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Auktionsarchiv: Los-Nr. 342

Modèle exposé au Salon de Bruxelles 1965

Automobiles de Collection
16.02.2007 - 17.02.2007
Schätzpreis
300.000 € - 400.000 €
ca. 392.226 $ - 522.968 $
Zuschlagspreis:
401.750 €
ca. 525.255 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 342

Modèle exposé au Salon de Bruxelles 1965

Automobiles de Collection
16.02.2007 - 17.02.2007
Schätzpreis
300.000 € - 400.000 €
ca. 392.226 $ - 522.968 $
Zuschlagspreis:
401.750 €
ca. 525.255 $
Beschreibung:

Modèle exposé au Salon de Bruxelles 1965
Modèle exposé au Salon de Bruxelles 1965 FERRARI 500 SUPERFAST SERIE 1 Année : 1964 Châssis No : 5983/SF Moteur No : 5983/SF Rouge, intérieur cuir noir Moteur : douze cylindres en V, 4961cm3, simple arbres à cames en tête par banc de cylindres, carburateurs triple corps Weber ; Suspensions : bras inférieur et supérieur indépendant avec ressorts hélicoïdaux et amortisseurs télescopiques à l'avant, pont arrière avec tirants à l'arrière ; Freins : quatre disques. Volant à gauche Histoire du modèle Comme Bugatti avait sa Royale, Ferrari avait sa Superfast. Les deux évoquaient la vitesse, les voitures de sport d'exception de leur époque respective, chacune au sommet de la gamme, destinées aux clients les plus fortunés et les plus avertis. La Ferrari Superfast 500 fut conçue pour se tenir au sommet de la production Ferrari en remplacement de la précédente série des 400/410 SuperAmerica. Le moteur, un douze cylindres, était un développement du moteur conçu par Colombo, équipé de tête de culasse démontable. Le gros bloc Lampredi était lui équipé de têtes de culasse fixes. La course alésage était de 88x68 mm soit une cylindré de 4,961 cm3, d'où l'appellation 500. Equipé de carburateurs Weber triple corps DCZ/6, le moteur affichait 400 CV à 6.500 tr /min. La boîte de vitesses possédait 4 rapports et un overdrive, développé à partir de celui de la contemporaine 330 GT. Le châssis type 578 et les freins provenaient également de la 330 GT qui était équipé d'un Type 571. Le dessin de la carrosserie conçue et construite par Pininfarina provenait du précédent coupé "Aerodynamica" avec un arrière tronqué contrairement à l'arrière précédent. Il y eut deux séries de Superfast, la première de 25 exemplaires, la seconde de 11 unités et l'automobile proposée ici à la vente appartient à la première série. Histoire spécifique de cette automobile Ce châssis, no. 5983 SF fut achevé le 9 décembre 1964 recevant sa carrosserie Pininfarina (ref. no. 99584) huit mois plus tard. Une fois dans l'usine Pininfarina la carrosserie fut équipée d'un intérieur cuir de la meilleure facture. La couleur originale était un rouge référence de teinte 19948 A et les garnitures noir 3309. Etant le 5 e exemplaire 500 Superfast construite, cette automobile fut exposée au salon de Bruxelles au début de l'année 1965. Peu de temps après, cette 500 Superfast 5983 SF fut livrée par les soins du légendaire importateur américain Luigi Chinetti à son premier propriétaire M. Gregg à Jacksonville en Floride, propriétaire de Porsche Brumos. Il ne tarda pas à arriver aux oreilles de M. Reynolds duPont Jr. à Wilmington dans le Delaware que cette automobile était disponible. M. duPont se rendit immédiatement en Floride pour voir et essayer l'automobile. Tandis qu'il pilotait l'automobile en compagnie de M. Gregg, ce dernier lui recommanda de voir ce dont l'automobile était capable. Après avoir atteint 216 km/h sur un tronçon de la route interfédérale 95 ; M. duPont continua de piloter cette Superfast pendant 1.280 km pour retourner à Wilmington. C'est là bas, dans les montagnes du nord du Delaware que la Ferrari de M. duPont fut rejointe plus tard par les deux autres Superfast de ses cousins germains Richard E. Riegel Jr. et John. E. Riegel. Les trois Superfast avaient très vite acquis un statut de légende lorsqu'elles rugissaient ensemble à différentes occasions. Il nous a été récemment rapporté que les trois Superfast furent bientôt rejointes par un jeune artiste local pilotant une Cobra descendant de Kenneth au village de Greenville. Déjà que cela devait relever d'une surprenante apparition au milieu des années 1960, cela demeure presque inimaginable aujourd'hui. Avec seulement 36 exemplaires construits de cette superbe et très puissante automobile de tourisme, le caractère inouï de leur rassemblement ne fut probablement guère apprécié à sa juste valeur, y-compris bien plus tard. Il est rapporté que suite à M. duPont, l'automobile fut vendue sur place à Arthur Carota au

