Beschreibung:

Lancée au Salon de Paris de 1976, la 400 GT avait hérité une version 4,8 litres du moteur V12 Ferrari à 4 ACT. La 400 GT qui venait réaffirmer la détermination de Ferrari de concurrencer les plus belles berlines sport du monde avait été conçue pour séduire le client averti et connaisseur qui, auparavant, aurait pu être attiré par Bentley ou Mercedes-Benz. Cette dernière proposition avait fait de l'option boîte automatique une obligation. La transmission choisie – la boîte Hydramatic à trois rapports de GM – était considérée comme la meilleure du monde, utilisée par Cadillac puis par Rolls-Royce et Jaguar, entre autres. La 2+2 de Ferrari, magnifiquement équipée, offrait une suspension arrière indépendante à correction de hauteur, une direction assistée, des glaces électriques et en option l'air conditionné. Malheureusement, après avoir été dotée de l'injection, la 400 GT – devenue 400 GTi – demeura réservée à l'Europe en raison du problème posé par le fait de devoir sacrifier deux voitures aux tests de résistance aux chocs en fonction des normes sécuritaires américaines. À la fin de la période de production de la version finale, la 412 en 1989, la plus belle des 2+2 de Ferrari avait connu une longévité remarquable de 17 ans bien que son exclusivité eût signifié qu'elle fût rarement vendue à plus de 200 unités par an. Vendue neuve au Royaume-Uni via H.R. Owen, cet exemplaire fut acheté par un certain I. Levy qui en prit possession en novembre 1979. Outre le luxe exceptionnel de ses finitions, cette voiture avait l'air conditionné et des feux de position latéraux. Aux mains de M. Levy elle fut entretenue par H.R. Owen puis par Maranello Concessionnaires. On sait qu'elle quitta le Royaume-Uni pour Hong Kong où son entretien fut assuré par IML Hong Kong. Vingt ans plus tard, la Ferrari revint au Royaume-Uni aux mains de l'actuel vendeur. Le dossier contient les documents attestant ces informations et ce suivi ainsi que les travaux d'entretien effectué par le propriétaire depuis deux décennies. L'état de la voiture est celui d'une voiture de 30 ans, avec des traces d'usure de la peinture, un intérieur défraîchi et des cuirs fendillés, mais pas déchirés. C'est une Ferrari abordable et en état de marche. Launched at the 1976 Paris Salon, the 400GT had acquired a 4.8-litre version of Ferrari's four-cam V12 engine but otherwise differed from its 365GT/4 2+2 predecessor only in detail. The 400GT re-affirmed Ferrari's determination to compete with the world's finest luxury sports saloons and was intended to attract the type of mature yet discerning customer who previously might have opted for a Bentley or Mercedes-Benz. This latter requirement made the option of automatic transmission a necessity. The unit chosen - General Motors' three-speed Hydramatic - was widely regarded as the world's best, having been used by Cadillac and subsequently by Rolls-Royce and Jaguar among others. Ferrari's splendidly equipped 2+2 featured self-levelling independent rear suspension, power-assisted steering, electric windows and optional air conditioning. Sadly, even after it received fuel injection, the 400GT - now the 400i GT - remained effectively a Europe-only model because of the expense involved in crash-testing two cars for US safety assessment. By the time production of the final 412 version ceased in 1989, Ferrari's finest 2+2 had been in production for a remarkable 17 years, though its exclusivity meant that there were seldom more than 200 sold in any one year. Supplied new in the UK through H.R. Owen, this particular example was purchased from them new by a Mr. I. Levy, who took delivery in November 1979. In addition to the noted luxurious specification, this car also had air-conditioning, and side marker lights. Through Mr. Levy's ownership it returned to H.R.Owen for maintenance and then later Maranello Concessionaires. After this the car is known to have left the UK and been sold to a Hong Kong buyer, during whose custody IML Hong Kong were en