MAC ORLAN, Pierre " La Saison des poires " Dessin original, signé de son monogramme " PMO ", en bas à droite, avec légende autographe " La Saison des poires " en bas au centre. Aquarelle, encre et plume. 9 x 10, 5 cm, encadrement sous verre. Dessin satirique illustrant de manière bucolique le sentiment de duperie qui envahit fréquemment les poilus, soit par incompréhension de la guerre, soit par ressentiment contre les planqués de l'arrière. La guerre de Mac Orlan. L'écrivain, qui combattit dans l'infanterie dès août 1914 et jusqu'à sa blessure reçue devant Péronne le 14 septembre 1916, témoigna de son expérience du front dans plusieurs ouvrages : Les Poissons morts (1917), La Fin (1919), Devant la Meuse (1934) - réunis dans Propos d'Infanterie (1936), puis dans Verdun (1935) et Dans les tranchées (1939). Il évoqua également la guerre dans deux romans, l'un largement autobiographique, Bob bataillonnaire (1919), et l'autre fantaisiste, U-713 ou les Gentilshommes d'infortune (1917). Envoi autographe signé : " À mon excellent camarade Maurice Jost, souvenir de guerre. P. Mac Orlan ". On peut sans doute identifier les deux soldats du premier plan à Mac Orlan et son ami. Bibliographie - DESSINS D'ECRIVAINS. Paris, Éditions du Chêne, 2003. Reproduction p. 79.
MAC ORLAN, Pierre " La Saison des poires " Dessin original, signé de son monogramme " PMO ", en bas à droite, avec légende autographe " La Saison des poires " en bas au centre. Aquarelle, encre et plume. 9 x 10, 5 cm, encadrement sous verre. Dessin satirique illustrant de manière bucolique le sentiment de duperie qui envahit fréquemment les poilus, soit par incompréhension de la guerre, soit par ressentiment contre les planqués de l'arrière. La guerre de Mac Orlan. L'écrivain, qui combattit dans l'infanterie dès août 1914 et jusqu'à sa blessure reçue devant Péronne le 14 septembre 1916, témoigna de son expérience du front dans plusieurs ouvrages : Les Poissons morts (1917), La Fin (1919), Devant la Meuse (1934) - réunis dans Propos d'Infanterie (1936), puis dans Verdun (1935) et Dans les tranchées (1939). Il évoqua également la guerre dans deux romans, l'un largement autobiographique, Bob bataillonnaire (1919), et l'autre fantaisiste, U-713 ou les Gentilshommes d'infortune (1917). Envoi autographe signé : " À mon excellent camarade Maurice Jost, souvenir de guerre. P. Mac Orlan ". On peut sans doute identifier les deux soldats du premier plan à Mac Orlan et son ami. Bibliographie - DESSINS D'ECRIVAINS. Paris, Éditions du Chêne, 2003. Reproduction p. 79.
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