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Auktionsarchiv: Los-Nr. 317

Pablo PICASSO

Schätzpreis
1.200.000 €
ca. 1.432.315 $
Zuschlagspreis:
1.937.500 €
ca. 2.312.593 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 317

Pablo PICASSO

Schätzpreis
1.200.000 €
ca. 1.432.315 $
Zuschlagspreis:
1.937.500 €
ca. 2.312.593 $
Beschreibung:

Pablo PICASSO Suite Vollard.1930-1937. Eau-forte, aquatinte, pointe sèche et grattoir. Marges : 340 x 443-450. Bloch 134 à 233 ; Baer 192, 195, 201, 202, 203, 205, 207, 208, 209, 210, 258, 442, 444, 355, 380, 384, 385, 410, 411, 412, 423, 426, 427, 441, 416, 440, 609, 342, 340, 338, 341, 378, 405, 406, 414, 413, 298, 300, 308, 297, 301, 302, 303, 304, 307, 309, 305, 310 à 332, 343 à 348, 343, 296, 404, 408, 407, 421, 424, 349 à 352, 356, 363, 365 à 369, 434, 436, 435, 437, 618, 617, 619. SV 7 : infime point de rouille au-dessus du bras de l’homme. SV 25 : légères traces d’encre en surface dans les marges supérieure et inférieure. SV 39 : numéro « 340 » de la main d’H. M. Petiet au crayon dans l’angle inférieur gauche du feuillet. SV 43 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 46 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 48 : trace d’ancien encadrement plus marquée au bord droit (fin pli cassé vertical), perceptible au recto, et notamment trois petites traces de clous visibles à l’extrême bord gauche au verso. SV 50 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 54 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 63 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 66 : numéro « 327 » de la main d’H. M. Petiet au crayon dans l’angle inférieur gauche du feuillet. SV 71 : un petit point de rouille dans l’angle inférieur gauche du feuillet. Signature légèrement frottée. SV 76 : traces d’empreintes digitales plus marquées au verso. SV 77 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 79 : quelques infimes points de rouille au bord gauche du feuillet, un sur le haut du bras de la femme à gauche. Oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). Infime arrachement dans l’épaisseur du papier en surface dans l’angle inférieur droit au verso. SV 81 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 82 : infimes points de rouille dans les marges inférieure et droite. SV 83 : trace d’ancien encadrement plus marquée au bord supérieur (fin pli cassé horizontal), perceptible au recto, et notamment petites traces de clous visibles à l’extrême bord au verso. SV 84 : trace d’ancien encadrement plus marquée au bord inférieur (fin pli cassé horizontal), perceptible au recto. SV 92 : numéro « 362 » de la main d’H. M. Petiet au crayon dans l’angle inférieur gauche du feuillet. SV 93 : trace d’ancien encadrement plus marquée au bord supérieur et au bord droit (fin pli cassé horizontal), perceptible au recto. SV 97 : trace d’ancien encadrement plus marquée au bord supérieur (fin pli cassé horizontal), perceptible au recto. « Cet ensemble de cent eaux-fortes, considéré comme le chef-d’œuvre gravé de Pablo Picasso est auréolé de mystère tant lors de sa commande que lors de sa dispersion. En effet, si le projet fut évoqué entre Ambroise Vollard et le peintre catalan au début des années 1930 ou peut-être même quelque temps auparavant, il n’existe pas de contrat en bonne et due forme. L’accord entre les deux hommes se serait apparenté à une sorte de troc, le marchand cédant à l’artiste des toiles qu’il souhaitait contre la remise d’un certain nombre de planches. Ce qui est certain est que dès septembre 1930 Picasso grave dix-neuf cuivres datés du 16 septembre 1930 au 29 septembre 1931 dont dix feront partie de la Suite. Il réside alors au château de Boisgeloup en Normandie et est dans une intense période créative. Viennent ensuite, du 31 juillet 1932 à décembre 1934, quatre-vingt-six cuivres auxquels s’ajoute le 12 juin 1936 Faune dévoilant une dormeuse. De très nombreux thèmes sont abordés : l’atelier de l’artiste, le Minotaure, Rembrandt, le viol... que closent les trois portraits d’Ambroise Vollard, exécutés en 1937. L’impression, confiée à Roger Lacourière, est faite sur planches légèrement aciérées et sur trois supports différents : parchemin, petit papier Montval, grand papier Montval, et donne lieu à un nombre i

