Attribué à Jacques-Émile RUHLMANN (1879-1933) Coiffeuse de style Art Déco, modèle "Morel", en acajou massif ouvrant par un tiroir en ceinture entre deux casiers de rangement accessibles par le plateau. Pieds fuselés agrémentés de sabots en bronze. Miroir circulaire central basculant en bronze et acajou. Époque vers 1920-1922 Modèle référencé sous les n° 1522AR et 1825NR dans les archives Ruhlmann 115,5 x 51 x 32,7 cm (restaurations) Bibliographie: Florence Camard, Rulhmann, Editions du Regard, Paris, 1983, p. 223. Provenance: ancienne collection Morel Descendant d’une ancienne famille de l’aristocratie française, les Morel de Tangry, et fils de l’architecte Jean Désiré Ernest Morel (1859-1923), Jean-Marie Morel (1892-1974) est l’architecte des villes de Bergues, Gravelines, Wormout… En 1937, avec Barbotin, il réalise le village flamand de l’Exposition Internationale de Paris. Lors de la reconstruction de Dunkerque après la guerre, il est chargé de l’îlot n° 1 et des plans de la cité de la Victoire. Pour sa formation, Jean-Marie Morel entre en 1911 à l’Atelier Pascal et est reçu la même année à l’École Nationale des Beaux-Arts de Paris. Mobilisé en 1914, blessé et réformé en 1917, il réintègre son école avant d’en sortir en 1919. Il entre alors chez Jacques-Émile Ruhlmann dont il devient l’un des principaux collaborateurs avec des architectes comme Baudrier, Le Même ou Haranger et des dessinateurs tels que Stephany, Huet, Bougenot ou Lautelin. Ensemble, ils créent l’immense réputation que connaîtra Ruhlmann en tant que l’un des meilleurs créateurs de meubles et décorateurs de son temps. Jean-Marie quitte l’atelier du maître en 1923. Il gardera toute sa vie la fierté et le regret de cet apprentissage exceptionnel qu’il appelle sa « période rose ». Auteur de dessins adroits, il est aussi un excellent aquarelliste. Jean-Marie Morel est cité dans : Florence Camard, Ruhlmann
Attribué à Jacques-Émile RUHLMANN (1879-1933) Coiffeuse de style Art Déco, modèle "Morel", en acajou massif ouvrant par un tiroir en ceinture entre deux casiers de rangement accessibles par le plateau. Pieds fuselés agrémentés de sabots en bronze. Miroir circulaire central basculant en bronze et acajou. Époque vers 1920-1922 Modèle référencé sous les n° 1522AR et 1825NR dans les archives Ruhlmann 115,5 x 51 x 32,7 cm (restaurations) Bibliographie: Florence Camard, Rulhmann, Editions du Regard, Paris, 1983, p. 223. Provenance: ancienne collection Morel Descendant d’une ancienne famille de l’aristocratie française, les Morel de Tangry, et fils de l’architecte Jean Désiré Ernest Morel (1859-1923), Jean-Marie Morel (1892-1974) est l’architecte des villes de Bergues, Gravelines, Wormout… En 1937, avec Barbotin, il réalise le village flamand de l’Exposition Internationale de Paris. Lors de la reconstruction de Dunkerque après la guerre, il est chargé de l’îlot n° 1 et des plans de la cité de la Victoire. Pour sa formation, Jean-Marie Morel entre en 1911 à l’Atelier Pascal et est reçu la même année à l’École Nationale des Beaux-Arts de Paris. Mobilisé en 1914, blessé et réformé en 1917, il réintègre son école avant d’en sortir en 1919. Il entre alors chez Jacques-Émile Ruhlmann dont il devient l’un des principaux collaborateurs avec des architectes comme Baudrier, Le Même ou Haranger et des dessinateurs tels que Stephany, Huet, Bougenot ou Lautelin. Ensemble, ils créent l’immense réputation que connaîtra Ruhlmann en tant que l’un des meilleurs créateurs de meubles et décorateurs de son temps. Jean-Marie quitte l’atelier du maître en 1923. Il gardera toute sa vie la fierté et le regret de cet apprentissage exceptionnel qu’il appelle sa « période rose ». Auteur de dessins adroits, il est aussi un excellent aquarelliste. Jean-Marie Morel est cité dans : Florence Camard, Ruhlmann
Testen Sie LotSearch und seine Premium-Features 7 Tage - ohne Kosten!
Lassen Sie sich automatisch über neue Objekte in kommenden Auktionen benachrichtigen.
Suchauftrag anlegen