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Auktionsarchiv: Los-Nr. 257

Broche draperie en or jaune 750 millièmes à décor de coquille ornée d'une perle bouton

Schätzpreis
45.000 € - 55.000 €
ca. 50.530 $ - 61.759 $
Zuschlagspreis:
45.000 €
ca. 50.530 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 257

Broche draperie en or jaune 750 millièmes à décor de coquille ornée d'une perle bouton

Schätzpreis
45.000 € - 55.000 €
ca. 50.530 $ - 61.759 $
Zuschlagspreis:
45.000 €
ca. 50.530 $
Beschreibung:

Broche draperie en or jaune 750 millièmes à décor de coquille ornée d'une perle bouton sur un motif géométrique à entrelacs encadré de chutes de culots et guirlandes de fleurs. L'ensemble serti de rubis calibrés, diamants de taille ancienne et taillés en rose. Elle retient en pampille trois perles de forme poire. Vers 1865. (Quelques petites restaurations et manque quelques diamants, petits accidents). Joaillier: Charles Martial Bernard. Poids brut: 59 g - Hauteur hors tout: environ 11 cm - Largeur: environ 6,5 cm Écrin en forme. Martial BERNARD. Initiant une lignée de joailliers sur trois générations, Jean-Benoît-Martial BERNARD débute chez Henry GIBERT, gendre de BIENNAIS. Il participe à l'inventaire des bijoux de la couronne en 1811 à la demande de Napoléon et sélectionnera ainsi les diamants nécessaires à la réalisation de l'épée du Premier Consul, Napoléon Bonaparte. En 1824, après douze années de collaboration, Jean-Benoît-Martial BERNARD et Henry GIBERT s'associent comme joailliers des affaires étrangères puis de la Cour. En 1826, Jean-Benoît-Martial BERNARD s'installe comme indépendant, 1 rue de la Paix, puis en 1832, le roi Louis-Philippe, le nomme joaillier de la Couronne. Il réalisera en 1834 l'épée du Maréchal Gérard. À son décès en 1846, son fils Charles lui succède à l'âge de vingt-deux ans. Charles Martial BERNARD participera à l'Exposition Universelle de 1867 et obtiendra une médaille de bronze pour la réalisation des bijoux exposés dont notre broche illustrée sur la photographie. Vers 1864, avec son ami Antoine MELLERIO, il participera à la fondation de la Chambre Syndicale de la Bijouterie qu'il présidera par la suite. A sa mort, en 1896 son fils Henry lui succèdera à son tour. Ce dernier n'ayant qu'une fille, la grand-mère de l'actuelle propriétaire, cèdera l'affaire à la maison MELLERIO en 1908

Auktionsarchiv: Los-Nr. 257
Auktion:
Datum:
28.06.2016
Auktionshaus:
Beaussant Lefèvre
32 rue Drouot
75009 Paris
Frankreich
contact@beaussant-lefevre.com
+33 (0)1 47704000
+33 (0)1 47706240
Beschreibung:

Broche draperie en or jaune 750 millièmes à décor de coquille ornée d'une perle bouton sur un motif géométrique à entrelacs encadré de chutes de culots et guirlandes de fleurs. L'ensemble serti de rubis calibrés, diamants de taille ancienne et taillés en rose. Elle retient en pampille trois perles de forme poire. Vers 1865. (Quelques petites restaurations et manque quelques diamants, petits accidents). Joaillier: Charles Martial Bernard. Poids brut: 59 g - Hauteur hors tout: environ 11 cm - Largeur: environ 6,5 cm Écrin en forme. Martial BERNARD. Initiant une lignée de joailliers sur trois générations, Jean-Benoît-Martial BERNARD débute chez Henry GIBERT, gendre de BIENNAIS. Il participe à l'inventaire des bijoux de la couronne en 1811 à la demande de Napoléon et sélectionnera ainsi les diamants nécessaires à la réalisation de l'épée du Premier Consul, Napoléon Bonaparte. En 1824, après douze années de collaboration, Jean-Benoît-Martial BERNARD et Henry GIBERT s'associent comme joailliers des affaires étrangères puis de la Cour. En 1826, Jean-Benoît-Martial BERNARD s'installe comme indépendant, 1 rue de la Paix, puis en 1832, le roi Louis-Philippe, le nomme joaillier de la Couronne. Il réalisera en 1834 l'épée du Maréchal Gérard. À son décès en 1846, son fils Charles lui succède à l'âge de vingt-deux ans. Charles Martial BERNARD participera à l'Exposition Universelle de 1867 et obtiendra une médaille de bronze pour la réalisation des bijoux exposés dont notre broche illustrée sur la photographie. Vers 1864, avec son ami Antoine MELLERIO, il participera à la fondation de la Chambre Syndicale de la Bijouterie qu'il présidera par la suite. A sa mort, en 1896 son fils Henry lui succèdera à son tour. Ce dernier n'ayant qu'une fille, la grand-mère de l'actuelle propriétaire, cèdera l'affaire à la maison MELLERIO en 1908

Auktionsarchiv: Los-Nr. 257
Auktion:
Datum:
28.06.2016
Auktionshaus:
Beaussant Lefèvre
32 rue Drouot
75009 Paris
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