Julien DUPRÉ (1851-1910) La faneuse Huile sur toile Signé en bas à gauche "JULIEN DUPRE" 60 x 73 cm Provenance: Collection particulière, Bruxelles Cette oeuvre s’inscrit dans la série des faneuses que réalisa Julien Dupré lui qui fut tant acclamé à la fin du XIXe siècle dans les Salons et expositions parisiennes pour son travail quasi documentaire sur la vie paysanne. On notera les dimensions exceptionnellement grandes de notre tableau en comparaison aux autres faneuses réalisées par l’artiste. Les paysages dans lesquels s’inscrivent ces femmes fortes et courageuses à l’ouvrage sont bien souvent des fantaisies, s’inspirant néanmoins des campagnes de la Picardie. On notera également le réalisme remarquable de notre oeuvre, on entend presque le son de la paille sèche que ratisse vivement notre jeune paysanne énergique. On sent également presque l’odeur du foin et de l’orage d’été que l’on aperçoit en arrière-plan. Ce réalisme puissant est mis au service d’une vision romantique du labeur et de la ruralité (que l’on compare souvent à celle de Jean-François Millet et de Georges Laugée). En effet, notre paysanne forte et son travail sont ici autant magnifiés qu’une Diane chassant ou qu’une Judith décapitant Holopherne.
Julien DUPRÉ (1851-1910) La faneuse Huile sur toile Signé en bas à gauche "JULIEN DUPRE" 60 x 73 cm Provenance: Collection particulière, Bruxelles Cette oeuvre s’inscrit dans la série des faneuses que réalisa Julien Dupré lui qui fut tant acclamé à la fin du XIXe siècle dans les Salons et expositions parisiennes pour son travail quasi documentaire sur la vie paysanne. On notera les dimensions exceptionnellement grandes de notre tableau en comparaison aux autres faneuses réalisées par l’artiste. Les paysages dans lesquels s’inscrivent ces femmes fortes et courageuses à l’ouvrage sont bien souvent des fantaisies, s’inspirant néanmoins des campagnes de la Picardie. On notera également le réalisme remarquable de notre oeuvre, on entend presque le son de la paille sèche que ratisse vivement notre jeune paysanne énergique. On sent également presque l’odeur du foin et de l’orage d’été que l’on aperçoit en arrière-plan. Ce réalisme puissant est mis au service d’une vision romantique du labeur et de la ruralité (que l’on compare souvent à celle de Jean-François Millet et de Georges Laugée). En effet, notre paysanne forte et son travail sont ici autant magnifiés qu’une Diane chassant ou qu’une Judith décapitant Holopherne.
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