MAROT (Clément). Les Œuvres. Lyon, Guillaume Rouillé, 1553. 2 parties en un volume in-16, maroquin rouge, triple filet doré, dos orné aux petits fers, coupes ornées, doublures de maroquin rouge ornées d'une dentelle dorée, tranches dorées sur marbrure (Reliure du XVIIe siècle). Rare et belle édition des œuvres de Marot, la cinquième publiée par le libraire lyonnais Guillaume Rouillé. La seconde partie, sous pagination et titre séparés, contient les traductions de Virgile, d'Ovide, de Pétrarque, des Psaumes, etc., données par le poète. Imprimée avec soin dans les caractères italiques de Jean Ausoult, l'édition comporte la marque typographique de Guillaume Rouillé sur le titre de chaque partie. Une suite de quarante-cinq vignettes gravées sur bois de Pierre Eskrich dit Pierre Vase, illustre la traduction des Métamorphoses d'Ovide. Cette illustration avait déjà connu deux tirages dans l'officine de Guillaume Rouillé, mais elle avait aussi été employée par Macé Bonhomme dans l'Imagination poétique de Barthélémy Aneau, qui fut imprimée à deux reprises, en latin et en français, au cours de l'année 1552. Bel exemplaire réglé en maroquin doublé du xviie siècle. Des bibliothèques H. Grandjean et Georges Pompidou, avec ex-libris. Coin inférieur du titre restauré, minimes réparations marginales aux feuillets b3 et D3. Baudrier, IX, 209 – Brunet, III, 1456.
MAROT (Clément). Les Œuvres. Lyon, Guillaume Rouillé, 1553. 2 parties en un volume in-16, maroquin rouge, triple filet doré, dos orné aux petits fers, coupes ornées, doublures de maroquin rouge ornées d'une dentelle dorée, tranches dorées sur marbrure (Reliure du XVIIe siècle). Rare et belle édition des œuvres de Marot, la cinquième publiée par le libraire lyonnais Guillaume Rouillé. La seconde partie, sous pagination et titre séparés, contient les traductions de Virgile, d'Ovide, de Pétrarque, des Psaumes, etc., données par le poète. Imprimée avec soin dans les caractères italiques de Jean Ausoult, l'édition comporte la marque typographique de Guillaume Rouillé sur le titre de chaque partie. Une suite de quarante-cinq vignettes gravées sur bois de Pierre Eskrich dit Pierre Vase, illustre la traduction des Métamorphoses d'Ovide. Cette illustration avait déjà connu deux tirages dans l'officine de Guillaume Rouillé, mais elle avait aussi été employée par Macé Bonhomme dans l'Imagination poétique de Barthélémy Aneau, qui fut imprimée à deux reprises, en latin et en français, au cours de l'année 1552. Bel exemplaire réglé en maroquin doublé du xviie siècle. Des bibliothèques H. Grandjean et Georges Pompidou, avec ex-libris. Coin inférieur du titre restauré, minimes réparations marginales aux feuillets b3 et D3. Baudrier, IX, 209 – Brunet, III, 1456.
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