Napoléon III, «médaille de Chislehurst», médaille ovale en bronze patiné, l'avers au profil de l'Empereur lauré à gauche, ceint d'un petit cadre perlé et de deux rameaux de laurier, en dessous la légende «NAPOLÉON III EMPEREUR DES FRANÇAIS», au revers l'aigle impérial à droite tenant dans ses serres un foudre d'où jaillissent des éclairs, ceint de la légende «CHISLEHURST 9, JANVIER 1873», au-dessus, une couronne impériale surmontée d'un petit anneau formant bélière. Rarissime. 40,2 x 21 mm Royaume-Uni, vers 1873. TTB à SUP Inspirée de la médaille de Sainte-Hélène, cette médaille aurait été portée à la boutonnière par les fidèles venus assister aux funérailles de Napoléon III à Chislehurst le 15 janvier 1873. Le seul exemplaire relevé en vente publique (avec un double anneau de suspension), est celui de la vente de la collection du prince d'Essling, Paris, Drouot, 17, 18, 20 et 25 juin 1927, Me Léon André, experts Feuardant Frères et Jules Florange, lot 1768, illustré planche LII. Vu son insigne rareté et sa grande qualité d'exécution, nous supposons qu'elle fut frappée à un nombre d'exemplaires extrêmement faible. Une note lui est consacrée dans la Revue belge de numismatique, 1881, page 379.
Napoléon III, «médaille de Chislehurst», médaille ovale en bronze patiné, l'avers au profil de l'Empereur lauré à gauche, ceint d'un petit cadre perlé et de deux rameaux de laurier, en dessous la légende «NAPOLÉON III EMPEREUR DES FRANÇAIS», au revers l'aigle impérial à droite tenant dans ses serres un foudre d'où jaillissent des éclairs, ceint de la légende «CHISLEHURST 9, JANVIER 1873», au-dessus, une couronne impériale surmontée d'un petit anneau formant bélière. Rarissime. 40,2 x 21 mm Royaume-Uni, vers 1873. TTB à SUP Inspirée de la médaille de Sainte-Hélène, cette médaille aurait été portée à la boutonnière par les fidèles venus assister aux funérailles de Napoléon III à Chislehurst le 15 janvier 1873. Le seul exemplaire relevé en vente publique (avec un double anneau de suspension), est celui de la vente de la collection du prince d'Essling, Paris, Drouot, 17, 18, 20 et 25 juin 1927, Me Léon André, experts Feuardant Frères et Jules Florange, lot 1768, illustré planche LII. Vu son insigne rareté et sa grande qualité d'exécution, nous supposons qu'elle fut frappée à un nombre d'exemplaires extrêmement faible. Une note lui est consacrée dans la Revue belge de numismatique, 1881, page 379.
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