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Auktionsarchiv: Los-Nr. 126

Numéro de série 7897 Historique connu

Schätzpreis
80.000 € - 100.000 €
ca. 90.587 $ - 113.234 $
Zuschlagspreis:
96.000 €
ca. 108.705 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 126

Numéro de série 7897 Historique connu

Schätzpreis
80.000 € - 100.000 €
ca. 90.587 $ - 113.234 $
Zuschlagspreis:
96.000 €
ca. 108.705 $
Beschreibung:

Numéro de série 7897 Historique connu Numéro moteur et châssis concordants Même propriétaire depuis 1988 Carte grise française Présentée au salon de Genève 1968, la Lamborghini Espada était l’héritière des coupés 400 GT 2+2. Ses lignes anguleuses, tendues et très basses signées de la plume de Marcello Gandini l’inscrivaient comme concurrente directe des Maserati Ghibli et autres Ferrari Daytona. Dynamique et fin, son dessin malgré son extravagance lui permet une certaine praticité avec une visibilité arrière unique sur ce genre de voitures dans lesquelles le rétroviseur s’avère inutile tant les performances sont étonnantes. En effet, propulsée par le puissant V12 Bizzarrini dans son évolution 3,9 Litres, l’Espada se présente dès sa sortie comme la GT quatre places la plus rapide du monde. Six carburateurs Weber 40 DCOE gavent les 325 chevaux du moteur, permettant à ses 1 625 kilogrammes d’atteindre les 100 kilomètres par heure en 6.5 secondes, tout en poursuivant l’accélération jusqu’à 250 kilomètres par heure ! En 1970, l’Espada Série 2 reprend le V12 de la Miura S, gagnant 25 chevaux par la même occasion, elle en développe alors 350 à 7 500 tours par minute. Produite à 1 217 exemplaires jusqu’en 1978, l’Espada est rare aujourd’hui puisqu’elle fut longuement délaissée par les afficionados des GT bi-places ou autre supercars italiennes désormais bien plus chères. Aujourd’hui, l’Espada gagne à être reconnue à sa juste valeur et tend à être de plus en plus recherchée. Cette Lamborghini Espada série 2, gris argent à l’intérieur vert foncé et tabac, sortit de l’usine de Sant’Aggata en juin 1970. Ce châssis 7897, moteur 40295 fut essayée le 16 juin 1970 par un technicien de l’usine, nous en conservons toutes les mesures ayant permis la validation de sa livraison, le tout constituant un dossier de six pages. Commandée par une société dénommée V.M.P. basée à Paris, la voiture fut ainsi immatriculée en France le 21 janvier 1971. Acquise en août 1988 par son actuel propriétaire, cette Espada était immatriculée dans la Gironde depuis 1981. Elle fut alors immatriculée en Seine-Maritime et y resta jusqu’en 2009 alors que son propriétaire emménageait dans le Calvados. Passionné de Lamborghini, ce dernier s’est toujours accompagné des meilleurs pour entretenir sa voiture. Dès son achat, la voiture connut une révision complète de son moteur chez Jacques Zuliani, comprenant une dépose de l’ensemble moteur-boîte de vitesses, le remplacement des segments et des soupapes, le remplacement des chaînes de distribution, le remplacement du disque et du mécanisme d’embrayage, des courroies et le réglage et la mise au point du moteur. La voiture put ainsi être présente au 25ème anniversaire de la marque à l’usine de Sant’Aggata, retrouvant 150 autres de ses semblables et ce, en présence de Ferruccio Lamborghini et Lee Iacocca, alors repreneur de Lamborghini pour le compte de Chrysler. Souvenir de ce périple, la voiture figure dans le livre de Peter Dron, édité à l’occasion de la sortie de la Countach 25ème Anniversaire dont la sortie coïncidait avec la manifestation. Utilisée fréquemment par la suite à l’occasion de sorties organisées par le Lamborghini Club France, l’Espada fut suivie et entretenue de manière régulière par Daniel Thibault, qui entretenait aussi la Miura SV du propriétaire. De nombreuses factures de fournitures de pièces originales de l’usine et d’améliorations techniques en témoignent : allumage électronique, amortisseurs avant, réfection des freins avant et arrière, remise en état des carburateurs… En 2013, l’Espada participait aux 50ème anniversaire de Lamborghini, toujours à Sant’Aggata et toujours accompagnée d’un nombre important de ses consœurs, 350 pour être précis. Plus récemment, le train arrière a été refait avec une dépose des triangles et le remplacement des roulements, joints spi et silentblocs. Enfin, les derniers travaux effectués par les ateliers Toni Sisini ont été le remplacement de l’alternateur, de la pompe à esse