Auktionsarchiv: Los-Nr. 342
Auktion:
Datum:
16.02.2007 - 17.02.2007
Auktionshaus:
Christie's
16-17 February 2007, Paris
Beschreibung:

Modèle exposé au Salon de Bruxelles 1965
Modèle exposé au Salon de Bruxelles 1965 FERRARI 500 SUPERFAST SERIE 1 Année : 1964 Châssis No : 5983/SF Moteur No : 5983/SF Rouge, intérieur cuir noir Moteur : douze cylindres en V, 4961cm3, simple arbres à cames en tête par banc de cylindres, carburateurs triple corps Weber ; Suspensions : bras inférieur et supérieur indépendant avec ressorts hélicoïdaux et amortisseurs télescopiques à l'avant, pont arrière avec tirants à l'arrière ; Freins : quatre disques. Volant à gauche Histoire du modèle Comme Bugatti avait sa Royale, Ferrari avait sa Superfast. Les deux évoquaient la vitesse, les voitures de sport d'exception de leur époque respective, chacune au sommet de la gamme, destinées aux clients les plus fortunés et les plus avertis. La Ferrari Superfast 500 fut conçue pour se tenir au sommet de la production Ferrari en remplacement de la précédente série des 400/410 SuperAmerica. Le moteur, un douze cylindres, était un développement du moteur conçu par Colombo, équipé de tête de culasse démontable. Le gros bloc Lampredi était lui équipé de têtes de culasse fixes. La course alésage était de 88x68 mm soit une cylindré de 4,961 cm3, d'où l'appellation 500. Equipé de carburateurs Weber triple corps DCZ/6, le moteur affichait 400 CV à 6.500 tr /min. La boîte de vitesses possédait 4 rapports et un overdrive, développé à partir de celui de la contemporaine 330 GT. Le châssis type 578 et les freins provenaient également de la 330 GT qui était équipé d'un Type 571. Le dessin de la carrosserie conçue et construite par Pininfarina provenait du précédent coupé "Aerodynamica" avec un arrière tronqué contrairement à l'arrière précédent. Il y eut deux séries de Superfast, la première de 25 exemplaires, la seconde de 11 unités et l'automobile proposée ici à la vente appartient à la première série. Histoire spécifique de cette automobile Ce châssis, no. 5983 SF fut achevé le 9 décembre 1964 recevant sa carrosserie Pininfarina (ref. no. 99584) huit mois plus tard. Une fois dans l'usine Pininfarina la carrosserie fut équipée d'un intérieur cuir de la meilleure facture. La couleur originale était un rouge référence de teinte 19948 A et les garnitures noir 3309. Etant le 5 e exemplaire 500 Superfast construite, cette automobile fut exposée au salon de Bruxelles au début de l'année 1965. Peu de temps après, cette 500 Superfast 5983 SF fut livrée par les soins du légendaire importateur américain Luigi Chinetti à son premier propriétaire M. Gregg à Jacksonville en Floride, propriétaire de Porsche Brumos. Il ne tarda pas à arriver aux oreilles de M. Reynolds duPont Jr. à Wilmington dans le Delaware que cette automobile était disponible. M. duPont se rendit immédiatement en Floride pour voir et essayer l'automobile. Tandis qu'il pilotait l'automobile en compagnie de M. Gregg, ce dernier lui recommanda de voir ce dont l'automobile était capable. Après avoir atteint 216 km/h sur un tronçon de la route interfédérale 95 ; M. duPont continua de piloter cette Superfast pendant 1.280 km pour retourner à Wilmington. C'est là bas, dans les montagnes du nord du Delaware que la Ferrari de M. duPont fut rejointe plus tard par les deux autres Superfast de ses cousins germains Richard E. Riegel Jr. et John. E. Riegel. Les trois Superfast avaient très vite acquis un statut de légende lorsqu'elles rugissaient ensemble à différentes occasions. Il nous a été récemment rapporté que les trois Superfast furent bientôt rejointes par un jeune artiste local pilotant une Cobra descendant de Kenneth au village de Greenville. Déjà que cela devait relever d'une surprenante apparition au milieu des années 1960, cela demeure presque inimaginable aujourd'hui. Avec seulement 36 exemplaires construits de cette superbe et très puissante automobile de tourisme, le caractère inouï de leur rassemblement ne fut probablement guère apprécié à sa juste valeur, y-compris bien plus tard. Il est rapporté que suite à M. duPont, l'automobile fut vendue sur place à Arthur Carota au

Auktionsarchiv: Los-Nr. 342
Auktion:
Datum:
16.02.2007 - 17.02.2007
Auktionshaus:
Christie's
16-17 February 2007, Paris
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