Henri Charles GUÉRARD (Paris, 1846 - 1897) Sept poussins, projet d’éventail Plume et encre noire et huile jaune sur tissu Vichy. Signée en bas à gauche. 28,5 x 57 cm en forme d’éventail Provenance : - Descendance de l’artiste. - Galerie Paul Prouté, catalogue n° 62, automne 1975, Eventails d’Henri Guérard, n° 631. - Collection particulière, États-Unis. Exposition : Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, n° 256, Paris, 1895. Henri Guérard prise particulièrement la forme de l’éventail, empruntée à l’art japonais, sur laquelle il peut donner libre cours à son imagination. Comme le souligne déjà Béraldi en 1888, « quand il a du temps de reste, il s’amuse à peindre des éventails bizarres, dont le succès est depuis longtemps établi : sur des étoffes aux couleurs et aux dessins variés, il jette des clowns, des masques japonais, des lanternes, des roquets, des grelots, des bateaux etc., etc., tout cela avec une fantaisie très singulière et très amusante » (H. Béraldi, Les Graveurs du XIXe siècle, Paris, 1885 – 1892, p. 265).Au Salon de 1895, Guérard expose une série de six éventails qui remporte un grand succès. S’ils ne sont pas tous directement inspirés de sujets japonais, ils comptent tous, par la stylisation des formes et la disposition subtile des éléments décoratifs sur le tissu, parmi les plus grandes réussites du Japonisme en France.
Henri Charles GUÉRARD (Paris, 1846 - 1897) Sept poussins, projet d’éventail Plume et encre noire et huile jaune sur tissu Vichy. Signée en bas à gauche. 28,5 x 57 cm en forme d’éventail Provenance : - Descendance de l’artiste. - Galerie Paul Prouté, catalogue n° 62, automne 1975, Eventails d’Henri Guérard, n° 631. - Collection particulière, États-Unis. Exposition : Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, n° 256, Paris, 1895. Henri Guérard prise particulièrement la forme de l’éventail, empruntée à l’art japonais, sur laquelle il peut donner libre cours à son imagination. Comme le souligne déjà Béraldi en 1888, « quand il a du temps de reste, il s’amuse à peindre des éventails bizarres, dont le succès est depuis longtemps établi : sur des étoffes aux couleurs et aux dessins variés, il jette des clowns, des masques japonais, des lanternes, des roquets, des grelots, des bateaux etc., etc., tout cela avec une fantaisie très singulière et très amusante » (H. Béraldi, Les Graveurs du XIXe siècle, Paris, 1885 – 1892, p. 265).Au Salon de 1895, Guérard expose une série de six éventails qui remporte un grand succès. S’ils ne sont pas tous directement inspirés de sujets japonais, ils comptent tous, par la stylisation des formes et la disposition subtile des éléments décoratifs sur le tissu, parmi les plus grandes réussites du Japonisme en France.
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