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Auktionsarchiv: Los-Nr. 172

Martin BARRE (1924 - 1993) 82-84-108 X 102, 1982-84

Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
68.156 €
ca. 96.968 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 172

Martin BARRE (1924 - 1993) 82-84-108 X 102, 1982-84

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Beschreibung:

Martin BARRE (1924 - 1993) 82-84-108 X 102, 1982-84 acrylique sur toile signée et titrée au dos Hauteur : 108 Largeur : 102 cm Provenance : Galerie Gillespie-Laage-Salomon, Paris Galerie Jacques Girard Toulouse Acquise de cette dernière par l'actuel propriétaire Expositions : Bâle, Art Basel, Galerie Gillespie-Laage-Salomon, 12-17 juin 85 Bibliographie : Yve-Alain Bois, "Martin Barré", Flammarion, 1993, reproduit p.144 Eighty, les Peintres en France dans les années 80, n°21, Martin Barré reproduit en couleur sous le n°7 p.15 Commentaire : Cette oeuvre sera incluse dans le catalogue raisonné de Martin Barré actuellement en préparation par Madame Ann Hindry et Monsieur Yve-Alain Bois Madame Michéle Barré nous a confirmé l'authenticité de cette oeuvre "Les dix huit tableaux de la série "82-84", tous de format différent, encore une fois, de proportions presque identiques, sont fondés sur le triangle (en ce qui concerne non seulement les figures elles-mêmes- triangles tous de forme, de taille et de position différentes- mais aussi la répartition des zones colorées). Le systéme est à la fois simple et lâche, trop lâche pour qu'il ait besoin pour s'affirmer d'exceptions ostentatoires. Il ya d'abord un réseau orthogonal de balises, scandé réguliérement sur les bords inférieurs et supérieurs des tableaux. Ce marquage se marque sous trois périodicités différentes, avec trois intervalles possibles entre les balises (une seule périodicité par tableau): intervalle étroit, large (le double du précedent) et moyen (correspondant à une fois et demie l'intervalle étroit). A l'inverse de ce qui s'était toujours passé depuis l'introduction des balises dans la peinture de Barré, la régularité du réseau est déjouée par son utilisation multidirectionnelle (ce pourquoi ces balises ne sont plus des tirets mais de petits ronds zébrés). Toute balise située d'un côté du tableau peut-être jointe à toute autre de l'autre côté (y compris celles situées hors champ), le croisement de ces vecteurs virtuels engendrant à lui seul un trés grand nombre de triangles possibles. Au chapelet constant de petits ronds s'ajoute un découpage du champ qui est variable puisqu'il dépend du format des tableaux (entre en jeux ses limites et ses lignes médianes ou diagonales). L'intersection du premier réseau générique avec ce second réseau spécifique, propre à chaque tableau, augmente encore le nombre des triangles possibles (les intersections "utilisées" pour former des triangles sont le plus souvent marquées elles aussi par des balises). Curieusement (et là encore on retrouve le type d'inversion dialectique a quoi se complaît Barré), la constance arithmétique de la première trame (périodicité régulière trés ostensible des intervalles entre les ronds) passe presque inaperçue: ce qui tranche, dans la diversité jubilatoire des triangles colorés, c'est la permanence non marquée de l'ordre proportionnel (le centre du tableau, qui n'est pourtant le plus souvent pas marqué d'une balise, joue un rôle déterminant pour l'engendrement de plusieurs triangles). Le nombre des triangles virtuels produits par la conjonction exponentielle des deux ordres géométriques (réseau des balises et division proportionnnelle des tableaux) est beaucoup trop grand pour qu'il soit possible de les recenser. Un nombre limité d'entre eux (un au minimum, trois au maximum par tableau) sont matérialisés par la couleur, selon une répartition par zones ( la surface rectangulaire du tableau est divisée par ses diagonales en quatre zones triangulaires elles-aussi). Mais cette répartition est souple: pour qu'un triangle soit de telle couleur, il lui suffit de passer dans la zone correspondante. Dès qu'un triangle passe dans plus d'une zone, il y a choix entre plusieurs posibilitées colorées........... Yve-Alain Bois, "Martin Barré". Cette oeuvre est vendue en collaboration avec Artcurial Toulouse - Jacques Rivet

