Le couple Gouache 61 x 49 cm à la vue Signé et daté en bas à droite Jean Launois 0ran.41 Porte au dos sur le cadre une ancienne étiquette de vente 09/12/95 Jean LAUNOIS Jean Launois, commença son apprentissage sous les auspices et les conseils de Charles Milcendeau et Aguste Lepère e n Vendée . Pensionnaire mythique de la Villa Abd-el- Tif il sera l'amoureux inconditionel de l'Algérie . Il entraine dans la Casbah blanche ses camarades artistes et voyage avec Albert Marquet . De L'Algerie en passant par la Tunisie et le Maroc il rapporte un nombre considérable d'études qui synthétisent son sens de l'observation, montrant la diversité d'un ethnique d'un monde qui le fascine. Plus tard il se lie d'amitié avec d'autres artistes comme Tal Coat, Maurice Bouviolle, Lucien Mainssieux La guerre de 39-45 et sa mobilisation stoppent nette sa création et son inspiration faite d'un monde d'humanisme et de douceur orientale. Grâce à l'intervention de son ami Dunoyer de Segonzac plutôt que de se battre sur le front il est envoyé au service du camouflage. Jean Launois a marqué par sa personnalité ses amis et son entourage, personne ne résiste à son charme et à sa force de persuasion dans la Casbah réputée comme fermée et dangereuse. Les amateurs, eux sont éblouis par son travail, la Galerie Druet l'expose, les prix et les récompenses les plus prestigieuses de l'époque lui sont décernées presque chaque année, le poète Gabriel Audisio lui consacre un poème: «Grand rire secoué les fruits tombent de l'arbre: Launois, duc de l'escale, a désanglé l'amour. Démobilisé en 1940, il rentre en Algérie qu'il considère comme sa terre ; il meurt prématurément et démuni en 1942. Francis Carco, Jean Alazard, Mainssieux, Etienne Bouchaud Claude Roger Marx lui consacre des articles et des textes de souvenirs des plus émouvants. Les expositions au Musée de l'Abbaye Sainte Croix des Sables d'Olonne en 1976, puis l'exposition itinérante du musée de la Ville de Paris en 1985 permirent de jeter un regard neuf sur une oeuvre jamais démodée . Plus récemment Elisabeth Cazenave lui consacra un grand article dans son ouvrage « La villa Abd el Tif
Le couple Gouache 61 x 49 cm à la vue Signé et daté en bas à droite Jean Launois 0ran.41 Porte au dos sur le cadre une ancienne étiquette de vente 09/12/95 Jean LAUNOIS Jean Launois, commença son apprentissage sous les auspices et les conseils de Charles Milcendeau et Aguste Lepère e n Vendée . Pensionnaire mythique de la Villa Abd-el- Tif il sera l'amoureux inconditionel de l'Algérie . Il entraine dans la Casbah blanche ses camarades artistes et voyage avec Albert Marquet . De L'Algerie en passant par la Tunisie et le Maroc il rapporte un nombre considérable d'études qui synthétisent son sens de l'observation, montrant la diversité d'un ethnique d'un monde qui le fascine. Plus tard il se lie d'amitié avec d'autres artistes comme Tal Coat, Maurice Bouviolle, Lucien Mainssieux La guerre de 39-45 et sa mobilisation stoppent nette sa création et son inspiration faite d'un monde d'humanisme et de douceur orientale. Grâce à l'intervention de son ami Dunoyer de Segonzac plutôt que de se battre sur le front il est envoyé au service du camouflage. Jean Launois a marqué par sa personnalité ses amis et son entourage, personne ne résiste à son charme et à sa force de persuasion dans la Casbah réputée comme fermée et dangereuse. Les amateurs, eux sont éblouis par son travail, la Galerie Druet l'expose, les prix et les récompenses les plus prestigieuses de l'époque lui sont décernées presque chaque année, le poète Gabriel Audisio lui consacre un poème: «Grand rire secoué les fruits tombent de l'arbre: Launois, duc de l'escale, a désanglé l'amour. Démobilisé en 1940, il rentre en Algérie qu'il considère comme sa terre ; il meurt prématurément et démuni en 1942. Francis Carco, Jean Alazard, Mainssieux, Etienne Bouchaud Claude Roger Marx lui consacre des articles et des textes de souvenirs des plus émouvants. Les expositions au Musée de l'Abbaye Sainte Croix des Sables d'Olonne en 1976, puis l'exposition itinérante du musée de la Ville de Paris en 1985 permirent de jeter un regard neuf sur une oeuvre jamais démodée . Plus récemment Elisabeth Cazenave lui consacra un grand article dans son ouvrage « La villa Abd el Tif
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