PENDULE À L'AFRIQUE, ATTRIBUÉ À JEAN-SIMON-DEVERBERIE, ÉPOQUE DIRECTOIRE en bronze patiné noir, brun et or, symbolisant l’Afrique tenant un arc et une flèche, une lionne à ses côtés et son pied posé sur une tortue. Elle est assise sur un cadran rond à contour guilloché et perlé, émaillé blanc à chiffres romains pour les heures et arabes pour les quarts par Georges-Adrien Merlet situé A Paris. Base de forme oblongue à ressaut central ornée d'une frise en bas relief figurant des putti dans une scène illustrant la chasse et la pêche épaulée de guirlandes de fruits feuillagés retenues par des serpents et un masque de faune. Elle est ceinte d'une frise de perles et repose sur quatre pieds toupies. (Restaurations d'usage) A Directoire bronze mantel clock representing the allegory of Africa, attributed to Jean-Simon-Deverberie. HAUT. 18,5 CM LARG. 15 CM - PROF. 7 CM 7 1/4 IN. X 5 7/8 IN. X 2 3/4 IN. 25,000-40,000 Le dessin original de la pendule proposée, titré "l’Afrique", fut déposé par le fondeur ciseleur parisien Jean-Simon-Deverberie en AnVII (illustré dans Dominique et Pascal Flechon, "La pendule au nègre", dans Bulletin de l’association nationale des collectionneurs et amateurs d’horlogerie ancienne, printemps 1992, n°63, p.32, photo n°2). Parmi les exemplaires de pendules connues de composition identique, mentionnons notamment: un premier modèle, le cadran signé "Gaulin à Paris", qui est reproduit dans H. Ottomeyer et P. Pröschel, Vergoldete Bronzen, Die Bronzearbeiten des Spätbarock und Klassizismus, Band I, Munich, 1986, p.381, fig.5.15.25; ainsi qu’un deuxième modèle avec variante, puisque la figure repose sur une arche, qui est illustrée dans P. Kjellberg, Encyclopédie de la pendule française du Moyen Âge à nos jours, Paris, 1997, p.350; enfin, citons particulièrement un dernier exemplaire, le cadran signé "Ridel", qui appartient aux collections du Musée François Duesberg à Mons (reproduit dans le catalogue de l’exposition "De noir et d’or, Pendules "au bon sauvage", Musées Royaux d’Art et d’Histoire, Bruxelles, 1993). Georges Adrien Merlet, est connu comme émailleur de cadran dans la seconde moitié du XVIIIesiècle. Pour un exemplaire très comparable passé récemment sur le marché de l'art, nous pouvons citer celle présentée chez Me Rouillac, 10juin 2018, lot 65, vendue 34000
PENDULE À L'AFRIQUE, ATTRIBUÉ À JEAN-SIMON-DEVERBERIE, ÉPOQUE DIRECTOIRE en bronze patiné noir, brun et or, symbolisant l’Afrique tenant un arc et une flèche, une lionne à ses côtés et son pied posé sur une tortue. Elle est assise sur un cadran rond à contour guilloché et perlé, émaillé blanc à chiffres romains pour les heures et arabes pour les quarts par Georges-Adrien Merlet situé A Paris. Base de forme oblongue à ressaut central ornée d'une frise en bas relief figurant des putti dans une scène illustrant la chasse et la pêche épaulée de guirlandes de fruits feuillagés retenues par des serpents et un masque de faune. Elle est ceinte d'une frise de perles et repose sur quatre pieds toupies. (Restaurations d'usage) A Directoire bronze mantel clock representing the allegory of Africa, attributed to Jean-Simon-Deverberie. HAUT. 18,5 CM LARG. 15 CM - PROF. 7 CM 7 1/4 IN. X 5 7/8 IN. X 2 3/4 IN. 25,000-40,000 Le dessin original de la pendule proposée, titré "l’Afrique", fut déposé par le fondeur ciseleur parisien Jean-Simon-Deverberie en AnVII (illustré dans Dominique et Pascal Flechon, "La pendule au nègre", dans Bulletin de l’association nationale des collectionneurs et amateurs d’horlogerie ancienne, printemps 1992, n°63, p.32, photo n°2). Parmi les exemplaires de pendules connues de composition identique, mentionnons notamment: un premier modèle, le cadran signé "Gaulin à Paris", qui est reproduit dans H. Ottomeyer et P. Pröschel, Vergoldete Bronzen, Die Bronzearbeiten des Spätbarock und Klassizismus, Band I, Munich, 1986, p.381, fig.5.15.25; ainsi qu’un deuxième modèle avec variante, puisque la figure repose sur une arche, qui est illustrée dans P. Kjellberg, Encyclopédie de la pendule française du Moyen Âge à nos jours, Paris, 1997, p.350; enfin, citons particulièrement un dernier exemplaire, le cadran signé "Ridel", qui appartient aux collections du Musée François Duesberg à Mons (reproduit dans le catalogue de l’exposition "De noir et d’or, Pendules "au bon sauvage", Musées Royaux d’Art et d’Histoire, Bruxelles, 1993). Georges Adrien Merlet, est connu comme émailleur de cadran dans la seconde moitié du XVIIIesiècle. Pour un exemplaire très comparable passé récemment sur le marché de l'art, nous pouvons citer celle présentée chez Me Rouillac, 10juin 2018, lot 65, vendue 34000
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