par ses compartiments intérieures non séparés. Une autre a survécu sur une Silver Ghost construite par Fuller de Bath, il y en a une autre au musée Mercedes-Benz sur une 60 HP et, bien sûr, Bugatti a copié ce style en version découverte sur l'une de ses Royale, mais il en existe certainement bien peu d'autres. La royale De Dion Bouton proposée ici est un exemplaire moins connu qui a résidé en Europe continentale toute sa vie. On sait peu de choses de son carrossier, Roussille & Fils de Bergerac, ni pour qui il a construit cette pièce majestueuse, mais il s'agit en tout état de cause d'une magnifique automobile qui devait déjà être un monument à son époque. Compte tenu de l'état de son intérieur, il est clair qu'elle fut peu utilisée et on sait, grâce à la documentation au dossier, que quelle qu'ait été la date de sa commande, elle fut posée relativement tôt, intacte jusqu'à ce qu'elle soit découverte au début des années 1960 par le collectionneur bien connu Eugène Segers. Des photos montrent la voiture reposant dans une grange en France, puis sa méticu

Auktionsarchiv: Los-Nr. 320
Auktion:
Datum:
08.02.2018
Auktionshaus:
Bonhams London
Paris, The Grand Palais The Grand Palais Avenue Winston Churchill 75008 Paris Tel: +33 (0)1 42 61 10 10 Fax : +33 (0)1 42 61 10 15 paris@bonhams.com
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