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Auktionsarchiv: Los-Nr. 251

Martin-Guillaume BIENNAIS (1764-1843). Rare coffret à bijoux rectangulaire

Schätzpreis
20.000 € - 30.000 €
ca. 21.369 $ - 32.054 $
Zuschlagspreis:
20.000 €
ca. 21.369 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 251

Martin-Guillaume BIENNAIS (1764-1843). Rare coffret à bijoux rectangulaire

Schätzpreis
20.000 € - 30.000 €
ca. 21.369 $ - 32.054 $
Zuschlagspreis:
20.000 €
ca. 21.369 $
Beschreibung:

Martin-Guillaume-BIENNAIS (1764-1843). Rare coffret à bijoux rectangulaire sur piétement démontable, en acajou flammé, orné de plaques d'acier découpées et de cinq médaillons en biscuit de porcelaine bleu et blanc dans le goût de Wedgwood. Il est équipé, de chaque côté, et sur le dessus, d'une poignée de transport et d'une serrure a secret cachée par une plaque métallique, monogrammée : " J B ". L'intérieur à deux niveaux est gainé de maroquin rouge, un plateau pour le premier, séparé en quatre compartiments dans le sens de la longueur, le fond également séparé en compartiments plus profonds. Le coffret se fixe à son piétement par deux tirefonds à têtes carrées encastrés de chaque côté de la paroi ainsi que la clef pour le montage et le démontage. Il repose sur une base rectangulaire et quatre pieds gaines, également ornés de plaques d'acier et d'un médaillon en biscuit de porcelaine. Époque Consulat - Empire. (Quelques petits éclats). Dimensions du coffret : H : 49 cm. L : 27 cm. P : 20 cm. Avec son piétement : H : 92 cm. L : 49 cm. P : 28, 5 cm. Provenance : - Joséphine, Impératrice des Français. - Succession des biens de M. PIERLOT Louis, intendant de l'Impératrice Joséphine de 1810 à 1814 et de sa fille Hortense. (La copie des actes notariés de sa succession, inventaires de 1833 et 1851, était présentée lors de son dernier passage en vente aux enchères en 2013). - Hôtel des ventes de Fontainebleau, Osenat, 9 juin 2013, lot 146. Oeuvre en rapport : - Un modèle très proche de ce coffret fait partie des collections du Musée du Château de Malmaison. Sans plaque de Wedgwood mais orné d'un décor en acier plus sophistiqué, l'intérieur diffère par sa fonction à la fois d'écritoire et de serre-bijoux. C'est la première femme de chambre qui veillait sur l'écrin de l'impératrice et en conservait la clé. Il renfermait les diamants, les camées et les innombrables parures en pierres précieuses qui accompagnaient les toilettes de Joséphine. Il est signé de BIENNAIS, orfèvre du Premier Consul. Ses dimensions sont très proches : 94 × 49 × 32 cm. Le chiffre de Joséphine : "J B " est gravé sur la plaque cachant la serrure. Les pièces métalliques du décor, très proches des nôtres, sont attribuées à Reynard SCHEY. L'aménagement intérieur par BIENNAIS a probablement été réalisé postérieurement, sur la demande de l'Impératrice. Nota : Sur notre coffret, la pièce métallique masquant l'entrée de la serrure à secret était accidentée, le coffret ayant été forcé, elle a été remplacée postérieurement. Cette pièce est rectangulaire, en acier poli et pointes de diamant, monogrammée au centre : " J B ", au modèle du coffret de La Malmaison. Biographies : Joséphine Marie Josèphe Rose de TASCHER de la PAGERIE (1763-1814) : Veuve du Vicomte de BEAUHARNAIS dont elle eut deux enfants, Hortense et Eugène, elle épouse le général BONAPARTE en secondes noces, le 9 mars 1796 à Paris ; elle devient Impératrice des Français, le 18 mai 1804. Ne pouvant avoir d'enfant, elle est répudiée et le divorce est prononcé le 15 décembre 1809. Elle prend froid au cours d'une promenade avec le Tzar Alexandre de Russie, au Château de Malmaison, et décède le 29 mai 1814. Par les six enfants de son fils Eugène et de la Princesse Auguste Amélie de Bavière, elle est l'ancêtre de presque toutes les familles souveraines existant encore de nos jours. Louis PIERLOT (1765-1826), régent de la banque de France. Ce fils de petit cultivateur luxembourgeois, venu tôt à Paris, était, en 1789, employé dans les fermes du Roi et, sous la Révolution, fit sa fortune grâce au banquier DOYEN. Receveur général à Troyes, il entra au Conseil de Régence de la Banque de France, le 17 octobre 1806. Il ne se contentait pas de sa recette générale, participant largement aux fournitures des lits militaires, étant intendant de Joséphine, après son divorce, et aussi de la Reine Hortense. Ayant voulu soutenir son ancien bienfaiteur DOYEN, pendant la crise de 1811, PIERLOT s'effondra quelques jours avant lui. So

