Premium-Seiten ohne Registrierung:

Auktionsarchiv: Los-Nr. 39

1936 Bugatti 57 Atlantic modifiée Erik Koux

Schätzpreis
800.000 € - 1.200.000 €
ca. 907.178 $ - 1.360.767 $
Zuschlagspreis:
852.936 €
ca. 967.206 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 39

1936 Bugatti 57 Atlantic modifiée Erik Koux

Schätzpreis
800.000 € - 1.200.000 €
ca. 907.178 $ - 1.360.767 $
Zuschlagspreis:
852.936 €
ca. 967.206 $
Beschreibung:

1936 Bugatti 57 Atlantic modifiée Erik Koux Carte grise française Châssis n° 57654 Boîte à cames n° 9G (gauche) et 28D (droite) Boite n° 256 avec couvercle n° 219 Pont n° 335 - Projet à partir d'une Bugatti 57 - Réalisation de très haut niveau - Carrosserie en aluminium - La plus belle réalisation d'Erik Koux avec carrosserie aluminium - État superbe Aujourd'hui, les Bugatti Atlantic authentiques sont entre les mains de collectionneurs qui ne souhaitent pas s'en défaire, et elles font partie des automobiles les plus chères du monde. Par conséquent, l'amateur souhaitant profiter de cette création fabuleuse de Jean Bugatti sur la base du brillant châssis 57 S, n'a pas d'autre choix que de se tourner vers une reconstruction où le meilleur côtoie le pire. Ici, nous avons le plaisir de proposer une des plus belles et des plus fidèles répliques de Bugatti Atlantic existantes. Elle a en effet l'avantage de s'appuyer sur une authentique Bugatti 57 (châssis n°57654), carrossée en berline 57 par Gangloff. Elle était assez complète selon les souvenirs de Hans Matti, spécialiste suisse de la marque. En 1954, cette voiture était immatriculée à Paris, puis elle a été achetée vers 1986 par un important collectionneur français ayant possédé une douzaine de Bugatti. A l'époque toutefois, la 57 quatre portes ne le satisfaisait pas et il ne la considérait que comme une base car il rêvait du nec plus ultra en matière de Bugatti, une Atlantic. Il se trouve qu'à la même époque, un ingénieur danois du nom d'Erik Koux vivant dans le sud de la France, commençait à réfléchir à la réalisation de répliques de Bugatti Atlantic. Véritable passionné de la marque et génie créatif, Erik Koux va se lancer dans l'entreprise folle de reconstruire cette voiture mythique. En 1989, les deux hommes commencent un échange de correspondance pour initier le projet de fabriquer, sur la base de la 57 654, une Atlantic la plus proche possible de l'originale. En novembre 1991, la voiture est acheminée en châssis dans l'atelier d'Erik Koux, pour commencer la transformation. Les différences entre une 57 et une 57 S Atlantic se concentrent principalement au niveau du moteur (à carter sec pour la 57 S), du châssis (plus bas pour la 57 S) et bien sûr de la carrosserie. Par conséquent, Koux fournit un châssis de type 57 S de sa fabrication, ainsi qu'un carter moteur réalisé spécialement, l'élément d'origine étant introuvable. Il l'adapte en utilisant les boîtes à came reprises sur la 57 654, numéro 9 G (gauche) et 28D (droite). L'ensemble moteur-boîte passera ensuite entre les mains de Laurent Rondoni, le spécialiste mondialement reconnu de Ventoux Moteurs, à Carpentras, pour une remise en état complète. La voiture arrive ensuite en 1993 dans les ateliers Fernandez, basés à Lausanne, un des plus réputés de Suisse pour la réalisation de la carrosserie. Ce spécialiste a travaillé sur des projets fantastiques tels la remise en état d'une carrosserie Talbot "Goutte d'eau" ayant remporté le concours d'élégance de Pebble Beach ainsi que la réalisation, en 1992, d'une première Bugatti Atlantic par Koux en Aluminium pour un important collectionneur hollandais (57302). Il a donc déjà pu approfondir sa connaissance du modèle et dans ce but, les cotes et plans détaillés de la carrosserie ont été fournis par Erik Koux à partir de la voiture d'origine. Il fait construire ainsi entièrement la structure en bois de la voiture par l'ébénisterie G.Clavel avant de réaliser une carrosserie en aluminium magistralement réussie. Une fois achevée, la carrosserie a été envoyée à l'atelier Margairaz, de Lausanne, pour peinture. Terminée en 1995, la voiture a été peaufinée chez Fernandez et Guifrida avant de passer avec succès en 1996 le contrôle technique, et, d'être immatriculée en France. Cette voiture, tout à fait atypique, est accompagnée d'un volumineux dossier qui en retrace la gestation et la réalisation, avec une abondante correspondance avec Erik Koux et de nombreuses factures. L'intérêt de cett

