AF] 5 L.A.S., 1934-1935, à Jacques PATIN du Figaro; 5 pages in-4 et in-8, 2 enveloppes. AU SUJET DE LA PUBLICATION DES PORTRAITS-SOUVENIRS DANS LE FIGARO, du 19 janvier au 11 mai 1935. Il s'interroge sur le lieu où se trouvait l'hôtel de Jules LEMAÎTRE et donne des précisions et des corrections, il évoque «un souvenir des arènes. C'est le rire et le caquet de la jeune Eugénie de MONTIJO (?) rire et caquet qui durent effrayer er ensorceler le timide Napoléon III, le rire et le caquet de toutes les jeunes espagnoles, trépignant avec leurs pieds de bouc et battant de l'éventail pour applaudir un matador qui tue». Envoi de dessins: «1. Reynaldo en grand 2. Lemaître 3. Ernesta»; il demande de surveiller l'orthographe et la ponctuation. Il donne les têtes de chapitre: «Les dames-poètes - Simone - Le grand Maulnes - La comtesse de Noailles», etc. Il s'insurge: «On n'a pas le droit de mutiler un texte et la suite logique d'une pensée. C'est un crime des lettres. Il fallait m'écrire, me téléphoner, me demander conseil. "Un merveilleux vertige verbal" je ne peux écrire cela. Pourquoi se substituer à moi ?». Il annonce qu'il donnera son prochain article, mais qu'il n'écrira pas la suite
AF] 5 L.A.S., 1934-1935, à Jacques PATIN du Figaro; 5 pages in-4 et in-8, 2 enveloppes. AU SUJET DE LA PUBLICATION DES PORTRAITS-SOUVENIRS DANS LE FIGARO, du 19 janvier au 11 mai 1935. Il s'interroge sur le lieu où se trouvait l'hôtel de Jules LEMAÎTRE et donne des précisions et des corrections, il évoque «un souvenir des arènes. C'est le rire et le caquet de la jeune Eugénie de MONTIJO (?) rire et caquet qui durent effrayer er ensorceler le timide Napoléon III, le rire et le caquet de toutes les jeunes espagnoles, trépignant avec leurs pieds de bouc et battant de l'éventail pour applaudir un matador qui tue». Envoi de dessins: «1. Reynaldo en grand 2. Lemaître 3. Ernesta»; il demande de surveiller l'orthographe et la ponctuation. Il donne les têtes de chapitre: «Les dames-poètes - Simone - Le grand Maulnes - La comtesse de Noailles», etc. Il s'insurge: «On n'a pas le droit de mutiler un texte et la suite logique d'une pensée. C'est un crime des lettres. Il fallait m'écrire, me téléphoner, me demander conseil. "Un merveilleux vertige verbal" je ne peux écrire cela. Pourquoi se substituer à moi ?». Il annonce qu'il donnera son prochain article, mais qu'il n'écrira pas la suite
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