GALLE (Emile, 1846-1904). L.A.S. "Emile Gallé", NANCY, 7 avril 1900, 1 p. in-8 sur papier à bel entête imprimé, adressée à "Monsieur Corroyer" (l'architecte Edouard-Jules Corroyer 1835-1904, élève de Viollet-Le-Duc, restaurateur de l’abbaye du Mont Saint-Michel et dessinateur pour l’orfèvrerie religieuse) : "Monsieur Corroyer, Mon représentant à Paris, Monsieur Daigueperce* a reçu de vous un bol en fayence gravée de ma fabrication, sujet : l’oxalis des bois, ainsi qu’un petit vase en cristal imitation d’ambre ; qu’il doit remettre ces deux objets à l’administration des Beaux-Arts, pour l’Exposition centennale, au Grand Palais des Champs Elysées. L’Etat vous garantit et prend toute responsabilité de risques divers (…)." Les deux objets seront en effet présentés lors de l'Exposition centennale de l'art français de 1899-1900 (référencés n°2819 et 2858 au catalogue de l'Exposition). "Engagé très tôt dans le renouvellement des arts décoratifs, Emile Gallé diffuse, dans ses dépôts français mais aussi anglais et allemand, des pièces de série de qualité, grâce à l'industrialisation de sa production. Il ouvre des dépôts de vente à Francfort (1894) et à Londres (1901), mais son principal concessionnaire est Marcelin Daigueperce à Paris (1879) puis son fils Albert Daigueperce en 1896." (www.ecole-de-nancy.com)
GALLE (Emile, 1846-1904). L.A.S. "Emile Gallé", NANCY, 7 avril 1900, 1 p. in-8 sur papier à bel entête imprimé, adressée à "Monsieur Corroyer" (l'architecte Edouard-Jules Corroyer 1835-1904, élève de Viollet-Le-Duc, restaurateur de l’abbaye du Mont Saint-Michel et dessinateur pour l’orfèvrerie religieuse) : "Monsieur Corroyer, Mon représentant à Paris, Monsieur Daigueperce* a reçu de vous un bol en fayence gravée de ma fabrication, sujet : l’oxalis des bois, ainsi qu’un petit vase en cristal imitation d’ambre ; qu’il doit remettre ces deux objets à l’administration des Beaux-Arts, pour l’Exposition centennale, au Grand Palais des Champs Elysées. L’Etat vous garantit et prend toute responsabilité de risques divers (…)." Les deux objets seront en effet présentés lors de l'Exposition centennale de l'art français de 1899-1900 (référencés n°2819 et 2858 au catalogue de l'Exposition). "Engagé très tôt dans le renouvellement des arts décoratifs, Emile Gallé diffuse, dans ses dépôts français mais aussi anglais et allemand, des pièces de série de qualité, grâce à l'industrialisation de sa production. Il ouvre des dépôts de vente à Francfort (1894) et à Londres (1901), mais son principal concessionnaire est Marcelin Daigueperce à Paris (1879) puis son fils Albert Daigueperce en 1896." (www.ecole-de-nancy.com)
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