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Auktionsarchiv: Los-Nr. 85

ARITHMOMÈTRE "PAYEN AIGLE" - VEUVE LÉONTINE PAYEN. "L. Payen, Paris 9e, 16 rue

Schätzpreis
1.000 € - 1.500 €
ca. 1.179 $ - 1.769 $
Zuschlagspreis:
1.200 €
ca. 1.415 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 85

ARITHMOMÈTRE "PAYEN AIGLE" - VEUVE LÉONTINE PAYEN. "L. Payen, Paris 9e, 16 rue

Schätzpreis
1.000 € - 1.500 €
ca. 1.179 $ - 1.769 $
Zuschlagspreis:
1.200 €
ca. 1.415 $
Beschreibung:

ARITHMOMÈTRE "PAYEN AIGLE" - VEUVE LÉONTINE PAYEN. "L. Payen, Paris 9e, 16 rue de la Tour des Dames", [1912], boîte en acajou avec cornières et cartouche muet incrusté sur le couvercle en laiton, mécanisme en laiton et métal. L'arithmomètre fut la première machine de calcul commercialisée au monde et, pendant près de quarante ans, il sera le seul type de machine à calculer disponible à la vente. Ce calculateur permettait d'additionner et de soustraire deux nombres d'une façon directe et il facilitait les opérations de multiplication et de division grâce à une platine de résultat mobile. C'est au français Thomas de Colmar que l'on doit l'invention de cette machine, en 1820. Elle fut commercialisée avec succès de 1851 à 1915 et, dès 1854, l'Académie des Sciences en reconnaissait l'intérêt scientifique. Entre 1887, date à laquelle Louis Payen reprend l'affaire, et 1915, l'arithmomètre évolue rapidement avec une mécanique finalement plus fiable. Machine à calculer Payen, successeur de Thomas de Colmar ; cachet du fabricant gravé à son adresse : "16, rue de la Tour des Dames" et le numéro de série "1251". Le logo gravé de la veuve Louis Payen (les lettres "V.L.P." surmontées d'un aigle) figure sur ce modèle, celle-ci reprit l'affaire à la mort de son mari en 1901 et continua jusqu'au début de la Première Guerre Mondiale. Elle déposa un brevet en 1907 pour un nouvel arithmomètre offrant une capacité supérieure et un nouveau système de remise à zéro. La production fut stoppée en 1914, le cuivre et le laiton sont alors réquisitionnés pour l'effort de guerre. De 1865 à 1907 les numéros de série furent consécutifs (de 500 à 4 000), lors du dépôt de son brevet la veuve Léontine Payen commença une nouvelle numérotation en ajoutant son nom au logo des machines et en utilisant 500 comme numéro de série de départ (correspondant au nombre de machines qu'elle avait construit sous le nom L. Payen) et elle continua jusqu'au numéro 1700 en 1914. Ce modèle connu sous la dénomination de "Payen Aigle" repose sur un châssis rectangulaire relié à la boîte par deux charnières à l'avant et par deux glissières en arc de cercle sur les petits côtés, permettant d'incliner la machine vers soi : deux vis de blocage sur les côtés maintiennent la position. Ce système d'inclinaison est actuellement enrayé. Les numéros de 0 à 9 sont gravés en blanc sur lamelles noires rapportées, les boutons, manivelles et tirettes sont en métal. La mécanique paraît être en bon état, points d'usures et de salissures, deux petits boutons à vis métalliques permettant de changer les chiffres sont manquants mais ceux-ci sont interchangeables. Le coffret est sali et noirci par endroits. Sans sa clef d'origine. Une révision de la machine pour une remise en route est nécessaire. À noter la présence d'une plaque rivetée sur le côté droit inférieur de la boîte portant le n°872. Numéro d'inventaire d'une collection. (Caisse des dépôts) Références : Marguin (Jean), Histoire des Instruments et machines à calculer. Hermann, 1994 ; Valérie Monnier, www.arithmometre.org Dimensions : 61, 5 x 18,5 cm H. 15,5 cm

