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Auktionsarchiv: Los-Nr. 366*

Lamborghini Countach LP400 Coupé "Periscopio" 1974

Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
638.250 €
ca. 782.742 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 366*

Lamborghini Countach LP400 Coupé "Periscopio" 1974

Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
638.250 €
ca. 782.742 $
Beschreibung:

Châssis n° LP400 112 0016 •Une supercar révolutionnaire, dans sa première version, la plus pure •Livrée neuve en Allemagne •Entretien récent •Immatriculée en Suisse "Du fait de l'attrait exercé par son allure totalement extravagante, et de son potentiel sur circuit qu'on retrouve sur route, il n'existe pas de meilleure voiture. On a d'ailleurs du mal à imaginer qu'elle puisse être détrônée", a écrit le magazine Car à propos de la Lamborghini Countach. On considérait que la légendaire Miura serait difficile à remplacer ; la facilité avec laquelle son successeur éclipsa cette reine des supercars des années 1960 fut donc un choc pour tous. La Countach, vedette du Salon de Genève 1971, était dessinée comme son prédécesseur par Marcello Gandini de la Carrozzeria Bertone. D'un aspect agressif sous tous ses angles, la Countach n'était rien moins que spectaculaire et donnait l'impression de venir d'une autre planète. Ainsi que le faisait remarquer Motor : "Rares étaient les admirateurs de la première Countach de Bertone, à Genève en 1971, qui voyaient en elle autre chose qu'un concept-car, que ce soit à cause de ses portes pivotantes ou de son intérieur futuriste à la consternante visibilité arrière, sans parler de sa bizarre architecture moteur-boîte." Lamborghini ne fit heureusement pas cas des critiques sur le manque de praticité supposé de sa voiture, et la Countach fut mise en production avec peu de modifications. La version série n'apparut pas avant deux ans, et les livraisons débutèrent en 1974. Sa mécanique était en grande partie reconduite de la Miura, bien que les lacunes de celle-ci en tenue de route et en stabilité aient été jugées inacceptables sur la Countach. De même, il fallait abaisser les niveaux de température et de bruit dans l'habitacle, et reconcevoir une commande de vitesses plus agréable. Le V12 à quatre arbres à cames de la Miura fut conservé pour la Countach, mais implanté longitudinalement et équipé de carburateurs Weber horizontaux. Et pour optimiser la répartition des masses, le concepteur, Paolo Stanzani, implanta la boîte cinq vitesses en avant du moteur, entre les sièges, et le différentiel à l'arrière, la liaison entre les deux se faisant par un arbre qui traversait le carter d'huile. Il en résultait une commande de vitesses très agréable et une voiture mieux équilibrée que la Miura. A son démarrage en série, en 1974, la Countach était dotée d'un châssis treillis, à la place de la semi-monocoque mal conçue du prototype, et d'une carrosserie en aluminium. L'un des points les plus frappants de la Countach était ses portes à ouverture verticale, pivotant autour de leur extrémité avant et soutenues par un vérin hydraulique. La Countach de série fut équipée du 4,0 litres connu, à la place du 5,0 litres du prototype. Même avec ce petit moteur ne délivrant "que" 375 chevaux, la Countach atteignait 274 km/h grâce à son efficacité aérodynamique et bénéficiait d'une tenue de route digne d'une voiture de circuit. Baptisée LP400 par l'usine (LP pour Longitudinale Posteriore, l'implantation du moteur), la première Countach est usuellement connue comme le periscopio, d'après son périscope central implanté dans le pavillon pour ménager de la visibilité vers l'arrière. Ce magnifique exemplaire de la révolutionnaire Countach, dans sa version d'origine LP400 periscopio, est l'un des environ 157 construits entre 1974 et 1977, chiffre qui explique pourquoi on n'en voit que rarement à vendre. Le châssis "0016", équipé de la carrosserie "8", fut livré neuf en Allemagne en Nero (noir) avec intérieur en cuir Senape (moutarde). Elle est actuellement rouge avec un intérieur beige, et a été équipée des roues de la LP400 S. Cette Countach fut achetée par son vendeur en Suisse et est propriété de sa famille depuis avril 1994. Son précédent propriétaire était suisse, M. Gregor Furrer, qui l'avait achetée neuve en 1974. La "0016" a récemment fait l'objet d'une révision et a été entretenue depuis 1994 par le même mécanicien, M. Sonz