Auktionsarchiv: Los-Nr. 172
Auktion:
Datum:
01.10.2007 - 21.10.2007
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

Martin BARRE (1924 - 1993) 82-84-108 X 102, 1982-84 acrylique sur toile signée et titrée au dos Hauteur : 108 Largeur : 102 cm Provenance : Galerie Gillespie-Laage-Salomon, Paris Galerie Jacques Girard Toulouse Acquise de cette dernière par l'actuel propriétaire Expositions : Bâle, Art Basel, Galerie Gillespie-Laage-Salomon, 12-17 juin 85 Bibliographie : Yve-Alain Bois, "Martin Barré", Flammarion, 1993, reproduit p.144 Eighty, les Peintres en France dans les années 80, n°21, Martin Barré reproduit en couleur sous le n°7 p.15 Commentaire : Cette oeuvre sera incluse dans le catalogue raisonné de Martin Barré actuellement en préparation par Madame Ann Hindry et Monsieur Yve-Alain Bois Madame Michéle Barré nous a confirmé l'authenticité de cette oeuvre "Les dix huit tableaux de la série "82-84", tous de format différent, encore une fois, de proportions presque identiques, sont fondés sur le triangle (en ce qui concerne non seulement les figures elles-mêmes- triangles tous de forme, de taille et de position différentes- mais aussi la répartition des zones colorées). Le systéme est à la fois simple et lâche, trop lâche pour qu'il ait besoin pour s'affirmer d'exceptions ostentatoires. Il ya d'abord un réseau orthogonal de balises, scandé réguliérement sur les bords inférieurs et supérieurs des tableaux. Ce marquage se marque sous trois périodicités différentes, avec trois intervalles possibles entre les balises (une seule périodicité par tableau): intervalle étroit, large (le double du précedent) et moyen (correspondant à une fois et demie l'intervalle étroit). A l'inverse de ce qui s'était toujours passé depuis l'introduction des balises dans la peinture de Barré, la régularité du réseau est déjouée par son utilisation multidirectionnelle (ce pourquoi ces balises ne sont plus des tirets mais de petits ronds zébrés). Toute balise située d'un côté du tableau peut-être jointe à toute autre de l'autre côté (y compris celles situées hors champ), le croisement de ces vecteurs virtuels engendrant à lui seul un trés grand nombre de triangles possibles. Au chapelet constant de petits ronds s'ajoute un découpage du champ qui est variable puisqu'il dépend du format des tableaux (entre en jeux ses limites et ses lignes médianes ou diagonales). L'intersection du premier réseau générique avec ce second réseau spécifique, propre à chaque tableau, augmente encore le nombre des triangles possibles (les intersections "utilisées" pour former des triangles sont le plus souvent marquées elles aussi par des balises). Curieusement (et là encore on retrouve le type d'inversion dialectique a quoi se complaît Barré), la constance arithmétique de la première trame (périodicité régulière trés ostensible des intervalles entre les ronds) passe presque inaperçue: ce qui tranche, dans la diversité jubilatoire des triangles colorés, c'est la permanence non marquée de l'ordre proportionnel (le centre du tableau, qui n'est pourtant le plus souvent pas marqué d'une balise, joue un rôle déterminant pour l'engendrement de plusieurs triangles). Le nombre des triangles virtuels produits par la conjonction exponentielle des deux ordres géométriques (réseau des balises et division proportionnnelle des tableaux) est beaucoup trop grand pour qu'il soit possible de les recenser. Un nombre limité d'entre eux (un au minimum, trois au maximum par tableau) sont matérialisés par la couleur, selon une répartition par zones ( la surface rectangulaire du tableau est divisée par ses diagonales en quatre zones triangulaires elles-aussi). Mais cette répartition est souple: pour qu'un triangle soit de telle couleur, il lui suffit de passer dans la zone correspondante. Dès qu'un triangle passe dans plus d'une zone, il y a choix entre plusieurs posibilitées colorées........... Yve-Alain Bois, "Martin Barré". Cette oeuvre est vendue en collaboration avec Artcurial Toulouse - Jacques Rivet

Auktionsarchiv: Los-Nr. 172
Auktion:
Datum:
01.10.2007 - 21.10.2007
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
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