Portrait de la marquise de Las Marismas, vicomtesse Aguado, née Emilie Mac Donell Buste petite nature en marbre Piédouche armorié solidaire du buste Datation : 1852. H : 43 cm Oeuvre en rapport : - Portrait de la marquise de Las Marismas, vicomtesse Aguado, née Emilie Mac Donell. Buste en marbre. Haut. 60 cm. Salon de 1852. Compiègne, musée national du château. Inv. C. 82-002 Sculpteur de la Monarchie de juillet, Gayrard est connu pour ses sculptures animalières qu'il diffuse au travers de petits bronzes de cabinet. Il brille également pour avoir portraituré les figures marquantes de la haute société de son temps comme en témoignent ces deux bustes petite nature au fini particulièrement soigné témoignant de l'excellence de son art, cherchant à reproduire les matières et les détails du costume avec une précision rarement atteinte. Exilée à Paris en 1815, la famille Aguado fait fortune à La Havane et au Mexique. Alexandre Aguado ouvre une banque, lève l'emprunt grec de 1834, l'année de sa naturalisation. Il acquiert le vignoble de Château-Margaux, le château de Grossouvre et l'hôtel particulier situé au 6 de la rue Drouot (actuelle mairie du 9ème arrondissement). Plus tard, Emilie Aguado fait partie des proches de la famille impériale, au début du Second Empire.
Portrait de la marquise de Las Marismas, vicomtesse Aguado, née Emilie Mac Donell Buste petite nature en marbre Piédouche armorié solidaire du buste Datation : 1852. H : 43 cm Oeuvre en rapport : - Portrait de la marquise de Las Marismas, vicomtesse Aguado, née Emilie Mac Donell. Buste en marbre. Haut. 60 cm. Salon de 1852. Compiègne, musée national du château. Inv. C. 82-002 Sculpteur de la Monarchie de juillet, Gayrard est connu pour ses sculptures animalières qu'il diffuse au travers de petits bronzes de cabinet. Il brille également pour avoir portraituré les figures marquantes de la haute société de son temps comme en témoignent ces deux bustes petite nature au fini particulièrement soigné témoignant de l'excellence de son art, cherchant à reproduire les matières et les détails du costume avec une précision rarement atteinte. Exilée à Paris en 1815, la famille Aguado fait fortune à La Havane et au Mexique. Alexandre Aguado ouvre une banque, lève l'emprunt grec de 1834, l'année de sa naturalisation. Il acquiert le vignoble de Château-Margaux, le château de Grossouvre et l'hôtel particulier situé au 6 de la rue Drouot (actuelle mairie du 9ème arrondissement). Plus tard, Emilie Aguado fait partie des proches de la famille impériale, au début du Second Empire.
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