Jacques-Louis DAVID (Paris 1748 – Bruxelles 1825) Portrait de Pauline Jeanin Crayon noir 19,5 x 16,5 cm Annoté en bas au centre « Fait de souvenir, David » Légèrement insolé, pliure au centre à droite Le Baron Jeanin (1771 – 1830) est le gendre de David. Il épouse sa fille Pauline David, née en 1786 et décédée en 1870, qui devient donc baronne, tout comme sa sœur jumelle Laure-Emilie qui épouse le Baron Meunier .David peignit les portraits de ses filles en 1812 (l’ un est conservé à San Francisco au Fine Arts Museum et l’autre à Zurich dans la collection d’Oskar Reinhart ) ou l’une comme l’autre porte la même robe et où l’air de famille est saisissant. Le portrait de leur mère en robe blanche et étoffe rouge de 1813 confirme leur filiation. On peut signaler un autre portrait plus tardif en compagnie de sa fille (1821) conservé au Snite Museum of Art (voir P.Rosenberg et L.A Prat, Jacques-Louis David catalogue raisonné des dessins, Leonardo Arte, Mondadori electa Spa, Milan, 2002, tome II, p.376, fig.437, rep.) Notre dessin fait de souvenir reprend de manière générale le la composition du portrait de 1812, en l’enrichissant d’un collier et de boucles d’oreille. Notre dessin fut réalisé au début de son exil bruxellois.
Jacques-Louis DAVID (Paris 1748 – Bruxelles 1825) Portrait de Pauline Jeanin Crayon noir 19,5 x 16,5 cm Annoté en bas au centre « Fait de souvenir, David » Légèrement insolé, pliure au centre à droite Le Baron Jeanin (1771 – 1830) est le gendre de David. Il épouse sa fille Pauline David, née en 1786 et décédée en 1870, qui devient donc baronne, tout comme sa sœur jumelle Laure-Emilie qui épouse le Baron Meunier .David peignit les portraits de ses filles en 1812 (l’ un est conservé à San Francisco au Fine Arts Museum et l’autre à Zurich dans la collection d’Oskar Reinhart ) ou l’une comme l’autre porte la même robe et où l’air de famille est saisissant. Le portrait de leur mère en robe blanche et étoffe rouge de 1813 confirme leur filiation. On peut signaler un autre portrait plus tardif en compagnie de sa fille (1821) conservé au Snite Museum of Art (voir P.Rosenberg et L.A Prat, Jacques-Louis David catalogue raisonné des dessins, Leonardo Arte, Mondadori electa Spa, Milan, 2002, tome II, p.376, fig.437, rep.) Notre dessin fait de souvenir reprend de manière générale le la composition du portrait de 1812, en l’enrichissant d’un collier et de boucles d’oreille. Notre dessin fut réalisé au début de son exil bruxellois.
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