Auktionsarchiv: Los-Nr. 39
Auktion:
Datum:
08.02.2019
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

1936 Bugatti 57 Atlantic modifiée Erik Koux Carte grise française Châssis n° 57654 Boîte à cames n° 9G (gauche) et 28D (droite) Boite n° 256 avec couvercle n° 219 Pont n° 335 - Projet à partir d'une Bugatti 57 - Réalisation de très haut niveau - Carrosserie en aluminium - La plus belle réalisation d'Erik Koux avec carrosserie aluminium - État superbe Aujourd'hui, les Bugatti Atlantic authentiques sont entre les mains de collectionneurs qui ne souhaitent pas s'en défaire, et elles font partie des automobiles les plus chères du monde. Par conséquent, l'amateur souhaitant profiter de cette création fabuleuse de Jean Bugatti sur la base du brillant châssis 57 S, n'a pas d'autre choix que de se tourner vers une reconstruction où le meilleur côtoie le pire. Ici, nous avons le plaisir de proposer une des plus belles et des plus fidèles répliques de Bugatti Atlantic existantes. Elle a en effet l'avantage de s'appuyer sur une authentique Bugatti 57 (châssis n°57654), carrossée en berline 57 par Gangloff. Elle était assez complète selon les souvenirs de Hans Matti, spécialiste suisse de la marque. En 1954, cette voiture était immatriculée à Paris, puis elle a été achetée vers 1986 par un important collectionneur français ayant possédé une douzaine de Bugatti. A l'époque toutefois, la 57 quatre portes ne le satisfaisait pas et il ne la considérait que comme une base car il rêvait du nec plus ultra en matière de Bugatti, une Atlantic. Il se trouve qu'à la même époque, un ingénieur danois du nom d'Erik Koux vivant dans le sud de la France, commençait à réfléchir à la réalisation de répliques de Bugatti Atlantic. Véritable passionné de la marque et génie créatif, Erik Koux va se lancer dans l'entreprise folle de reconstruire cette voiture mythique. En 1989, les deux hommes commencent un échange de correspondance pour initier le projet de fabriquer, sur la base de la 57 654, une Atlantic la plus proche possible de l'originale. En novembre 1991, la voiture est acheminée en châssis dans l'atelier d'Erik Koux, pour commencer la transformation. Les différences entre une 57 et une 57 S Atlantic se concentrent principalement au niveau du moteur (à carter sec pour la 57 S), du châssis (plus bas pour la 57 S) et bien sûr de la carrosserie. Par conséquent, Koux fournit un châssis de type 57 S de sa fabrication, ainsi qu'un carter moteur réalisé spécialement, l'élément d'origine étant introuvable. Il l'adapte en utilisant les boîtes à came reprises sur la 57 654, numéro 9 G (gauche) et 28D (droite). L'ensemble moteur-boîte passera ensuite entre les mains de Laurent Rondoni, le spécialiste mondialement reconnu de Ventoux Moteurs, à Carpentras, pour une remise en état complète. La voiture arrive ensuite en 1993 dans les ateliers Fernandez, basés à Lausanne, un des plus réputés de Suisse pour la réalisation de la carrosserie. Ce spécialiste a travaillé sur des projets fantastiques tels la remise en état d'une carrosserie Talbot "Goutte d'eau" ayant remporté le concours d'élégance de Pebble Beach ainsi que la réalisation, en 1992, d'une première Bugatti Atlantic par Koux en Aluminium pour un important collectionneur hollandais (57302). Il a donc déjà pu approfondir sa connaissance du modèle et dans ce but, les cotes et plans détaillés de la carrosserie ont été fournis par Erik Koux à partir de la voiture d'origine. Il fait construire ainsi entièrement la structure en bois de la voiture par l'ébénisterie G.Clavel avant de réaliser une carrosserie en aluminium magistralement réussie. Une fois achevée, la carrosserie a été envoyée à l'atelier Margairaz, de Lausanne, pour peinture. Terminée en 1995, la voiture a été peaufinée chez Fernandez et Guifrida avant de passer avec succès en 1996 le contrôle technique, et, d'être immatriculée en France. Cette voiture, tout à fait atypique, est accompagnée d'un volumineux dossier qui en retrace la gestation et la réalisation, avec une abondante correspondance avec Erik Koux et de nombreuses factures. L'intérêt de cett

Auktionsarchiv: Los-Nr. 39
Auktion:
Datum:
08.02.2019
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
LotSearch ausprobieren

Testen Sie LotSearch und seine Premium-Features 7 Tage - ohne Kosten!

  • Auktionssuche und Bieten
  • Preisdatenbank und Analysen
  • Individuelle automatische Suchaufträge
Jetzt einen Suchauftrag anlegen!

Lassen Sie sich automatisch über neue Objekte in kommenden Auktionen benachrichtigen.

Suchauftrag anlegen