Sabre de tambour-major modèle 1822 modifié au Second-Empire, croisée en laiton ciselée et dorée à décor de feuillages, ornée au milieu d'un faisceau de drapeaux surmonté d'une couronne royale et agrémentée d'une aigle impériale rapportée, elle est poinçonnée à l'arrière: “C P” couronné, pommeau ciselé de palmettes, de feuillages et de fleurs, terminé par un mufle de lion, fusée recouverte de cuir, filigranée; lame blanche, courbe, à gorge latérale, poinçonnée et signée sur le dos: “Manufre Rale de Klingenthal, mai 1813” (il faut lire: 1823); fourreau entièrement en laiton, à quatre crevés munis de plaques en laiton ornées de feuillages et de palmettes, le premier ciselé d'un trophée de musique: un tambour au centre surmonté d'un shako, avec, de part de d'autre, une canne de tambour-major, au niveau du premier crevé: deux crochets pour suspendre le sabre au baudrier, bouterole terminée par un dard trilobé ciselé en suite de fleurs et de palmettes, le fourreau est signé au dos: “Manceaux à Paris” entre les deux crochets; longueur 103 cm. (Usures et petits accidents; cuir et filigrane de la fusée changés). Époque Restauration, modifié au Second-Empire. Bon état
Sabre de tambour-major modèle 1822 modifié au Second-Empire, croisée en laiton ciselée et dorée à décor de feuillages, ornée au milieu d'un faisceau de drapeaux surmonté d'une couronne royale et agrémentée d'une aigle impériale rapportée, elle est poinçonnée à l'arrière: “C P” couronné, pommeau ciselé de palmettes, de feuillages et de fleurs, terminé par un mufle de lion, fusée recouverte de cuir, filigranée; lame blanche, courbe, à gorge latérale, poinçonnée et signée sur le dos: “Manufre Rale de Klingenthal, mai 1813” (il faut lire: 1823); fourreau entièrement en laiton, à quatre crevés munis de plaques en laiton ornées de feuillages et de palmettes, le premier ciselé d'un trophée de musique: un tambour au centre surmonté d'un shako, avec, de part de d'autre, une canne de tambour-major, au niveau du premier crevé: deux crochets pour suspendre le sabre au baudrier, bouterole terminée par un dard trilobé ciselé en suite de fleurs et de palmettes, le fourreau est signé au dos: “Manceaux à Paris” entre les deux crochets; longueur 103 cm. (Usures et petits accidents; cuir et filigrane de la fusée changés). Époque Restauration, modifié au Second-Empire. Bon état
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