Auktionsarchiv: Los-Nr. 366*
Auktion:
Datum:
08.02.2018
Auktionshaus:
Bonhams London
Paris, The Grand Palais The Grand Palais Avenue Winston Churchill 75008 Paris Tel: +33 (0)1 42 61 10 10 Fax : +33 (0)1 42 61 10 15 paris@bonhams.com
Beschreibung:

Châssis n° LP400 112 0016 •Une supercar révolutionnaire, dans sa première version, la plus pure •Livrée neuve en Allemagne •Entretien récent •Immatriculée en Suisse "Du fait de l'attrait exercé par son allure totalement extravagante, et de son potentiel sur circuit qu'on retrouve sur route, il n'existe pas de meilleure voiture. On a d'ailleurs du mal à imaginer qu'elle puisse être détrônée", a écrit le magazine Car à propos de la Lamborghini Countach. On considérait que la légendaire Miura serait difficile à remplacer ; la facilité avec laquelle son successeur éclipsa cette reine des supercars des années 1960 fut donc un choc pour tous. La Countach, vedette du Salon de Genève 1971, était dessinée comme son prédécesseur par Marcello Gandini de la Carrozzeria Bertone. D'un aspect agressif sous tous ses angles, la Countach n'était rien moins que spectaculaire et donnait l'impression de venir d'une autre planète. Ainsi que le faisait remarquer Motor : "Rares étaient les admirateurs de la première Countach de Bertone, à Genève en 1971, qui voyaient en elle autre chose qu'un concept-car, que ce soit à cause de ses portes pivotantes ou de son intérieur futuriste à la consternante visibilité arrière, sans parler de sa bizarre architecture moteur-boîte." Lamborghini ne fit heureusement pas cas des critiques sur le manque de praticité supposé de sa voiture, et la Countach fut mise en production avec peu de modifications. La version série n'apparut pas avant deux ans, et les livraisons débutèrent en 1974. Sa mécanique était en grande partie reconduite de la Miura, bien que les lacunes de celle-ci en tenue de route et en stabilité aient été jugées inacceptables sur la Countach. De même, il fallait abaisser les niveaux de température et de bruit dans l'habitacle, et reconcevoir une commande de vitesses plus agréable. Le V12 à quatre arbres à cames de la Miura fut conservé pour la Countach, mais implanté longitudinalement et équipé de carburateurs Weber horizontaux. Et pour optimiser la répartition des masses, le concepteur, Paolo Stanzani, implanta la boîte cinq vitesses en avant du moteur, entre les sièges, et le différentiel à l'arrière, la liaison entre les deux se faisant par un arbre qui traversait le carter d'huile. Il en résultait une commande de vitesses très agréable et une voiture mieux équilibrée que la Miura. A son démarrage en série, en 1974, la Countach était dotée d'un châssis treillis, à la place de la semi-monocoque mal conçue du prototype, et d'une carrosserie en aluminium. L'un des points les plus frappants de la Countach était ses portes à ouverture verticale, pivotant autour de leur extrémité avant et soutenues par un vérin hydraulique. La Countach de série fut équipée du 4,0 litres connu, à la place du 5,0 litres du prototype. Même avec ce petit moteur ne délivrant "que" 375 chevaux, la Countach atteignait 274 km/h grâce à son efficacité aérodynamique et bénéficiait d'une tenue de route digne d'une voiture de circuit. Baptisée LP400 par l'usine (LP pour Longitudinale Posteriore, l'implantation du moteur), la première Countach est usuellement connue comme le periscopio, d'après son périscope central implanté dans le pavillon pour ménager de la visibilité vers l'arrière. Ce magnifique exemplaire de la révolutionnaire Countach, dans sa version d'origine LP400 periscopio, est l'un des environ 157 construits entre 1974 et 1977, chiffre qui explique pourquoi on n'en voit que rarement à vendre. Le châssis "0016", équipé de la carrosserie "8", fut livré neuf en Allemagne en Nero (noir) avec intérieur en cuir Senape (moutarde). Elle est actuellement rouge avec un intérieur beige, et a été équipée des roues de la LP400 S. Cette Countach fut achetée par son vendeur en Suisse et est propriété de sa famille depuis avril 1994. Son précédent propriétaire était suisse, M. Gregor Furrer, qui l'avait achetée neuve en 1974. La "0016" a récemment fait l'objet d'une révision et a été entretenue depuis 1994 par le même mécanicien, M. Sonz

Auktionsarchiv: Los-Nr. 366*
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Datum:
08.02.2018
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Paris, The Grand Palais The Grand Palais Avenue Winston Churchill 75008 Paris Tel: +33 (0)1 42 61 10 10 Fax : +33 (0)1 42 61 10 15 paris@bonhams.com
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