Auktionsarchiv: Los-Nr. 85
Auktion:
Datum:
17.11.2017
Auktionshaus:
Kapandji Morhange-SVV
Passage Jouffroy 46 B
75009 Paris
Frankreich
km@ka-mondo.fr
+33 (0)1 48242610
+33 (0)1 48242611
Beschreibung:

ARITHMOMÈTRE "PAYEN AIGLE" - VEUVE LÉONTINE PAYEN. "L. Payen, Paris 9e, 16 rue de la Tour des Dames", [1912], boîte en acajou avec cornières et cartouche muet incrusté sur le couvercle en laiton, mécanisme en laiton et métal. L'arithmomètre fut la première machine de calcul commercialisée au monde et, pendant près de quarante ans, il sera le seul type de machine à calculer disponible à la vente. Ce calculateur permettait d'additionner et de soustraire deux nombres d'une façon directe et il facilitait les opérations de multiplication et de division grâce à une platine de résultat mobile. C'est au français Thomas de Colmar que l'on doit l'invention de cette machine, en 1820. Elle fut commercialisée avec succès de 1851 à 1915 et, dès 1854, l'Académie des Sciences en reconnaissait l'intérêt scientifique. Entre 1887, date à laquelle Louis Payen reprend l'affaire, et 1915, l'arithmomètre évolue rapidement avec une mécanique finalement plus fiable. Machine à calculer Payen, successeur de Thomas de Colmar ; cachet du fabricant gravé à son adresse : "16, rue de la Tour des Dames" et le numéro de série "1251". Le logo gravé de la veuve Louis Payen (les lettres "V.L.P." surmontées d'un aigle) figure sur ce modèle, celle-ci reprit l'affaire à la mort de son mari en 1901 et continua jusqu'au début de la Première Guerre Mondiale. Elle déposa un brevet en 1907 pour un nouvel arithmomètre offrant une capacité supérieure et un nouveau système de remise à zéro. La production fut stoppée en 1914, le cuivre et le laiton sont alors réquisitionnés pour l'effort de guerre. De 1865 à 1907 les numéros de série furent consécutifs (de 500 à 4 000), lors du dépôt de son brevet la veuve Léontine Payen commença une nouvelle numérotation en ajoutant son nom au logo des machines et en utilisant 500 comme numéro de série de départ (correspondant au nombre de machines qu'elle avait construit sous le nom L. Payen) et elle continua jusqu'au numéro 1700 en 1914. Ce modèle connu sous la dénomination de "Payen Aigle" repose sur un châssis rectangulaire relié à la boîte par deux charnières à l'avant et par deux glissières en arc de cercle sur les petits côtés, permettant d'incliner la machine vers soi : deux vis de blocage sur les côtés maintiennent la position. Ce système d'inclinaison est actuellement enrayé. Les numéros de 0 à 9 sont gravés en blanc sur lamelles noires rapportées, les boutons, manivelles et tirettes sont en métal. La mécanique paraît être en bon état, points d'usures et de salissures, deux petits boutons à vis métalliques permettant de changer les chiffres sont manquants mais ceux-ci sont interchangeables. Le coffret est sali et noirci par endroits. Sans sa clef d'origine. Une révision de la machine pour une remise en route est nécessaire. À noter la présence d'une plaque rivetée sur le côté droit inférieur de la boîte portant le n°872. Numéro d'inventaire d'une collection. (Caisse des dépôts) Références : Marguin (Jean), Histoire des Instruments et machines à calculer. Hermann, 1994 ; Valérie Monnier, www.arithmometre.org Dimensions : 61, 5 x 18,5 cm H. 15,5 cm

Auktionsarchiv: Los-Nr. 85
Auktion:
Datum:
17.11.2017
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