Premium-Seiten ohne Registrierung:

Auktionsarchiv: Los-Nr. 376

1968 Moretti Sportiva S2 coupé No reserve

Schätzpreis
150.000 € - 170.000 €
ca. 204.877 $ - 232.194 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Auktionsarchiv: Los-Nr. 376

1968 Moretti Sportiva S2 coupé No reserve

Schätzpreis
150.000 € - 170.000 €
ca. 204.877 $ - 232.194 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Beschreibung:

1989 BMS Dallara Formule 1 Voiture de compétition Châssis #189/04 - Ex Michele Alboreto - Belle histoire sportive - Rapport prix-sensation imbattable - Complète et tournante Non seulement Gianpaolo Dallara est l'un des plus grands ingénieurs que le sport automobile ait connus, mais il a aussi un passé glorieux dans la conception de machines de Grand Tourisme. Formé à la Polytechnique de Milan, spécialisé dans l'aéronautique, il débute en 1960 chez Ferrari, puis passe chez Maserati, alors le plus grand des concurrents de Maranello. Il y travaille à la Tipo 151, sous les ordres de Giulio Alfieri. Mais peu après, à 25 ans, il rencontre Feruccio Lamborghini pour qui il signera l'Espada et surtout la Miura. L'architecture de celle-ci (moteur central, châssis léger et compact) prouve que le démon de la compétition tente Dallara. Si Lamborghini refuse de s'y laisser entraîner, son prochain patron ne cesse d'en rêver. Autre haute figure à plein titre de l'automobilisme modenais, bien qu'il soit Argentin, Alejandro de Tomaso veut financer une Formule 1. Ce sera la première de Dallara, et elle courra en 1970 sous les ordres de Frank Williams lui aussi débutant dans ce rôle. À court de budget de développement, la De Tomaso 505 ne connaît pas le succès mais Dallara ne cessera plus de s'intéresser à la F1. Sa collaboration avec Nuccio Bertone aboutit à la création de la Lancia Stratos, qui va révolutionner l'art du rallye. Dallara est également le nom caché derrière la Lancia 037, qui succède à la Stratos en championnat du monde des rallyes (quatre titres mondiaux à elles deux !) des LC1 et LC2, armes de Lancia respectivement en groupe 6 et groupe C, puis des Ferrari 333 SP. D'abord ingénieur employé puis consultant, Gianpaolo Dallara a fondé sa firme en 1972, à Varano, près de Parme où il est né, avec l'intention avouée de concurrencer March, Lola et les autres compagnies qui se partagent la clientèle des écuries de course. Le succès sera foudroyant en Formule 3 puis en Formule 2 et aussi en F3000 et en Indycar. Aujourd'hui, Dallara Automobili fournit la totalité des châssis inscrits en Formule Indy. Mais à titre personnel, Dallara n'a jamais cessé de chérir la Formule 1. Dès les années 80, son magnifique CV d'ingénieur classe les Dallara à part dans le monde des petits artisans qui s'aventurent en F1. À partir de 1986, la petite firme de Varano fournit les montures de la Scuderia Italia, également appelée BMS (Brixia, ou Brescia, Motor Sport) de Beppe Luchini, riche sidérurgiste italien. En 1988 " l'autre Scuderia " inscrit une Dallara 188 dans chacun des quatorze Grands Prix pour Alex Caffi. Saison d'apprentissage pour le pilote comme pour l'écurie, aucun point marqué. En 1989, il en va tout autrement. Cette fois, l'écurie inscrit deux autos dans le championnat, pour Alex Caffi toujours, et pour le rapide et fantasque Andrea de Cesaris. Les BMS Dallara, toujours avec une structure et des budgets relativement modestes, vont connaître leur meilleure saison. Outre les top-teams du moment (McLaren-Honda, Williams-Renault, Ferrari, Benetton-Ford) les Dallara sont devancées en total de points par Tyrrell, Lotus et Arrows. Mais Brabham, Minardi, Onyx, March, Ligier, AGS et Lola sont toutes derrière. Caffi termine 4e à Monaco et 6e au Canada et réussit à se qualifier en en cinquième position à Phoenix. Mais le plus beau fait d'armes est au crédit de de Cesaris, qui monte sur le podium, sur le circuit Gilles Villeneuve de Montréal. Ce jour-là, l'Italien conduit précisément le châssis #189/04, acheté directement auprès de la famille Alboreto par l'actuel propriétaire, que nous présentons aujourd'hui. La Dallara 189 est une voiture fine et simple, très équilibrée et " agréable " selon les dires de ses pilotes de l'époque, et qui n'aura sans doute manqué que d'un peu de puissance et de développement pour prétendre à une meilleure carrière. Celle-ci s'est toujours effectuée avec le moteur Cosworth, qui demeure nettement le moteur le plus titré de t

Auktionsarchiv: Los-Nr. 376
Auktion:
Datum:
07.02.2014
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

