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Auktionsarchiv: Los-Nr. 77

SYPHILLIS] -- La Patenostre des verollez. Avec leur complaincte contre les medecins. Paris: Crapelet pour Silvestre, 30 avril 1847.

Auction 24.11.2004
24.11.2004
Schätzpreis
1.500 € - 2.000 €
ca. 1.948 $ - 2.598 $
Zuschlagspreis:
1.645 €
ca. 2.137 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 77

SYPHILLIS] -- La Patenostre des verollez. Avec leur complaincte contre les medecins. Paris: Crapelet pour Silvestre, 30 avril 1847.

Auction 24.11.2004
24.11.2004
Schätzpreis
1.500 € - 2.000 €
ca. 1.948 $ - 2.598 $
Zuschlagspreis:
1.645 €
ca. 2.137 $
Beschreibung:

SYPHILLIS] -- La Patenostre des verollez. Avec leur complaincte contre les medecins. Paris: Crapelet pour Silvestre, 30 avril 1847. Un cahier de 8 ff. dont 4 avec texte in-8 (158 x 102 mm). Imprimé sur peau de vélin. Gravure sur la page de titre. Maroquin citron par Capé, plats ornés à la Du Seuil, dos à nerfs orné, dentelle intérieure, (mors habilement refaits). Provenance : ex-dono sur la garde, accompagné d'un vers de Verlaine et daté 22.nov.1930. Facétie en vieux français, soi-disant réimprimée d'après la première édition qui daterait de 1540 mais qui est aujourd'hui introuvable. Il s'agit certainement d'un texte tout à fait nouveau imprimé à la manière des plaquettes du XVI e siècle, mais sans nom d'auteur, en raison de la liberté de langage. Chaque ligne du paternoster (en latin) est suivie d'un quatrain en français. L'introduction de 1847 est signée des initiales V.A. Il pourrait s'agir d'Auguste Veinant, anagramme de Gustave Aventin qui est surtout connu pour une édition des textes du charlatan "Tabarin". Il prétend que le seul exemplaire de l'édition originale serait dans la bibliothèque du comte de Lurde. A propos de cette "réimpression" il dit que "le texte de cette facétie n'est pas absolument correct, et la versification en est parfois fautive". Elle ne serait tirée qu'à 57 exemplaires, le nombre d'exemplaires sur vélin n'est pas mentionné. Plaquette de toute rareté, dont le texte fut réimprimé en 1855 par Montaiglon dans son Recueil de poésies françoises des XVe et XVIe siècles , mais on ne sait pas sur quelle version elle est basée. L'un des derniers rimes, qui suit le Debita nostra se lit ainsi: Si ceste infame maladie Venoit a tous en general Point ne en porterions ennuie Quant ung chacun auroit du mal. Waller 7225 (pour un ex. sur vélin); Brunet IV, 429 (indique un tirage de 62 ex. dont un seul vélin).

Auktionsarchiv: Los-Nr. 77
Auktion:
Datum:
24.11.2004
Auktionshaus:
Christie's
Paris
Beschreibung:

SYPHILLIS] -- La Patenostre des verollez. Avec leur complaincte contre les medecins. Paris: Crapelet pour Silvestre, 30 avril 1847. Un cahier de 8 ff. dont 4 avec texte in-8 (158 x 102 mm). Imprimé sur peau de vélin. Gravure sur la page de titre. Maroquin citron par Capé, plats ornés à la Du Seuil, dos à nerfs orné, dentelle intérieure, (mors habilement refaits). Provenance : ex-dono sur la garde, accompagné d'un vers de Verlaine et daté 22.nov.1930. Facétie en vieux français, soi-disant réimprimée d'après la première édition qui daterait de 1540 mais qui est aujourd'hui introuvable. Il s'agit certainement d'un texte tout à fait nouveau imprimé à la manière des plaquettes du XVI e siècle, mais sans nom d'auteur, en raison de la liberté de langage. Chaque ligne du paternoster (en latin) est suivie d'un quatrain en français. L'introduction de 1847 est signée des initiales V.A. Il pourrait s'agir d'Auguste Veinant, anagramme de Gustave Aventin qui est surtout connu pour une édition des textes du charlatan "Tabarin". Il prétend que le seul exemplaire de l'édition originale serait dans la bibliothèque du comte de Lurde. A propos de cette "réimpression" il dit que "le texte de cette facétie n'est pas absolument correct, et la versification en est parfois fautive". Elle ne serait tirée qu'à 57 exemplaires, le nombre d'exemplaires sur vélin n'est pas mentionné. Plaquette de toute rareté, dont le texte fut réimprimé en 1855 par Montaiglon dans son Recueil de poésies françoises des XVe et XVIe siècles , mais on ne sait pas sur quelle version elle est basée. L'un des derniers rimes, qui suit le Debita nostra se lit ainsi: Si ceste infame maladie Venoit a tous en general Point ne en porterions ennuie Quant ung chacun auroit du mal. Waller 7225 (pour un ex. sur vélin); Brunet IV, 429 (indique un tirage de 62 ex. dont un seul vélin).

Auktionsarchiv: Los-Nr. 77
Auktion:
Datum:
24.11.2004
Auktionshaus:
Christie's
Paris
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