PAUL SIGNAC (1863-1935) Lettre autographe signée Paris, 14 décembre 1926 1 p. sur 1 f. in-8 (21,4 x 13,5 cm) Très belle lettre relative à la mort de Claude Monet quelques jours plus tôt : « Je suis encore trop ému par la perte du maître et de l'ami, dont toute la vie et tout l'oeuvre me furent d'encourageants exemples […] ». Signac reconnaît l'importance essentielle du peintre sur l'art de son époque : « […] pour quiconque a pu suivre l'évolution de l'art contemporain, Claude Monet a libéré la peinture française. » Il conclut sa lettre par une formule sans appel : « Tant pis pour ceux qui ne le ressentent pas : c'est symptôme d'académisme. » Provenance : - Vente Piasa, Paris, 6 mars 2007, lot 58 Rousseurs et traces de pliure
PAUL SIGNAC (1863-1935) Lettre autographe signée Paris, 14 décembre 1926 1 p. sur 1 f. in-8 (21,4 x 13,5 cm) Très belle lettre relative à la mort de Claude Monet quelques jours plus tôt : « Je suis encore trop ému par la perte du maître et de l'ami, dont toute la vie et tout l'oeuvre me furent d'encourageants exemples […] ». Signac reconnaît l'importance essentielle du peintre sur l'art de son époque : « […] pour quiconque a pu suivre l'évolution de l'art contemporain, Claude Monet a libéré la peinture française. » Il conclut sa lettre par une formule sans appel : « Tant pis pour ceux qui ne le ressentent pas : c'est symptôme d'académisme. » Provenance : - Vente Piasa, Paris, 6 mars 2007, lot 58 Rousseurs et traces de pliure
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