PARURE néoclassique en or jaune 18 k (750 millièmes) ornée de perles de gypse chatoyant, composée d'un diadème à décor d'une double ligne de perles en chute, les dents du peigne amovibles en vermeil, d'une boucle de corsage en trois parties serties de cabochons ronds, d'une paire de pendants d'oreille dont la partie amovible est de forme poire, d'une paire de bracelets à double rangs de perles dont le fermoir est orné d'un cabochon, de deux colliers dont le plus important est orné de perles en chute (un des deux colliers à fermoir en argent modifié, à renfiler). Travail étranger poinçonné à Paris. (Petit étranger Paris 1819-1838). Époque Restauration. Poids brut: 351,3 g Dans son écrin à la forme en maroquin rouge à décor aux petits fers de frises feuillagées et enroulements et inscrit au dos «PARURE CHATOYANTE». Rares sont les parures complètes de cette époque encore existantes. L'une d'entre elles conservée au Château d'Arenenberg en Suisse, ayant appartenue à la reine Hortense, est ornée d'opales. Les écrins de ce type de parures sont exceptionnellement nommés et titrés comme celui de l'Impératrice Joséphine conservé à la Fondation Napoléon «Parure Malachites entourée de perles» ou encore l'écrin de la parure de turquoises de la Reine Hortense conservé au musée des Château de Malmaison et de Bois-Préau inscrit «Parure de turquoises». Notre «Parure chatoyante» est un jeu de mots permettant de nommer la pierre utilisée afin d'orner ce bijou. Ce gypse chatoyant est une variété cristalline appelée également sélénite. Son nom tire ses origines dans la mythologie grecque où la déesse Séléné est associée à la lumière blanche, symbole de perfection, de pureté et de bienveillance. Nous ne connaissons aucune autre parure de cette époque ornée de cette pierre à ce jour. Nous remercions Madame Fanny Cousté pour son aide à la rédaction de cette fiche.
PARURE néoclassique en or jaune 18 k (750 millièmes) ornée de perles de gypse chatoyant, composée d'un diadème à décor d'une double ligne de perles en chute, les dents du peigne amovibles en vermeil, d'une boucle de corsage en trois parties serties de cabochons ronds, d'une paire de pendants d'oreille dont la partie amovible est de forme poire, d'une paire de bracelets à double rangs de perles dont le fermoir est orné d'un cabochon, de deux colliers dont le plus important est orné de perles en chute (un des deux colliers à fermoir en argent modifié, à renfiler). Travail étranger poinçonné à Paris. (Petit étranger Paris 1819-1838). Époque Restauration. Poids brut: 351,3 g Dans son écrin à la forme en maroquin rouge à décor aux petits fers de frises feuillagées et enroulements et inscrit au dos «PARURE CHATOYANTE». Rares sont les parures complètes de cette époque encore existantes. L'une d'entre elles conservée au Château d'Arenenberg en Suisse, ayant appartenue à la reine Hortense, est ornée d'opales. Les écrins de ce type de parures sont exceptionnellement nommés et titrés comme celui de l'Impératrice Joséphine conservé à la Fondation Napoléon «Parure Malachites entourée de perles» ou encore l'écrin de la parure de turquoises de la Reine Hortense conservé au musée des Château de Malmaison et de Bois-Préau inscrit «Parure de turquoises». Notre «Parure chatoyante» est un jeu de mots permettant de nommer la pierre utilisée afin d'orner ce bijou. Ce gypse chatoyant est une variété cristalline appelée également sélénite. Son nom tire ses origines dans la mythologie grecque où la déesse Séléné est associée à la lumière blanche, symbole de perfection, de pureté et de bienveillance. Nous ne connaissons aucune autre parure de cette époque ornée de cette pierre à ce jour. Nous remercions Madame Fanny Cousté pour son aide à la rédaction de cette fiche.
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