Auktionsarchiv: Los-Nr. 126
Auktion:
Datum:
11.11.2018
Auktionshaus:
Osenat Maison de vente aux enchères
9-11 rue Royale
77300 Fontainebleau
Frankreich
contact@osenat.com
+33 (0)1 64222762
Beschreibung:

Numéro de série 7897 Historique connu Numéro moteur et châssis concordants Même propriétaire depuis 1988 Carte grise française Présentée au salon de Genève 1968, la Lamborghini Espada était l’héritière des coupés 400 GT 2+2. Ses lignes anguleuses, tendues et très basses signées de la plume de Marcello Gandini l’inscrivaient comme concurrente directe des Maserati Ghibli et autres Ferrari Daytona. Dynamique et fin, son dessin malgré son extravagance lui permet une certaine praticité avec une visibilité arrière unique sur ce genre de voitures dans lesquelles le rétroviseur s’avère inutile tant les performances sont étonnantes. En effet, propulsée par le puissant V12 Bizzarrini dans son évolution 3,9 Litres, l’Espada se présente dès sa sortie comme la GT quatre places la plus rapide du monde. Six carburateurs Weber 40 DCOE gavent les 325 chevaux du moteur, permettant à ses 1 625 kilogrammes d’atteindre les 100 kilomètres par heure en 6.5 secondes, tout en poursuivant l’accélération jusqu’à 250 kilomètres par heure ! En 1970, l’Espada Série 2 reprend le V12 de la Miura S, gagnant 25 chevaux par la même occasion, elle en développe alors 350 à 7 500 tours par minute. Produite à 1 217 exemplaires jusqu’en 1978, l’Espada est rare aujourd’hui puisqu’elle fut longuement délaissée par les afficionados des GT bi-places ou autre supercars italiennes désormais bien plus chères. Aujourd’hui, l’Espada gagne à être reconnue à sa juste valeur et tend à être de plus en plus recherchée. Cette Lamborghini Espada série 2, gris argent à l’intérieur vert foncé et tabac, sortit de l’usine de Sant’Aggata en juin 1970. Ce châssis 7897, moteur 40295 fut essayée le 16 juin 1970 par un technicien de l’usine, nous en conservons toutes les mesures ayant permis la validation de sa livraison, le tout constituant un dossier de six pages. Commandée par une société dénommée V.M.P. basée à Paris, la voiture fut ainsi immatriculée en France le 21 janvier 1971. Acquise en août 1988 par son actuel propriétaire, cette Espada était immatriculée dans la Gironde depuis 1981. Elle fut alors immatriculée en Seine-Maritime et y resta jusqu’en 2009 alors que son propriétaire emménageait dans le Calvados. Passionné de Lamborghini, ce dernier s’est toujours accompagné des meilleurs pour entretenir sa voiture. Dès son achat, la voiture connut une révision complète de son moteur chez Jacques Zuliani, comprenant une dépose de l’ensemble moteur-boîte de vitesses, le remplacement des segments et des soupapes, le remplacement des chaînes de distribution, le remplacement du disque et du mécanisme d’embrayage, des courroies et le réglage et la mise au point du moteur. La voiture put ainsi être présente au 25ème anniversaire de la marque à l’usine de Sant’Aggata, retrouvant 150 autres de ses semblables et ce, en présence de Ferruccio Lamborghini et Lee Iacocca, alors repreneur de Lamborghini pour le compte de Chrysler. Souvenir de ce périple, la voiture figure dans le livre de Peter Dron, édité à l’occasion de la sortie de la Countach 25ème Anniversaire dont la sortie coïncidait avec la manifestation. Utilisée fréquemment par la suite à l’occasion de sorties organisées par le Lamborghini Club France, l’Espada fut suivie et entretenue de manière régulière par Daniel Thibault, qui entretenait aussi la Miura SV du propriétaire. De nombreuses factures de fournitures de pièces originales de l’usine et d’améliorations techniques en témoignent : allumage électronique, amortisseurs avant, réfection des freins avant et arrière, remise en état des carburateurs… En 2013, l’Espada participait aux 50ème anniversaire de Lamborghini, toujours à Sant’Aggata et toujours accompagnée d’un nombre important de ses consœurs, 350 pour être précis. Plus récemment, le train arrière a été refait avec une dépose des triangles et le remplacement des roulements, joints spi et silentblocs. Enfin, les derniers travaux effectués par les ateliers Toni Sisini ont été le remplacement de l’alternateur, de la pompe à esse

Auktionsarchiv: Los-Nr. 126
Auktion:
Datum:
11.11.2018
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