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Auktionsarchiv: Los-Nr. 38

MASERATI Ghibli 4,9 l SS - 1967

Schätzpreis
55.000 € - 85.000 €
ca. 77.482 $ - 119.745 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Auktionsarchiv: Los-Nr. 38

MASERATI Ghibli 4,9 l SS - 1967

Schätzpreis
55.000 € - 85.000 €
ca. 77.482 $ - 119.745 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Beschreibung:

MASERATI Ghibli 4,9 l SS - 1967 N° DE SÉRIE : AM115491440 MOTEUR : 8 cylindres en V à 90°, bloc et culasses en alliage ALÉSAGE-COURSE : 93,9 mm x 89 mm ALIMENTATION : 4 carburateurs double corps Weber 42DCNF PUISSANCE : 335 cv à 5500 tr/mn CHÂSSIS : tubulaire en acier CARROSSERIE : coupé deux portes, deux places construit par Ghia sur un dessin de Giorgetto Giugiaro SUSPENSION AVANT : roues indépendantes, triangles superposés, ressorts hélicoïdaux SUSPENSION ARRIÈRE : essieu rigide FREINS : hydrauliques à disques sur les quatre roues ROUES : en alliage léger à fixation centrale de 15 PÉRIODE DE PRODUCTION : 1967/1973 NOMBRE DE VOITURES CONSTRUITES : 1149 coupés dans les deux cylindrées confondues, 4'7 et 4'9, plus 125 spyders Les années cinquante résonnèrent de la rivalité entre Maserati et Ferrari; en 1957, si la firme au trident dut laisser le championnat du monde des constructeurs à Ferrari, les 315 S et 335 S prenant de peu le dessus sur les 300 S et 450 S, le championnat des conducteurs revint à Juan Manuel Fangio et à sa Maserati 250 F. De cette époque bénie où, comme le disait Innes Ireland, les moteurs étaient où ils devaient être, c'est à dire devant, il nous reste heureusement deux automobiles construites selon ces sages principes : la Ferrari Daytona et la Maserati Ghibli. Elles ont toutes deux de robustes châssis tubulaires, des moteurs développés avec l'expérience de la course et des carrosseries sublimes, quoique très différentes : à la ligne très agressive que Pinin Farina a dessinée pour Ferrari, Giorgetto Giugiaro, alors chez Ghia, opposa un dessin très élégant avec un capot surbaissé grâce à l'adoption du carter sec sur le V8 double arbre, qui différait en cela de ceux montés sur la Quattroporte et la Mexico. Tout d'abord livré en version 4,7l, le moteur de la Ghibli adopta une cylindrée de 4930 cm3, à partir de la fin de l'année 1971 : la puissance augmentait peu, 335 ch au lieu de 330, mais le couple passait à 49 m/kg au lieu de 45 m/kg au régime identique de 4000 tr/mn à comparer aux 354 ch à 7500 tr/mn et 44 mkg de couple pour la Daytona. Les deux voitures rivales, opposées sur le papier, n'avaient, en fait, pas la même destination. Robuste et sportive, la Ferrari voulait contrer la Lamborghini Miura. Tout aussi robuste, la Ghibli était plus simple, moins sophistiquée, presque rustique, bien que presque aussi performante. Son châssis est très rigide puisque très peu renforcé sur le spyder. L'essieu arrière rigide de la Ghibli bien guidé ne nuit pas à ses qualités de tenue de route dans les grandes courbes autoroutières, et son gros moteur ne chauffe pas et ne se dérègle pas. La Ghibli est une voiture magnifique de quelqu'angle qu'on la regarde, à tel point qu'Henry Ford s'en était acheté une qu'il avait exposée dans le bureau d'étude avec une pancarte destinée à ses designers, disant : "Regardez bien cette voiture, vous voyez là des lignes parfaites". La voiture présentée est un bel exemplaire dans un bon état de présentation et de fonctionnement. Titre de Circulation.

Auktionsarchiv: Los-Nr. 38
Auktion:
Datum:
13.07.2009
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

MASERATI Ghibli 4,9 l SS - 1967 N° DE SÉRIE : AM115491440 MOTEUR : 8 cylindres en V à 90°, bloc et culasses en alliage ALÉSAGE-COURSE : 93,9 mm x 89 mm ALIMENTATION : 4 carburateurs double corps Weber 42DCNF PUISSANCE : 335 cv à 5500 tr/mn CHÂSSIS : tubulaire en acier CARROSSERIE : coupé deux portes, deux places construit par Ghia sur un dessin de Giorgetto Giugiaro SUSPENSION AVANT : roues indépendantes, triangles superposés, ressorts hélicoïdaux SUSPENSION ARRIÈRE : essieu rigide FREINS : hydrauliques à disques sur les quatre roues ROUES : en alliage léger à fixation centrale de 15 PÉRIODE DE PRODUCTION : 1967/1973 NOMBRE DE VOITURES CONSTRUITES : 1149 coupés dans les deux cylindrées confondues, 4'7 et 4'9, plus 125 spyders Les années cinquante résonnèrent de la rivalité entre Maserati et Ferrari; en 1957, si la firme au trident dut laisser le championnat du monde des constructeurs à Ferrari, les 315 S et 335 S prenant de peu le dessus sur les 300 S et 450 S, le championnat des conducteurs revint à Juan Manuel Fangio et à sa Maserati 250 F. De cette époque bénie où, comme le disait Innes Ireland, les moteurs étaient où ils devaient être, c'est à dire devant, il nous reste heureusement deux automobiles construites selon ces sages principes : la Ferrari Daytona et la Maserati Ghibli. Elles ont toutes deux de robustes châssis tubulaires, des moteurs développés avec l'expérience de la course et des carrosseries sublimes, quoique très différentes : à la ligne très agressive que Pinin Farina a dessinée pour Ferrari, Giorgetto Giugiaro, alors chez Ghia, opposa un dessin très élégant avec un capot surbaissé grâce à l'adoption du carter sec sur le V8 double arbre, qui différait en cela de ceux montés sur la Quattroporte et la Mexico. Tout d'abord livré en version 4,7l, le moteur de la Ghibli adopta une cylindrée de 4930 cm3, à partir de la fin de l'année 1971 : la puissance augmentait peu, 335 ch au lieu de 330, mais le couple passait à 49 m/kg au lieu de 45 m/kg au régime identique de 4000 tr/mn à comparer aux 354 ch à 7500 tr/mn et 44 mkg de couple pour la Daytona. Les deux voitures rivales, opposées sur le papier, n'avaient, en fait, pas la même destination. Robuste et sportive, la Ferrari voulait contrer la Lamborghini Miura. Tout aussi robuste, la Ghibli était plus simple, moins sophistiquée, presque rustique, bien que presque aussi performante. Son châssis est très rigide puisque très peu renforcé sur le spyder. L'essieu arrière rigide de la Ghibli bien guidé ne nuit pas à ses qualités de tenue de route dans les grandes courbes autoroutières, et son gros moteur ne chauffe pas et ne se dérègle pas. La Ghibli est une voiture magnifique de quelqu'angle qu'on la regarde, à tel point qu'Henry Ford s'en était acheté une qu'il avait exposée dans le bureau d'étude avec une pancarte destinée à ses designers, disant : "Regardez bien cette voiture, vous voyez là des lignes parfaites". La voiture présentée est un bel exemplaire dans un bon état de présentation et de fonctionnement. Titre de Circulation.

Auktionsarchiv: Los-Nr. 38
Auktion:
Datum:
13.07.2009
Auktionshaus:
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