S (Flèche jaune)
Lithographie et gaufrage Signée en bas à droite Numérotée 34/99 H : 76 cm - L : 56 cm
Auteur KUMI SUGAI (1919 - 1996) Kumi Sugaï est un peintre, graveur et sculpteur japonais (Kobe, 1919 - id. 1996). Après une formation à l'école des Beaux-Arts d'Osaka, où il découvre à la fois la peinture calligraphique et les courants occidentaux, Kumi Sugaï commence par une carrière de dessinateur dans une agence commerciale. Sa rencontre avec l'œuvre de Miro et celle de Klee l'oriente vers une carrière artistique. Kumi Sugaï quitte le Japon en 1952 pour s'installer à Paris. Ses premières œuvres européennes sont inspirées par les kanji. Au cours des années 1950, son langage plastique devient plus matiériste. C'est en 1958 que Sugaï utilise la seule force du signe gestuel dans de grandes compositions dites "emblématiques". À l'aube des années 1960, les formes se simplifient, la gamme chromatique se réduit à quelques couleurs vives ou noires pour explorer les différents territoires de l'abstraction géométrique. Il réalise à la même époque quelques sculptures en bronze. Au cours des années 70, les œuvres multiplient les effets cinétiques dans un esprit proche de l'art optique. Il représente le Japon à la biennale de Venise de 1968. Les œuvres de Sugaï sont présentes au M.O.M.A. de New York, au musée Boymans Van Beurringen de Rotterdam, au M.N.A.M. de Paris ainsi que dans de très nombreux musées japonais
S (Flèche jaune)
Lithographie et gaufrage Signée en bas à droite Numérotée 34/99 H : 76 cm - L : 56 cm
Auteur KUMI SUGAI (1919 - 1996) Kumi Sugaï est un peintre, graveur et sculpteur japonais (Kobe, 1919 - id. 1996). Après une formation à l'école des Beaux-Arts d'Osaka, où il découvre à la fois la peinture calligraphique et les courants occidentaux, Kumi Sugaï commence par une carrière de dessinateur dans une agence commerciale. Sa rencontre avec l'œuvre de Miro et celle de Klee l'oriente vers une carrière artistique. Kumi Sugaï quitte le Japon en 1952 pour s'installer à Paris. Ses premières œuvres européennes sont inspirées par les kanji. Au cours des années 1950, son langage plastique devient plus matiériste. C'est en 1958 que Sugaï utilise la seule force du signe gestuel dans de grandes compositions dites "emblématiques". À l'aube des années 1960, les formes se simplifient, la gamme chromatique se réduit à quelques couleurs vives ou noires pour explorer les différents territoires de l'abstraction géométrique. Il réalise à la même époque quelques sculptures en bronze. Au cours des années 70, les œuvres multiplient les effets cinétiques dans un esprit proche de l'art optique. Il représente le Japon à la biennale de Venise de 1968. Les œuvres de Sugaï sont présentes au M.O.M.A. de New York, au musée Boymans Van Beurringen de Rotterdam, au M.N.A.M. de Paris ainsi que dans de très nombreux musées japonais
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