1989 BMS Dallara Formule 1 Voiture de compétition Châssis #189/04 - Ex Michele Alboreto - Belle histoire sportive - Rapport prix-sensation imbattable - Complète et tournante Non seulement Gianpaolo Dallara est l'un des plus grands ingénieurs que le sport automobile ait connus, mais il a aussi un passé glorieux dans la conception de machines de Grand Tourisme. Formé à la Polytechnique de Milan, spécialisé dans l'aéronautique, il débute en 1960 chez Ferrari, puis passe chez Maserati, alors le plus grand des concurrents de Maranello. Il y travaille à la Tipo 151, sous les ordres de Giulio Alfieri. Mais peu après, à 25 ans, il rencontre Feruccio Lamborghini pour qui il signera l'Espada et surtout la Miura. L'architecture de celle-ci (moteur central, châssis léger et compact) prouve que le démon de la compétition tente Dallara. Si Lamborghini refuse de s'y laisser entraîner, son prochain patron ne cesse d'en rêver. Autre haute figure à plein titre de l'automobilisme modenais, bien qu'il soit Argentin, Alejandro de Tomaso veut financer une Formule 1. Ce sera la première de Dallara, et elle courra en 1970 sous les ordres de Frank Williams lui aussi débutant dans ce rôle. À court de budget de développement, la De Tomaso 505 ne connaît pas le succès mais Dallara ne cessera plus de s'intéresser à la F1. Sa collaboration avec Nuccio Bertone aboutit à la création de la Lancia Stratos, qui va révolutionner l'art du rallye. Dallara est également le nom caché derrière la Lancia 037, qui succède à la Stratos en championnat du monde des rallyes (quatre titres mondiaux à elles deux !) des LC1 et LC2, armes de Lancia respectivement en groupe 6 et groupe C, puis des Ferrari 333 SP. D'abord ingénieur employé puis consultant, Gianpaolo Dallara a fondé sa firme en 1972, à Varano, près de Parme où il est né, avec l'intention avouée de concurrencer March, Lola et les autres compagnies qui se partagent la clientèle des écuries de course. Le succès sera foudroyant en Formule 3 puis en Formule 2 et aussi en F3000 et en Indycar. Aujourd'hui, Dallara Automobili fournit la totalité des châssis inscrits en Formule Indy. Mais à titre personnel, Dallara n'a jamais cessé de chérir la Formule 1. Dès les années 80, son magnifique CV d'ingénieur classe les Dallara à part dans le monde des petits artisans qui s'aventurent en F1. À partir de 1986, la petite firme de Varano fournit les montures de la Scuderia Italia, également appelée BMS (Brixia, ou Brescia, Motor Sport) de Beppe Luchini, riche sidérurgiste italien. En 1988 " l'autre Scuderia " inscrit une Dallara 188 dans chacun des quatorze Grands Prix pour Alex Caffi. Saison d'apprentissage pour le pilote comme pour l'écurie, aucun point marqué. En 1989, il en va tout autrement. Cette fois, l'écurie inscrit deux autos dans le championnat, pour Alex Caffi toujours, et pour le rapide et fantasque Andrea de Cesaris. Les BMS Dallara, toujours avec une structure et des budgets relativement modestes, vont connaître leur meilleure saison. Outre les top-teams du moment (McLaren-Honda, Williams-Renault, Ferrari, Benetton-Ford) les Dallara sont devancées en total de points par Tyrrell, Lotus et Arrows. Mais Brabham, Minardi, Onyx, March, Ligier, AGS et Lola sont toutes derrière. Caffi termine 4e à Monaco et 6e au Canada et réussit à se qualifier en en cinquième position à Phoenix. Mais le plus beau fait d'armes est au crédit de de Cesaris, qui monte sur le podium, sur le circuit Gilles Villeneuve de Montréal. Ce jour-là, l'Italien conduit précisément le châssis #189/04, acheté directement auprès de la famille Alboreto par l'actuel propriétaire, que nous présentons aujourd'hui. La Dallara 189 est une voiture fine et simple, très équilibrée et " agréable " selon les dires de ses pilotes de l'époque, et qui n'aura sans doute manqué que d'un peu de puissance et de développement pour prétendre à une meilleure carrière. Celle-ci s'est toujours effectuée avec le moteur Cosworth, qui demeure nettement le moteur le plus titré de t

Auktionsarchiv: Los-Nr. 376
Auktion:
Datum:
07.02.2014
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
LotSearch ausprobieren

Testen Sie LotSearch und seine Premium-Features 7 Tage - ohne Kosten!

  • Auktionssuche und Bieten
  • Preisdatenbank und Analysen
  • Individuelle automatische Suchaufträge
Jetzt einen Suchauftrag anlegen!

Lassen Sie sich automatisch über neue Objekte in kommenden Auktionen benachrichtigen.

Suchauftrag anlegen