Auktionsarchiv: Los-Nr. 317
Auktion:
Datum:
25.11.2017
Auktionshaus:
La Maison de Vente Ader
3, rue Favart
75002 Paris
Frankreich
contact@ader-paris.fr
+33 (0)1 53407710
+33 (0)1 53407720
Beschreibung:

Pablo PICASSO Suite Vollard.1930-1937. Eau-forte, aquatinte, pointe sèche et grattoir. Marges : 340 x 443-450. Bloch 134 à 233 ; Baer 192, 195, 201, 202, 203, 205, 207, 208, 209, 210, 258, 442, 444, 355, 380, 384, 385, 410, 411, 412, 423, 426, 427, 441, 416, 440, 609, 342, 340, 338, 341, 378, 405, 406, 414, 413, 298, 300, 308, 297, 301, 302, 303, 304, 307, 309, 305, 310 à 332, 343 à 348, 343, 296, 404, 408, 407, 421, 424, 349 à 352, 356, 363, 365 à 369, 434, 436, 435, 437, 618, 617, 619. SV 7 : infime point de rouille au-dessus du bras de l’homme. SV 25 : légères traces d’encre en surface dans les marges supérieure et inférieure. SV 39 : numéro « 340 » de la main d’H. M. Petiet au crayon dans l’angle inférieur gauche du feuillet. SV 43 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 46 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 48 : trace d’ancien encadrement plus marquée au bord droit (fin pli cassé vertical), perceptible au recto, et notamment trois petites traces de clous visibles à l’extrême bord gauche au verso. SV 50 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 54 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 63 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 66 : numéro « 327 » de la main d’H. M. Petiet au crayon dans l’angle inférieur gauche du feuillet. SV 71 : un petit point de rouille dans l’angle inférieur gauche du feuillet. Signature légèrement frottée. SV 76 : traces d’empreintes digitales plus marquées au verso. SV 77 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 79 : quelques infimes points de rouille au bord gauche du feuillet, un sur le haut du bras de la femme à gauche. Oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). Infime arrachement dans l’épaisseur du papier en surface dans l’angle inférieur droit au verso. SV 81 : oxydation légèrement plus marquée au verso (trace blanche). SV 82 : infimes points de rouille dans les marges inférieure et droite. SV 83 : trace d’ancien encadrement plus marquée au bord supérieur (fin pli cassé horizontal), perceptible au recto, et notamment petites traces de clous visibles à l’extrême bord au verso. SV 84 : trace d’ancien encadrement plus marquée au bord inférieur (fin pli cassé horizontal), perceptible au recto. SV 92 : numéro « 362 » de la main d’H. M. Petiet au crayon dans l’angle inférieur gauche du feuillet. SV 93 : trace d’ancien encadrement plus marquée au bord supérieur et au bord droit (fin pli cassé horizontal), perceptible au recto. SV 97 : trace d’ancien encadrement plus marquée au bord supérieur (fin pli cassé horizontal), perceptible au recto. « Cet ensemble de cent eaux-fortes, considéré comme le chef-d’œuvre gravé de Pablo Picasso est auréolé de mystère tant lors de sa commande que lors de sa dispersion. En effet, si le projet fut évoqué entre Ambroise Vollard et le peintre catalan au début des années 1930 ou peut-être même quelque temps auparavant, il n’existe pas de contrat en bonne et due forme. L’accord entre les deux hommes se serait apparenté à une sorte de troc, le marchand cédant à l’artiste des toiles qu’il souhaitait contre la remise d’un certain nombre de planches. Ce qui est certain est que dès septembre 1930 Picasso grave dix-neuf cuivres datés du 16 septembre 1930 au 29 septembre 1931 dont dix feront partie de la Suite. Il réside alors au château de Boisgeloup en Normandie et est dans une intense période créative. Viennent ensuite, du 31 juillet 1932 à décembre 1934, quatre-vingt-six cuivres auxquels s’ajoute le 12 juin 1936 Faune dévoilant une dormeuse. De très nombreux thèmes sont abordés : l’atelier de l’artiste, le Minotaure, Rembrandt, le viol... que closent les trois portraits d’Ambroise Vollard, exécutés en 1937. L’impression, confiée à Roger Lacourière, est faite sur planches légèrement aciérées et sur trois supports différents : parchemin, petit papier Montval, grand papier Montval, et donne lieu à un nombre i

Auktionsarchiv: Los-Nr. 317
Auktion:
Datum:
25.11.2017
Auktionshaus:
La Maison de Vente Ader
3, rue Favart
75002 Paris
Frankreich
contact@ader-paris.fr
+33 (0)1 53407710
+33 (0)1 53407720
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