Beschreibung:

JAGUAR XJ6 4.2 Coupé "Best looking car ever made by Jaguar" Châssis n° 2J51573DN Carte grise française Le 26 septembre 1968, la veille de l'inauguration du Motor Show de Londres, Jaguar présentait la 1ère génération de la série XJ. Avec le recul, on peut aujourd'hui affirmer que le constructeur entrait, ce jour-là, dans une nouvelle ère. Le design de cette belle et intemporelle limousine était encore l'oeuvre de Sir William Lyons, le fondateur et ancien directeur de la maison Jaguar. L'appellation du projet XJ signifiait «eXperimental Jaguar». La presse anglaise fut immédiatement sous le charme de cette nouvelle voiture. La XJ réunissait tous les attributs traditionnels de Jaguar: le style, la sportivité, la puissance et le confort, et les allait à la technologie moderne et l'esprit de course. En 1973 Jaguar présente parallèlement à la traditionnelle XJ une version à deux portières baptisée XJC. Esthétiquement le résultat est un sans faute, la nouvelle berline deux portes de chez Jaguar est une merveille, Lofty England la qualifiera même de "best looking car ever made by Jaguar". Techniquement c'est une berline châssis court à la carrosserie très modifiée: les ailes arrières et les portières sont rallongées, le pavillon et son ancrage sur la coque sont renforcés, le système de vitres est tout à fait exclusif. La vitre arrière s'escamote entièrement malgré le passage de roue très proche en effectuant un curieux et complexe mouvement. Le toit recouvert de vinyle noir permet d'affiner visuellement le pavillon. L'XJC sera produite à un peu plus de 10 000 exemplaires, de 1975 à 1977, ce qui en fait un modèle rare et recherché. Le modèle présenté appartient au même propriétaire depuis 35 ans. Le coupé Jaguar XJ6 présenté ici est une version 4,2 litres à rare boîte manuelle, de belle présentation. De teinte marron d'époque avec un toit en vinyle noir, elle conserve son intérieur beige d'origine superbement patiné. Le propriétaire nous a indiqué: «Je l'ai achetée le 22 septembre 1978 à Monsieur DELAPLACE, français résident à ABIDJAN, la voiture restait en France, immatriculée dans le Pas-de- Calais, il ne venait que pour les vacances, elle avait alors dans les 5 000 km. (Voir au dossier une facture de frais du 26 octobre 1978 qui porte "5 708 km"). C'est donc à 5 000 km prés, pratiquement une 1remain. Dans le dossier il y a une trentaine de factures d'entretien de 1979 à 1987. Après 1987 elle a été entretenue par mon mécanicien personnel». Ce modèle rare saura ravir son prochain propriétaire