Paulin GUERIN (1783-1855) « Portrait d’un officier supérieur en dolman, portant la croix de Saint Louis, l’ordre de Malte, la Légion d’honneur et la décoration du Lys. » Huile sur toile signée et datée 1819 en bas à droite. 74 x 59. Avec cadre : 88 x 74 cm. Cadre doré à décor de palmettes. Biographie : Jean-Baptiste Paulin Guérin (1783-1855) Après s’être consacré, comme son père, à la serrurerie dans sa ville natale puis à Marseille, il vient s’installer à Paris, où il travaille pour François Gérard et dans l’atelier de François-André-Vincent. Remarqué en 1812 pour son «Caïn après le meurtre d’Abel », qui est acheté par le gouvernement, il voit sa carrière enfin lancée. Il continue ses productions dans l’art religieux mais c’est dans l’art du portrait qu’il atteint ses plus grandes réussites, travaillant notamment pour les galeries historiques du Château de Versailles. Historique : Paulin Guerin exposa quinze portraits au Salon de 1819, sans indication de noms malheureusement. On peut citer notamment le portrait du Maréchal Macdonald ou celui du Duc de Fitz James et de son fils. L’éloge historique de Paulin Guérin par Paul Autran de 1857 citent de nombreux portraits en buste dont ceux du Comte de Forbin du Duc de Rohan, d’Hyde de Neuville, du marquis de Dreux Brezé, de Charles Nodier, du Comte d’Hauterive.
Paulin GUERIN (1783-1855) « Portrait d’un officier supérieur en dolman, portant la croix de Saint Louis, l’ordre de Malte, la Légion d’honneur et la décoration du Lys. » Huile sur toile signée et datée 1819 en bas à droite. 74 x 59. Avec cadre : 88 x 74 cm. Cadre doré à décor de palmettes. Biographie : Jean-Baptiste Paulin Guérin (1783-1855) Après s’être consacré, comme son père, à la serrurerie dans sa ville natale puis à Marseille, il vient s’installer à Paris, où il travaille pour François Gérard et dans l’atelier de François-André-Vincent. Remarqué en 1812 pour son «Caïn après le meurtre d’Abel », qui est acheté par le gouvernement, il voit sa carrière enfin lancée. Il continue ses productions dans l’art religieux mais c’est dans l’art du portrait qu’il atteint ses plus grandes réussites, travaillant notamment pour les galeries historiques du Château de Versailles. Historique : Paulin Guerin exposa quinze portraits au Salon de 1819, sans indication de noms malheureusement. On peut citer notamment le portrait du Maréchal Macdonald ou celui du Duc de Fitz James et de son fils. L’éloge historique de Paulin Guérin par Paul Autran de 1857 citent de nombreux portraits en buste dont ceux du Comte de Forbin du Duc de Rohan, d’Hyde de Neuville, du marquis de Dreux Brezé, de Charles Nodier, du Comte d’Hauterive.
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