POMPADOUR (Jeanne-Antoinette Poisson, marqui se de). Manuscrit poétique autographe. [Probablement 1745]. 4 pp. in-12 avec encadrement au pochoir à l’encre grenat. Copie de trois pièces de vers composées pour exalter ce haut fait du règne que fut la bataille brillamment remportée à Fontenoy, en présence du roi Louis XV, par le maréchal de Saxe contre les troupes du duc de Cumberland, le 11 mai 1745. – « Au roy » (quatrain) : « Le roy le plus aimable / Est le plus grand des roys, / Il efface par ses exploits / les héros de l’histoire et les dieux de la fable. » – Sur l’air de « La Fontenoy, fanfare » (8 sizains) : « Quels sons l’éco répette / À la gloire des lis ? / C’est la mesme trompette / Qu’henry forma jadis / À chanter la défaitte / de ces fiers ennemis... » Pièce anonyme parue dans le Mercure de France en juin 1745. – « Sur le mesme air » : « Nymphes de ce rivage / Ne chantés que les ris, / La guerre et le ravage / Sont aux champs ennemis, / Ne craignés point l’orage / Ou repose Louis... » Manuscrit mentionné en 1860 par Jules et Edmond de Goncourt dans les annexes de leur étude Madame de Pompadour, d’après un catalogue d’autographes de 1845 (Les Maîtresses de Louis XV, Paris, Firmin Didot 1860, t. II).
POMPADOUR (Jeanne-Antoinette Poisson, marqui se de). Manuscrit poétique autographe. [Probablement 1745]. 4 pp. in-12 avec encadrement au pochoir à l’encre grenat. Copie de trois pièces de vers composées pour exalter ce haut fait du règne que fut la bataille brillamment remportée à Fontenoy, en présence du roi Louis XV, par le maréchal de Saxe contre les troupes du duc de Cumberland, le 11 mai 1745. – « Au roy » (quatrain) : « Le roy le plus aimable / Est le plus grand des roys, / Il efface par ses exploits / les héros de l’histoire et les dieux de la fable. » – Sur l’air de « La Fontenoy, fanfare » (8 sizains) : « Quels sons l’éco répette / À la gloire des lis ? / C’est la mesme trompette / Qu’henry forma jadis / À chanter la défaitte / de ces fiers ennemis... » Pièce anonyme parue dans le Mercure de France en juin 1745. – « Sur le mesme air » : « Nymphes de ce rivage / Ne chantés que les ris, / La guerre et le ravage / Sont aux champs ennemis, / Ne craignés point l’orage / Ou repose Louis... » Manuscrit mentionné en 1860 par Jules et Edmond de Goncourt dans les annexes de leur étude Madame de Pompadour, d’après un catalogue d’autographes de 1845 (Les Maîtresses de Louis XV, Paris, Firmin Didot 1860, t. II).
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