FRANCE, début du XXe siècle Élément de décor pour l'Exposition Coloniale de Marseille en 1922 en plâtre peint Inscriptions en bas : "J. Villeneuve Statuaire", "E. Auberlet decoration" 60 x 79 cm (légers manques de matière) Provenance : Ancienne collection Auguste Delaval (1875-1962), puis transmis par descendance. Cette plaque est issue du décor ornant le grand escalier interieur du Palais de l'Indochine, réalisé par M. De Villeneuve. Le Palais de l'Indochine, érigé dans le cadre de l'exposition coloniale de Marseille, se voulait représenter une reproduction miniature d'un palais Khmer, inspiré de Angkor Vat, et de différents pavillons et jardins créant ainsi un vaste ensemble architectural abritant les expositions des pays de l'Indochine (la Cochinchine, l'Annam, le Tonkin, le Cambodge et le Laos). Cet élément de décor faisait parti d'un ensemble de quatre plaques, représentant des Devata (divinités) en différentes postures dansantes, dans des alcôves. La plaque ici présentée montre la Devata sous une forme féminine, représentée de profil avec une iconographie présente dans les temples cambodgiens, dont M. De Villeneuve s'est très probablement inspiré pour la conception de ce décor. Cet élément de décor fut illustré dans la revue "L'Exposition nationale coloniale de Marseille : décrite par ses auteurs " (Commissariat général de l'exposition, Marseille, 1922, p. 55)
FRANCE, début du XXe siècle Élément de décor pour l'Exposition Coloniale de Marseille en 1922 en plâtre peint Inscriptions en bas : "J. Villeneuve Statuaire", "E. Auberlet decoration" 60 x 79 cm (légers manques de matière) Provenance : Ancienne collection Auguste Delaval (1875-1962), puis transmis par descendance. Cette plaque est issue du décor ornant le grand escalier interieur du Palais de l'Indochine, réalisé par M. De Villeneuve. Le Palais de l'Indochine, érigé dans le cadre de l'exposition coloniale de Marseille, se voulait représenter une reproduction miniature d'un palais Khmer, inspiré de Angkor Vat, et de différents pavillons et jardins créant ainsi un vaste ensemble architectural abritant les expositions des pays de l'Indochine (la Cochinchine, l'Annam, le Tonkin, le Cambodge et le Laos). Cet élément de décor faisait parti d'un ensemble de quatre plaques, représentant des Devata (divinités) en différentes postures dansantes, dans des alcôves. La plaque ici présentée montre la Devata sous une forme féminine, représentée de profil avec une iconographie présente dans les temples cambodgiens, dont M. De Villeneuve s'est très probablement inspiré pour la conception de ce décor. Cet élément de décor fut illustré dans la revue "L'Exposition nationale coloniale de Marseille : décrite par ses auteurs " (Commissariat général de l'exposition, Marseille, 1922, p. 55)
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