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Auktionsarchiv: Los-Nr. 89

1964 Ferrari 250 LM Berlinetta par Pininfarina

Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
n. a.
Auktionsarchiv: Los-Nr. 89

1964 Ferrari 250 LM Berlinetta par Pininfarina

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Beschreibung:

1964 Ferrari 250 LM Berlinetta par Pininfarina Châssis n° 5901 Moteur n° 5901 Numéro interne 138/LM Gearbox n°18 - 2023 : Anniversaire des 60 ans de la Ferrari 250 LM - Un des chefs d'œuvre absolus de l'histoire de l'Automobile - La 10e Ferrari 250 LM sur seulement 32 exemplaires construits - Plus rare qu'une 250 GTO - Modèle d'une importance historique capitale : le dernier modèle à avoir remporté les 24H du Mans en 1965 (Masten Gregory/Jochen Rindt) - Matching numbers (châssis, moteur, boîte, carrosserie) - Historique suivi, restaurée en 1998/1999 par DK Engineering - Dans la même collection pendant 20 ans - En cours de certification après validation par le comité Ferrari Ils ont gagné ! La Ferrari 250 LM de Masten Gregory et Jochen Rindt vient de passer en tête la ligne d'arrivée des 24 Heures du Mans, déjouant les pronostics qui annonçaient une victoire de Ford ! En 1965, Ferrari domine la course mancelle, arrivant en 1ère (250 LM) 2nde(250 LM) 3e (275 GTB) et 6e (250 LM) positions. Ainsi, ce modèle va devenir en 1965 dans le cœur des aficionados le symbole de la victoire de David contre Goliath, de la résistance de Ferrari et ses moyens limités à la redoutable armada de Ford, dans le cadre d'un affrontement qui est devenu l'un des plus suivis et des plus acharnés de l'histoire de la course automobile. En plus d'avoir signé la dernière des neuf victoires de Ferrari à la course mancelle, la 250 LM est l'ultime représentante en compétition de la noble famille des 250, dans la lignée des Testa Rossa et des GTO, tout en annonçant la fabuleuse lignée des Ferrari à moteur central. Dévoilée au Salon de Paris d'octobre 1963, la 250 LM est une version berlinette de la 250 P qui, présentée en mars précédent, peut déjà s'enorgueillir de nombreux succès en course, avant une victoire au Mans en 1964. Conçue sous l'autorité de l'ingénieur en chef Carlo Chiti, c'est la première Ferrari de compétition à moteur V12 en position centrale. La 246 SP avait inauguré en 1961 cette nouvelle architecture, mais avec un moteur V6. Pour la 250 LM, Scaglietti a signé une forme magistrale, dont l'avant effilé dessine un contraste étonnant avec l'arrière long et musclé qui révèle la présence d'une puissante mécanique. Le petit arceau central apporte de la légèreté au pavillon, et l'un des éléments les plus spectaculaires est le vaste capot qui se lève comme une cathédrale pour dévoiler les entrailles de cette machine radicale. Avec la 250 LM, Enzo Ferrari souhaite prendre la suite de la 250 GTO et la faire homologuer en GT. Mais si les officiels de la FIA ont fermé les yeux sur les arguments tendancieux du Commendatore ayant permis l'homologation de la 250 GTO (qu'il avait annoncée comme une simple évolution de la 250 GT), cette fois ils ne se laissent pas faire et exigent la production des 100 exemplaires requis. Or Ferrari n'en produira que 32, si bien que la 250 LM restera en catégorie "Prototypes" et devra se mesurer à des voitures plus puissantes, dont la plus emblématique sera la Ford GT40 mentionnée plus haut. Glorieuse protagoniste du duel Ford-Ferrari, la 250 LM a magnifiquement défendu les couleurs du constructeur italien en compensant son déficit de puissance par des qualités de tenue de route et de maniabilité qui faisaient défaut à d'autres voitures plus puissantes. Carlo Chiti avait vu juste en réussissant à convaincre Enzo Ferrari de passer au moteur arrière, alors qu'il y était réticent. D'ailleurs, la 250 LM aurait dû s'appeler 275 LM (selon la nomenclature Ferrari reprenant la cylindrée unitaire) car après l'exemplaire du Salon de Paris, les suivants ont reçu un moteur 3,3 litres ; espérant tromper la vigilance de la FIA pour les raisons évoquées plus haut, Enzo Ferrari avait souhaité conserver l'appellation 250. Compte tenu de sa conception, la 250 LM était destinée à la piste beaucoup plus qu'à la route, et la plupart des exemplaires produits ont connu les affres de la compétition et ses aléas. Ce n'est toutefois pas le cas de la voi

