B ROSSET, François de & LA SALE, Antoine de. Les Quinze Joyes de Mariage . Ou la Nasse, dans laquelle sont détenus plusieurs personnages de nostre temps. . Mises en lumiere par Fran. de Rosset. A Rouen, par Jacques Cailloué, tenant sa boutique dans la Court du Palais. 1625. Petit in-12, (12 ff), 202 pages, (1 f. blanc). Plein maroquin cerise, triple filet doré sur les plats, dos à 5 nerfs très orné ; roulettes intérieures ; toutes tranches dorées. Exemplaire lavé. Reliure établie entre 1840 et 1850, signée Bauzonnet-Trautz. Très rare édition de cet ouvrage, attribué peut-être à tort à Antoine de La Sale, dont les premiers manuscrits datent du Moyen-Age, et qui fut remanié au début du XVIIème siècle par François de Rosset. Les Quinze Joyes de Mariage sont des satires extrêmement malicieuses et quelque peu misogynes, inspirées des Quinze Joyes de la Vierge. Cette édition n'est pas citée par Brunet, qui en tient pourtant le répertoire, ni par Pia, ni dans l'ouvrage collectif consacré aux Quinze Joyes publié en 2009 par l'Université de Rouen . On en trouve trace cependant dans deux ventes anciennes : en 1778, n° 612 du catalogue de livres des bibliothèques des ci-devant Jésuites de Bruges ; et en 1806, n°1217 de la Bibliothèque des Livres rares et précieux de feu M. D.
B ROSSET, François de & LA SALE, Antoine de. Les Quinze Joyes de Mariage . Ou la Nasse, dans laquelle sont détenus plusieurs personnages de nostre temps. . Mises en lumiere par Fran. de Rosset. A Rouen, par Jacques Cailloué, tenant sa boutique dans la Court du Palais. 1625. Petit in-12, (12 ff), 202 pages, (1 f. blanc). Plein maroquin cerise, triple filet doré sur les plats, dos à 5 nerfs très orné ; roulettes intérieures ; toutes tranches dorées. Exemplaire lavé. Reliure établie entre 1840 et 1850, signée Bauzonnet-Trautz. Très rare édition de cet ouvrage, attribué peut-être à tort à Antoine de La Sale, dont les premiers manuscrits datent du Moyen-Age, et qui fut remanié au début du XVIIème siècle par François de Rosset. Les Quinze Joyes de Mariage sont des satires extrêmement malicieuses et quelque peu misogynes, inspirées des Quinze Joyes de la Vierge. Cette édition n'est pas citée par Brunet, qui en tient pourtant le répertoire, ni par Pia, ni dans l'ouvrage collectif consacré aux Quinze Joyes publié en 2009 par l'Université de Rouen . On en trouve trace cependant dans deux ventes anciennes : en 1778, n° 612 du catalogue de livres des bibliothèques des ci-devant Jésuites de Bruges ; et en 1806, n°1217 de la Bibliothèque des Livres rares et précieux de feu M. D.
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