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Auktionsarchiv: Los-Nr. 279

VALDEMAR, prince de Danemark (1858-1939).

Schätzpreis
1.500 € - 2.000 €
ca. 2.071 $ - 2.762 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Auktionsarchiv: Los-Nr. 279

VALDEMAR, prince de Danemark (1858-1939).

Schätzpreis
1.500 € - 2.000 €
ca. 2.071 $ - 2.762 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Beschreibung:

VALDEMAR, prince de Danemark (1858-1939). Lot de 8 L.A.S.: «Valdemar» adressées à sa femme Marie d'Orléans, princesse de Danemark (1865-1909), datant de 1890 à 1893, 28 p., in-8, sur papier à entête de son monogramme sous couronne royale et à entête de Sandringham (Norfolk), certaines lettres sont conservées avec leur enveloppe. Texte en anglais. - 02 février 1890: «Ma chérie! Je n'ai réussi qu'à l'instant à prendre cette lettre de Schuncky. Je lui ai dit la nuit dernière lorsqu'il est parti d'être notre gentleman, comme nous en voulons un. Je ne sais pas de quoi il pourrait vivre, mais ça serait toujours une position et je pense qu'il est très agréable. Pouvez-vous demander à Mandlefrihed de lui écrire ou de lui dire, bien sûr je pourrais faire tous ces arrangements lorsque je serai revenu à la maison. (...)» - 10 février 1890: «Ma chérie! Merci beaucoup pour votre lettre que j'ai reçu ce matin. Je vous en suis très reconnaissant et je suis très heureux que notre enfant aille mieux. (...) Je suis arrivé hier à peu près à 6 heures, à Sandringham et j'y ai retrouvé Alix et Bertie ainsi que Toria et Maud. Aujourd'hui, dimanche, nous sommes allés à l'église et j'ai prié pour vous ma chérie ainsi que pour notre cher enfant pour que tout aille bien, que nous soyons heureux et que nous soyons réunis ensemble rapidement dans notre cher maison; j'aimerais venir et prendre soin de ma chère petite chérie. (...) Je prie Dieu afin de faire de moi un bon mari pour toi. Je t'embrasse ma chérie, dans mes pensées. Quoique vous ayez dit à Philippe, je pense que c'était très bien, je dois dire, c'est seulement qu'ils ne doivent pas le laisser encore partir et ne pas non plus le mettre en prison ça serait trop extrême, mais ils ne devraient pas chercher des choses aux personnes sympathiques encore moins lorsqu'il est de leur côté. Je vois dans les papiers que Maman et Puss je suppose, ont été le voir, comme ils disent que sa famille a été autorisée à lui payer des visites. Pauvre Puss doit être dans un horrible état de tout ce qui se passe...» - 04 décembre 1890: «Ma chérie! Je n'ai pas d'autres papiers où t'écrire donc j'utilise celui-ci. Mon trajet s'est très bien passé et je suis arrivé ici dans la soirée à la même heure qu'Alexis, que j'ai retrouvé à la gare. Je suis installé au Palais Heinrich et avec chance Willy de Nassau est aussi ici dans la même maison, et donc hier nous avons fait toutes nos visites ensemble. Nous avons diné avec le Grand-Duc de Saxe-Weimar, qui m'a parlé de vous, et avec le Duc de Nassau nous avons bu votre bouteille au diner. J'étais assis entre Alexis et Willy donc ce n'était pas si mal. Hier après-midi j'ai été reçu par la Reine qui est très aimable, et j'ai aussi vu la petite Reine, qui est une gentille petite fille. Je pense avoir changé mon uniforme 4 ou 5 fois dans la journée. Aujourd'hui aux funérailles je pense devoir y être 2 heures avant le commencement. Je devrais être en compagnie du Comte de Flandres, le Prince Italien de Savoie ainsi que le Prince de Wurtemberg. Maintenant que Dieu vous garde ma chérie, je dois y aller...» - 04 mars 1892: «(...) J'ai eu une bonne idée; Dimanche nous allons à Kossor; si le temps n'est pas trop mauvais, ça pourrait être agréable que vous veniez passer la journée. Si vous partez à 9 heures, vous seriez à Kossor vers 11 heures et prendre le train à Copenhague à 10h dans la soirée. Ca pourrait être très agréable et ça pourrait vous faire prendre un peu l'air. (...)» - 24 juin 1892: «(...) Mercredi dernier, Thyra et Ernest sont partis comme il ne pouvait pas rester plus longtemps ici, et il ne voulait pas quitter Thyra donc elle était pleine de désespoir et elle est partie sans dire un mot (...)» - 01/08/92: «(...) Je suis heureux de ne pas avoir été dans le lit lorsque vous étiez malade, j'aurais été furieux. Maintenant ma Chérie, s'il vous plaît dites à votre cher Papa que j'ai reçu sa lettre et que je suis allé chez Mr. Wolff et je ne l'ai pas trouvé chez lui, demain j'es