Auktionsarchiv: Los-Nr. 251
Auktion:
Datum:
10.03.2017
Auktionshaus:
Kapandji Morhange-SVV
Passage Jouffroy 46 B
75009 Paris
Frankreich
km@ka-mondo.fr
+33 (0)1 48242610
+33 (0)1 48242611
Beschreibung:

Martin-Guillaume-BIENNAIS (1764-1843). Rare coffret à bijoux rectangulaire sur piétement démontable, en acajou flammé, orné de plaques d'acier découpées et de cinq médaillons en biscuit de porcelaine bleu et blanc dans le goût de Wedgwood. Il est équipé, de chaque côté, et sur le dessus, d'une poignée de transport et d'une serrure a secret cachée par une plaque métallique, monogrammée : " J B ". L'intérieur à deux niveaux est gainé de maroquin rouge, un plateau pour le premier, séparé en quatre compartiments dans le sens de la longueur, le fond également séparé en compartiments plus profonds. Le coffret se fixe à son piétement par deux tirefonds à têtes carrées encastrés de chaque côté de la paroi ainsi que la clef pour le montage et le démontage. Il repose sur une base rectangulaire et quatre pieds gaines, également ornés de plaques d'acier et d'un médaillon en biscuit de porcelaine. Époque Consulat - Empire. (Quelques petits éclats). Dimensions du coffret : H : 49 cm. L : 27 cm. P : 20 cm. Avec son piétement : H : 92 cm. L : 49 cm. P : 28, 5 cm. Provenance : - Joséphine, Impératrice des Français. - Succession des biens de M. PIERLOT Louis, intendant de l'Impératrice Joséphine de 1810 à 1814 et de sa fille Hortense. (La copie des actes notariés de sa succession, inventaires de 1833 et 1851, était présentée lors de son dernier passage en vente aux enchères en 2013). - Hôtel des ventes de Fontainebleau, Osenat, 9 juin 2013, lot 146. Oeuvre en rapport : - Un modèle très proche de ce coffret fait partie des collections du Musée du Château de Malmaison. Sans plaque de Wedgwood mais orné d'un décor en acier plus sophistiqué, l'intérieur diffère par sa fonction à la fois d'écritoire et de serre-bijoux. C'est la première femme de chambre qui veillait sur l'écrin de l'impératrice et en conservait la clé. Il renfermait les diamants, les camées et les innombrables parures en pierres précieuses qui accompagnaient les toilettes de Joséphine. Il est signé de BIENNAIS, orfèvre du Premier Consul. Ses dimensions sont très proches : 94 × 49 × 32 cm. Le chiffre de Joséphine : "J B " est gravé sur la plaque cachant la serrure. Les pièces métalliques du décor, très proches des nôtres, sont attribuées à Reynard SCHEY. L'aménagement intérieur par BIENNAIS a probablement été réalisé postérieurement, sur la demande de l'Impératrice. Nota : Sur notre coffret, la pièce métallique masquant l'entrée de la serrure à secret était accidentée, le coffret ayant été forcé, elle a été remplacée postérieurement. Cette pièce est rectangulaire, en acier poli et pointes de diamant, monogrammée au centre : " J B ", au modèle du coffret de La Malmaison. Biographies : Joséphine Marie Josèphe Rose de TASCHER de la PAGERIE (1763-1814) : Veuve du Vicomte de BEAUHARNAIS dont elle eut deux enfants, Hortense et Eugène, elle épouse le général BONAPARTE en secondes noces, le 9 mars 1796 à Paris ; elle devient Impératrice des Français, le 18 mai 1804. Ne pouvant avoir d'enfant, elle est répudiée et le divorce est prononcé le 15 décembre 1809. Elle prend froid au cours d'une promenade avec le Tzar Alexandre de Russie, au Château de Malmaison, et décède le 29 mai 1814. Par les six enfants de son fils Eugène et de la Princesse Auguste Amélie de Bavière, elle est l'ancêtre de presque toutes les familles souveraines existant encore de nos jours. Louis PIERLOT (1765-1826), régent de la banque de France. Ce fils de petit cultivateur luxembourgeois, venu tôt à Paris, était, en 1789, employé dans les fermes du Roi et, sous la Révolution, fit sa fortune grâce au banquier DOYEN. Receveur général à Troyes, il entra au Conseil de Régence de la Banque de France, le 17 octobre 1806. Il ne se contentait pas de sa recette générale, participant largement aux fournitures des lits militaires, étant intendant de Joséphine, après son divorce, et aussi de la Reine Hortense. Ayant voulu soutenir son ancien bienfaiteur DOYEN, pendant la crise de 1811, PIERLOT s'effondra quelques jours avant lui. So

Auktionsarchiv: Los-Nr. 251
Auktion:
Datum:
10.03.2017
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