Auktionsarchiv: Los-Nr. 89
Auktion:
Datum:
03.02.2023 - 04.02.2023
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

1964 Ferrari 250 LM Berlinetta par Pininfarina Châssis n° 5901 Moteur n° 5901 Numéro interne 138/LM Gearbox n°18 - 2023 : Anniversaire des 60 ans de la Ferrari 250 LM - Un des chefs d'œuvre absolus de l'histoire de l'Automobile - La 10e Ferrari 250 LM sur seulement 32 exemplaires construits - Plus rare qu'une 250 GTO - Modèle d'une importance historique capitale : le dernier modèle à avoir remporté les 24H du Mans en 1965 (Masten Gregory/Jochen Rindt) - Matching numbers (châssis, moteur, boîte, carrosserie) - Historique suivi, restaurée en 1998/1999 par DK Engineering - Dans la même collection pendant 20 ans - En cours de certification après validation par le comité Ferrari Ils ont gagné ! La Ferrari 250 LM de Masten Gregory et Jochen Rindt vient de passer en tête la ligne d'arrivée des 24 Heures du Mans, déjouant les pronostics qui annonçaient une victoire de Ford ! En 1965, Ferrari domine la course mancelle, arrivant en 1ère (250 LM) 2nde(250 LM) 3e (275 GTB) et 6e (250 LM) positions. Ainsi, ce modèle va devenir en 1965 dans le cœur des aficionados le symbole de la victoire de David contre Goliath, de la résistance de Ferrari et ses moyens limités à la redoutable armada de Ford, dans le cadre d'un affrontement qui est devenu l'un des plus suivis et des plus acharnés de l'histoire de la course automobile. En plus d'avoir signé la dernière des neuf victoires de Ferrari à la course mancelle, la 250 LM est l'ultime représentante en compétition de la noble famille des 250, dans la lignée des Testa Rossa et des GTO, tout en annonçant la fabuleuse lignée des Ferrari à moteur central. Dévoilée au Salon de Paris d'octobre 1963, la 250 LM est une version berlinette de la 250 P qui, présentée en mars précédent, peut déjà s'enorgueillir de nombreux succès en course, avant une victoire au Mans en 1964. Conçue sous l'autorité de l'ingénieur en chef Carlo Chiti, c'est la première Ferrari de compétition à moteur V12 en position centrale. La 246 SP avait inauguré en 1961 cette nouvelle architecture, mais avec un moteur V6. Pour la 250 LM, Scaglietti a signé une forme magistrale, dont l'avant effilé dessine un contraste étonnant avec l'arrière long et musclé qui révèle la présence d'une puissante mécanique. Le petit arceau central apporte de la légèreté au pavillon, et l'un des éléments les plus spectaculaires est le vaste capot qui se lève comme une cathédrale pour dévoiler les entrailles de cette machine radicale. Avec la 250 LM, Enzo Ferrari souhaite prendre la suite de la 250 GTO et la faire homologuer en GT. Mais si les officiels de la FIA ont fermé les yeux sur les arguments tendancieux du Commendatore ayant permis l'homologation de la 250 GTO (qu'il avait annoncée comme une simple évolution de la 250 GT), cette fois ils ne se laissent pas faire et exigent la production des 100 exemplaires requis. Or Ferrari n'en produira que 32, si bien que la 250 LM restera en catégorie "Prototypes" et devra se mesurer à des voitures plus puissantes, dont la plus emblématique sera la Ford GT40 mentionnée plus haut. Glorieuse protagoniste du duel Ford-Ferrari, la 250 LM a magnifiquement défendu les couleurs du constructeur italien en compensant son déficit de puissance par des qualités de tenue de route et de maniabilité qui faisaient défaut à d'autres voitures plus puissantes. Carlo Chiti avait vu juste en réussissant à convaincre Enzo Ferrari de passer au moteur arrière, alors qu'il y était réticent. D'ailleurs, la 250 LM aurait dû s'appeler 275 LM (selon la nomenclature Ferrari reprenant la cylindrée unitaire) car après l'exemplaire du Salon de Paris, les suivants ont reçu un moteur 3,3 litres ; espérant tromper la vigilance de la FIA pour les raisons évoquées plus haut, Enzo Ferrari avait souhaité conserver l'appellation 250. Compte tenu de sa conception, la 250 LM était destinée à la piste beaucoup plus qu'à la route, et la plupart des exemplaires produits ont connu les affres de la compétition et ses aléas. Ce n'est toutefois pas le cas de la voi

Auktionsarchiv: Los-Nr. 89
Auktion:
Datum:
03.02.2023 - 04.02.2023
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75008 Paris
Frankreich
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