Michel MACRÉAU (1935-1995)
Cimetière abandonné un jour de pleine lune, 1988
Acrylique sur panneau.
Monogrammée et datée en bas à droite.
Signée, datée et titrée au dos.
242 x 122 cm
Bibliographie :
- Bernard Lamarche-Vadel, Jacques Martineau, Macréau, trente ans de peinture, Galerie Jacques Barbier-Caroline Beltz, Paris, 1989, reproduit p. 65.
- Macréau, Paris, Éditions Nicolas Deman, 2015, reproduit p. 161.
Un certificat de Monsieur Jean-Dominique Jacquemond pourra être remis à la charge de l’acquéreur.
Nous remercions Monsieur Jean-Dominique Jacquemond pour les informations qu’il nous a transmises.
Face à cette œuvre, on ne peut que regretter que Michel Macréau, élève du fresquiste Lesdounit, ne reçut de commande pour réaliser des peintures murales.
Pendant des années, l’artiste qui me parlait d’art roman garda dans son atelier des peintures « Projet pour une chapelle ».
Dans sa dernière rétrospective, la ville de Bourges mit à ma disposition la chapelle désaffectée du Bon Pasteur où cet ensemble fut présenté. Un film de Nada Chalhoub « épanchement de ligne » restera le seul témoignage de cette installation éphémère.
Michel Macréau ne put la voir, son corps sous les draps avait pris l’apparence d’un gisant.
Jean-Dominique Jacquemond, mai 2023
Michel MACRÉAU (1935-1995)
Cimetière abandonné un jour de pleine lune, 1988
Acrylique sur panneau.
Monogrammée et datée en bas à droite.
Signée, datée et titrée au dos.
242 x 122 cm
Bibliographie :
- Bernard Lamarche-Vadel, Jacques Martineau, Macréau, trente ans de peinture, Galerie Jacques Barbier-Caroline Beltz, Paris, 1989, reproduit p. 65.
- Macréau, Paris, Éditions Nicolas Deman, 2015, reproduit p. 161.
Un certificat de Monsieur Jean-Dominique Jacquemond pourra être remis à la charge de l’acquéreur.
Nous remercions Monsieur Jean-Dominique Jacquemond pour les informations qu’il nous a transmises.
Face à cette œuvre, on ne peut que regretter que Michel Macréau, élève du fresquiste Lesdounit, ne reçut de commande pour réaliser des peintures murales.
Pendant des années, l’artiste qui me parlait d’art roman garda dans son atelier des peintures « Projet pour une chapelle ».
Dans sa dernière rétrospective, la ville de Bourges mit à ma disposition la chapelle désaffectée du Bon Pasteur où cet ensemble fut présenté. Un film de Nada Chalhoub « épanchement de ligne » restera le seul témoignage de cette installation éphémère.
Michel Macréau ne put la voir, son corps sous les draps avait pris l’apparence d’un gisant.
Jean-Dominique Jacquemond, mai 2023
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