Auktionsarchiv: Los-Nr. 279
Auktion:
Datum:
28.04.2014
Auktionshaus:
Etude Coutau-Begarie
60 av de la bourdonnais
75007 Paris
Frankreich
information@coutaubegarie.com
+33 (0)1 45561220
+33 (0)1 45561440
Beschreibung:

VALDEMAR, prince de Danemark (1858-1939). Lot de 8 L.A.S.: «Valdemar» adressées à sa femme Marie d'Orléans, princesse de Danemark (1865-1909), datant de 1890 à 1893, 28 p., in-8, sur papier à entête de son monogramme sous couronne royale et à entête de Sandringham (Norfolk), certaines lettres sont conservées avec leur enveloppe. Texte en anglais. - 02 février 1890: «Ma chérie! Je n'ai réussi qu'à l'instant à prendre cette lettre de Schuncky. Je lui ai dit la nuit dernière lorsqu'il est parti d'être notre gentleman, comme nous en voulons un. Je ne sais pas de quoi il pourrait vivre, mais ça serait toujours une position et je pense qu'il est très agréable. Pouvez-vous demander à Mandlefrihed de lui écrire ou de lui dire, bien sûr je pourrais faire tous ces arrangements lorsque je serai revenu à la maison. (...)» - 10 février 1890: «Ma chérie! Merci beaucoup pour votre lettre que j'ai reçu ce matin. Je vous en suis très reconnaissant et je suis très heureux que notre enfant aille mieux. (...) Je suis arrivé hier à peu près à 6 heures, à Sandringham et j'y ai retrouvé Alix et Bertie ainsi que Toria et Maud. Aujourd'hui, dimanche, nous sommes allés à l'église et j'ai prié pour vous ma chérie ainsi que pour notre cher enfant pour que tout aille bien, que nous soyons heureux et que nous soyons réunis ensemble rapidement dans notre cher maison; j'aimerais venir et prendre soin de ma chère petite chérie. (...) Je prie Dieu afin de faire de moi un bon mari pour toi. Je t'embrasse ma chérie, dans mes pensées. Quoique vous ayez dit à Philippe, je pense que c'était très bien, je dois dire, c'est seulement qu'ils ne doivent pas le laisser encore partir et ne pas non plus le mettre en prison ça serait trop extrême, mais ils ne devraient pas chercher des choses aux personnes sympathiques encore moins lorsqu'il est de leur côté. Je vois dans les papiers que Maman et Puss je suppose, ont été le voir, comme ils disent que sa famille a été autorisée à lui payer des visites. Pauvre Puss doit être dans un horrible état de tout ce qui se passe...» - 04 décembre 1890: «Ma chérie! Je n'ai pas d'autres papiers où t'écrire donc j'utilise celui-ci. Mon trajet s'est très bien passé et je suis arrivé ici dans la soirée à la même heure qu'Alexis, que j'ai retrouvé à la gare. Je suis installé au Palais Heinrich et avec chance Willy de Nassau est aussi ici dans la même maison, et donc hier nous avons fait toutes nos visites ensemble. Nous avons diné avec le Grand-Duc de Saxe-Weimar, qui m'a parlé de vous, et avec le Duc de Nassau nous avons bu votre bouteille au diner. J'étais assis entre Alexis et Willy donc ce n'était pas si mal. Hier après-midi j'ai été reçu par la Reine qui est très aimable, et j'ai aussi vu la petite Reine, qui est une gentille petite fille. Je pense avoir changé mon uniforme 4 ou 5 fois dans la journée. Aujourd'hui aux funérailles je pense devoir y être 2 heures avant le commencement. Je devrais être en compagnie du Comte de Flandres, le Prince Italien de Savoie ainsi que le Prince de Wurtemberg. Maintenant que Dieu vous garde ma chérie, je dois y aller...» - 04 mars 1892: «(...) J'ai eu une bonne idée; Dimanche nous allons à Kossor; si le temps n'est pas trop mauvais, ça pourrait être agréable que vous veniez passer la journée. Si vous partez à 9 heures, vous seriez à Kossor vers 11 heures et prendre le train à Copenhague à 10h dans la soirée. Ca pourrait être très agréable et ça pourrait vous faire prendre un peu l'air. (...)» - 24 juin 1892: «(...) Mercredi dernier, Thyra et Ernest sont partis comme il ne pouvait pas rester plus longtemps ici, et il ne voulait pas quitter Thyra donc elle était pleine de désespoir et elle est partie sans dire un mot (...)» - 01/08/92: «(...) Je suis heureux de ne pas avoir été dans le lit lorsque vous étiez malade, j'aurais été furieux. Maintenant ma Chérie, s'il vous plaît dites à votre cher Papa que j'ai reçu sa lettre et que je suis allé chez Mr. Wolff et je ne l'ai pas trouvé chez lui, demain j'es

Auktionsarchiv: Los-Nr. 279
Auktion:
Datum:
28.04.2014
Auktionshaus:
Etude Coutau-Begarie
60 av de la bourdonnais
75007 Paris
Frankreich
information@coutaubegarie.com
+33 (0)1 45561220
+33 (0)1 45561440
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