Louis BOUILHET (1822-1869) poète, ami de Flaubert. 7 L.A.S., la plupart de Mantes 1857-1868 ; 11 pages in-8, une enveloppe (portrait joint). Paris 21 janvier 1857, à une dame, dont il accepte l’invitation... Mantes 22 mai 1859, à M. Bourdillat, à la Librairie nouvelle : « Mon ami Gustave Flaubert m’a fait un grand plaisir en m’apprenant que vous consentiez, pour mon volume de vers, à la suppression de tout titre banal, et que vous adoptiez le simple titre de Poësies qui est le meilleur et le plus intelligent de beaucoup »... 21 novembre 1859 : « Je termine une longue machine de théâtre – dans quinze jours, j’aurai commencé mes répétitions, et, alors, je serai trop heureux de revenir complètement à la poësie et à la Revue contemporaine. Je voudrais pouvoir vous donner une chose de longue haleine »... 20 août 1861, à Eugène Crépet. Félicitations renouvelées pour ses Poètes français et nouvelles de son drame espagnol au Théâtre Français. « Maintenant je prépare une grande, grande machine pour la Porte-Saint-Martin. Je suis assez d’accord avec Fournier pour le plan général »... 6 janvier 1862, à Étienne Carjat. Félicitations pour Le Boulevard, « et les charmantes choses qu’on y trouve. Vous avez le crayon, vous avez la plume – les deux rames du succès – bon voyage ! »... 1er novembre 1863, à une « grande artiste ». Il a peur que Fournier n’ait pris des engagements avec Mlle Périga : « il faut donc parer le coup, au plus vite »... Rouen 13 septembre 1868, à un ami : rendez-vous à l’Odéon...
Louis BOUILHET (1822-1869) poète, ami de Flaubert. 7 L.A.S., la plupart de Mantes 1857-1868 ; 11 pages in-8, une enveloppe (portrait joint). Paris 21 janvier 1857, à une dame, dont il accepte l’invitation... Mantes 22 mai 1859, à M. Bourdillat, à la Librairie nouvelle : « Mon ami Gustave Flaubert m’a fait un grand plaisir en m’apprenant que vous consentiez, pour mon volume de vers, à la suppression de tout titre banal, et que vous adoptiez le simple titre de Poësies qui est le meilleur et le plus intelligent de beaucoup »... 21 novembre 1859 : « Je termine une longue machine de théâtre – dans quinze jours, j’aurai commencé mes répétitions, et, alors, je serai trop heureux de revenir complètement à la poësie et à la Revue contemporaine. Je voudrais pouvoir vous donner une chose de longue haleine »... 20 août 1861, à Eugène Crépet. Félicitations renouvelées pour ses Poètes français et nouvelles de son drame espagnol au Théâtre Français. « Maintenant je prépare une grande, grande machine pour la Porte-Saint-Martin. Je suis assez d’accord avec Fournier pour le plan général »... 6 janvier 1862, à Étienne Carjat. Félicitations pour Le Boulevard, « et les charmantes choses qu’on y trouve. Vous avez le crayon, vous avez la plume – les deux rames du succès – bon voyage ! »... 1er novembre 1863, à une « grande artiste ». Il a peur que Fournier n’ait pris des engagements avec Mlle Périga : « il faut donc parer le coup, au plus vite »... Rouen 13 septembre 1868, à un ami : rendez-vous à l’Odéon...
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