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Auktionsarchiv: Los-Nr. 10

FERRARI

Schätzpreis
50.000 € - 65.000 €
ca. 56.695 $ - 73.704 $
Zuschlagspreis:
48.000 €
ca. 54.428 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 10

FERRARI

Schätzpreis
50.000 € - 65.000 €
ca. 56.695 $ - 73.704 $
Zuschlagspreis:
48.000 €
ca. 54.428 $
Beschreibung:

400 I AUTOMATIC #1981 Marque: Ferrari Modèle: 400 i Automatic Année: 1981 Nombre de places: 4 Nombre de cylindres: 12 Cylindrée (cm3): 4 823 Puissance (ch): 340 Compteur: 37 727 km Vitesse maximale (km/h): 240 Production (nbre exemplaires): 873 N° de série: 36211 Provenance: Collection privée d’un ancien pilote alsacien Lorsque la Ferrari 365 GT4 2+2 est dévoilée au Salon de Paris en 1972, elle rompt délibérément avec les volumes de sa devancière 365 GT 2+2 fleurant bon les années 1960. La nouvelle venue, signée Pininfarina, arbore des lignes tendues et anguleuses dont le classicisme fera date avec un profil à l’équilibre sans faille. Dès 1949, on avait vu un coupé 2+2 chez Ferrari, puis sporadiquement, les carrossiers concoctaient des versions plus habitables sur les empattements longs, jusqu’à ce que la gamme Ferrari intègre officiellement cette variante de carrosserie à son catalogue à partir de juin 1960 avec le coupé 250 GT 2+2 (ou GT/E). Elle sera suivie de la 330 GT 2+2 en 1964, puis de la 365 GT 2+2 en 1967. La 365 GT4 2+2 arrive donc cinq années après. Ce rythme sera très nettement ralenti avec la nouvelle venue, puisque la 365 GT4 2+2 et ses évolutions 400, 400i puis 412 resteront en production pendant 17 années. Techniquement, la 365 GT4 2+2 emprunte la plate-forme mécanique de l’élégant coupé 365 GTC/4, sur un empattement plus long de 2,70 m, ainsi que son moteur, un V12 de 4 390 cm3 à doubles arbres à cames en tête de 340 ch, très proche de celui de la 365 GTB/4 - la « Daytona ». L’intérieur est très luxueux avec sa sellerie cuir et de nombreux équipements de confort et le tableau de bord reste sportif avec des cadrans orientés vers le conducteur. Dévoilée au Salon de Paris en 1976, la 400 GT (et 400 Automatic) succède à la 365 GT4 2+2 avec un V12 porté à 4, 8 litres, offrant la même puissance de 340 ch. Grande nouveauté chez Ferrari, elle est dotée en série d’une transmission automatique à trois rapports Hydramatic General Motors, considérée à l’époque comme ce qui se faisait de mieux et choisie entre autre par Cadillac et plus tard par Rolls-Royce et Jaguar. Extérieurement, peu de changement si ce n’est le panneau arrière orné de quatre feux ronds au lieu de six et les fixations de roues par cinq goujons. À l’intérieur, les sièges sont redessinés et la planche de bord habillée de cuir. En septembre 1979, les 400 GT et Automatic cèdent la place à la 400i, équipée d’une injection Bosch K-Jetronic qui permet de répondre aux normes anti-pollution moyennant une baisse sensible de la puissance qui passe à 310 ch. Seul, le petit « i » sur le panneau arrière permet de la distinguer de ses devancières. La puissance gagnera 5 ch en octobre 1982, grâce à de nouveaux collecteurs d’échappement et une modification de l’admission et le couple passe de 40 à 42 mkg. La suspension arrière est désormais assurée par des amortisseurs à gaz, tandis que l’habitacle est redessiné et voit sa console entièrement habillée de cuir. Extérieurement, la grille de capot et le panneau arrière sont de la couleur de la carrosserie. Après 873 exemplaires à boîte automatique et 421 à boîte manuelle, la 400i cèdera la place à la 412, dernière de la série 400, au Salon de Genève 1985. Lorsque la production de la 412 prend fin, en 1989, cette magnifique Ferrari 2+2 aura été vendue à près de 3 000 exemplaires. La lignée des Ferrari 2+2 V12 ne repren- dra qu’en 1994 avec la 456 GT, suivie de la M 456 GT en 1998, de la 612 Scaglietti en 2004, et de la FF en 2011. La 400i de cette vente (n° 36211) a été vendue neuve par les établissements Ch. Pozzi à Levallois-Perret et affiche 37 727 km au compteur. Elle est en bon état (petite griffure sur la partie gauche du pare choc avant) avec une peinture de cou- leur bleu métallisé vernis en bon état, équipées d’optiques teintées jaune. L’intérieur en cuir beige avec une très belle patine et les moquettes en laine de couleur bleue sont en bon état d’origine, de même que les habillages intérieurs. Les boiseries de

