Oraison funèbre de Marie-Thérèse d’Autriche, Infante d’Espagne, Reine de France et de Navarre. Prononcée à Saint-Denis le premier de Septembre 1683. P., Sébastien Mabre-Cramoisy, 1683. In-4, maroq. noir, fil. et larmes argentées sur le dos et les plats, tr. marbr. (Rel. de l’époque). ÉDITION ORIGINALE, extrêmement rare, de cette célèbre oraison funèbre. Elle est ornée des armes de la reine défunte sur le titre et d’une vignette gravée par Sébastien Le Clerc Bossuet a poussé le sentiment religieux jusqu’au mysticisme grandiose en faisant l’éloge de cette reine fanatiquement vertueuse, scrupuleusement dévote et si dévouée à son infidèle époux Louis XIV que celui-ci pu dire à propos de sa mort : «depuis vingt-trois ans que nous vivons ensemble, voilà le premier chagrin qu’elle m’ait causé». PRÉCIEUX EXEMPLAIRE TIRÉ SUR GRAND PAPIER, AUX ARMES FRAPPÉES EN ARGENT DE PIERRE VII DE BONZI, ÉVÊQUE DE BÉZIERS ET GRAND AUMÔNIER DE LA REINE MARIE-THÉRÈSE. (Olivier, pl. 2296, fer no 3). ÉMOUVANTE RELIQUE QUE CETTE GRANDE ORIGINALE DU XVIIE SIÈCLE en reliure de deuil ayant appartenue au grand aumônier de la reine défunte et relié à ses armes ! Tchemerzine, II, 372 – Rochebilière, n°222 – Le Petit, 408.
Oraison funèbre de Marie-Thérèse d’Autriche, Infante d’Espagne, Reine de France et de Navarre. Prononcée à Saint-Denis le premier de Septembre 1683. P., Sébastien Mabre-Cramoisy, 1683. In-4, maroq. noir, fil. et larmes argentées sur le dos et les plats, tr. marbr. (Rel. de l’époque). ÉDITION ORIGINALE, extrêmement rare, de cette célèbre oraison funèbre. Elle est ornée des armes de la reine défunte sur le titre et d’une vignette gravée par Sébastien Le Clerc Bossuet a poussé le sentiment religieux jusqu’au mysticisme grandiose en faisant l’éloge de cette reine fanatiquement vertueuse, scrupuleusement dévote et si dévouée à son infidèle époux Louis XIV que celui-ci pu dire à propos de sa mort : «depuis vingt-trois ans que nous vivons ensemble, voilà le premier chagrin qu’elle m’ait causé». PRÉCIEUX EXEMPLAIRE TIRÉ SUR GRAND PAPIER, AUX ARMES FRAPPÉES EN ARGENT DE PIERRE VII DE BONZI, ÉVÊQUE DE BÉZIERS ET GRAND AUMÔNIER DE LA REINE MARIE-THÉRÈSE. (Olivier, pl. 2296, fer no 3). ÉMOUVANTE RELIQUE QUE CETTE GRANDE ORIGINALE DU XVIIE SIÈCLE en reliure de deuil ayant appartenue au grand aumônier de la reine défunte et relié à ses armes ! Tchemerzine, II, 372 – Rochebilière, n°222 – Le Petit, 408.
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