Auktionsarchiv: Los-Nr. 10
Auktion:
Datum:
10.04.2016
Auktionshaus:
LECLERE - Auction Houses
rue Vincent Courdouan 5
13006 Marseille
Frankreich
contact@leclere-mdv.com
+33 (0)4 9150 000
+33 (0)4 91673659
Beschreibung:

400 I AUTOMATIC #1981 Marque: Ferrari Modèle: 400 i Automatic Année: 1981 Nombre de places: 4 Nombre de cylindres: 12 Cylindrée (cm3): 4 823 Puissance (ch): 340 Compteur: 37 727 km Vitesse maximale (km/h): 240 Production (nbre exemplaires): 873 N° de série: 36211 Provenance: Collection privée d’un ancien pilote alsacien Lorsque la Ferrari 365 GT4 2+2 est dévoilée au Salon de Paris en 1972, elle rompt délibérément avec les volumes de sa devancière 365 GT 2+2 fleurant bon les années 1960. La nouvelle venue, signée Pininfarina, arbore des lignes tendues et anguleuses dont le classicisme fera date avec un profil à l’équilibre sans faille. Dès 1949, on avait vu un coupé 2+2 chez Ferrari, puis sporadiquement, les carrossiers concoctaient des versions plus habitables sur les empattements longs, jusqu’à ce que la gamme Ferrari intègre officiellement cette variante de carrosserie à son catalogue à partir de juin 1960 avec le coupé 250 GT 2+2 (ou GT/E). Elle sera suivie de la 330 GT 2+2 en 1964, puis de la 365 GT 2+2 en 1967. La 365 GT4 2+2 arrive donc cinq années après. Ce rythme sera très nettement ralenti avec la nouvelle venue, puisque la 365 GT4 2+2 et ses évolutions 400, 400i puis 412 resteront en production pendant 17 années. Techniquement, la 365 GT4 2+2 emprunte la plate-forme mécanique de l’élégant coupé 365 GTC/4, sur un empattement plus long de 2,70 m, ainsi que son moteur, un V12 de 4 390 cm3 à doubles arbres à cames en tête de 340 ch, très proche de celui de la 365 GTB/4 - la « Daytona ». L’intérieur est très luxueux avec sa sellerie cuir et de nombreux équipements de confort et le tableau de bord reste sportif avec des cadrans orientés vers le conducteur. Dévoilée au Salon de Paris en 1976, la 400 GT (et 400 Automatic) succède à la 365 GT4 2+2 avec un V12 porté à 4, 8 litres, offrant la même puissance de 340 ch. Grande nouveauté chez Ferrari, elle est dotée en série d’une transmission automatique à trois rapports Hydramatic General Motors, considérée à l’époque comme ce qui se faisait de mieux et choisie entre autre par Cadillac et plus tard par Rolls-Royce et Jaguar. Extérieurement, peu de changement si ce n’est le panneau arrière orné de quatre feux ronds au lieu de six et les fixations de roues par cinq goujons. À l’intérieur, les sièges sont redessinés et la planche de bord habillée de cuir. En septembre 1979, les 400 GT et Automatic cèdent la place à la 400i, équipée d’une injection Bosch K-Jetronic qui permet de répondre aux normes anti-pollution moyennant une baisse sensible de la puissance qui passe à 310 ch. Seul, le petit « i » sur le panneau arrière permet de la distinguer de ses devancières. La puissance gagnera 5 ch en octobre 1982, grâce à de nouveaux collecteurs d’échappement et une modification de l’admission et le couple passe de 40 à 42 mkg. La suspension arrière est désormais assurée par des amortisseurs à gaz, tandis que l’habitacle est redessiné et voit sa console entièrement habillée de cuir. Extérieurement, la grille de capot et le panneau arrière sont de la couleur de la carrosserie. Après 873 exemplaires à boîte automatique et 421 à boîte manuelle, la 400i cèdera la place à la 412, dernière de la série 400, au Salon de Genève 1985. Lorsque la production de la 412 prend fin, en 1989, cette magnifique Ferrari 2+2 aura été vendue à près de 3 000 exemplaires. La lignée des Ferrari 2+2 V12 ne repren- dra qu’en 1994 avec la 456 GT, suivie de la M 456 GT en 1998, de la 612 Scaglietti en 2004, et de la FF en 2011. La 400i de cette vente (n° 36211) a été vendue neuve par les établissements Ch. Pozzi à Levallois-Perret et affiche 37 727 km au compteur. Elle est en bon état (petite griffure sur la partie gauche du pare choc avant) avec une peinture de cou- leur bleu métallisé vernis en bon état, équipées d’optiques teintées jaune. L’intérieur en cuir beige avec une très belle patine et les moquettes en laine de couleur bleue sont en bon état d’origine, de même que les habillages intérieurs. Les boiseries de

Auktionsarchiv: Los-Nr. 10
Auktion:
Datum:
10.04.2016
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13006 Marseille
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+33 (0)4 9150 000
+33 (0)4 91673659
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