Lettre autographe signée de CLEMENCEAU CLEMENCEAU (Georges). L.A.S. ""le maire du 18e arrondissement, G Clemenceau"", slnd (1870), sur papier à entête ""Département de la Seine - Ville de Paris - 18e arrondissement - Mairie de la Butte-Montmartre"" : ""Je soussigné maire du 18e arr[ondissemen]t déclare, qu'après entente avec la Mairie de Paris, il a été convenu que les bataillons du 18e arr[ondissemen]t seraient équipés à l'hôtel de ville"". Très rare pièce, surtout autographe et signée, du jeune docteur Clémenceau, maire de Montmartre au tout début de la IIIe République et sous la Commune : il est nommé à ce poste le 5 septembre 1870 par l'ami de son père et nouveau maire de Paris Etienne Arago. Egalement député de Paris, il refuse l'armistice de 1871 et quitte l'Assemblée. Proche de Louise Michel et d'Auguste Blanqui (qu'il avait rencontré en prison), il ne rallie pas pour autant la Commune. Impuissant en 1871 à empêcher l'assassinat de 2 généraux par les Communards puis la répression sanglante d'Adolphe Thiers qui s'en suivit, il défendra l'amnistie des Communards, en 1876 alors qu'il est à nouveau député du XVIIIe arrondissement.
CLEMENCEAU (Georges). L.A.S. ""le maire du 18e arrondissement, G Clemenceau"", slnd (1870), sur papier à entête ""Département de la Seine - Ville de Paris - 18e arrondissement - Mairie de la Butte-Montmartre"" : ""Je soussigné maire du 18e arr[ondissemen]t déclare, qu'après entente avec la Mairie de Paris, il a été convenu que les bataillons du 18e arr[ondissemen]t seraient équipés à l'hôtel de ville"". Très rare pièce, surtout autographe et signée, du jeune docteur Clémenceau, maire de Montmartre au tout début de la IIIe République et sous la Commune : il est nommé à ce poste le 5 septembre 1870 par l'ami de son père et nouveau maire de Paris Etienne Arago. Egalement député de Paris, il refuse l'armistice de 1871 et quitte l'Assemblée. Proche de Louise Michel et d'Auguste Blanqui (qu'il avait rencontré en prison), il ne rallie pas pour autant la Commune. Impuissant en 1871 à empêcher l'assassinat de 2 généraux par les Communards puis la répression sanglante d'Adolphe Thiers qui s'en suivit, il défendra l'amnistie des Communards, en 1876 alors qu'il est à nouveau député du XVIIIe arrondissement.
Lettre autographe signée de CLEMENCEAU CLEMENCEAU (Georges). L.A.S. ""le maire du 18e arrondissement, G Clemenceau"", slnd (1870), sur papier à entête ""Département de la Seine - Ville de Paris - 18e arrondissement - Mairie de la Butte-Montmartre"" : ""Je soussigné maire du 18e arr[ondissemen]t déclare, qu'après entente avec la Mairie de Paris, il a été convenu que les bataillons du 18e arr[ondissemen]t seraient équipés à l'hôtel de ville"". Très rare pièce, surtout autographe et signée, du jeune docteur Clémenceau, maire de Montmartre au tout début de la IIIe République et sous la Commune : il est nommé à ce poste le 5 septembre 1870 par l'ami de son père et nouveau maire de Paris Etienne Arago. Egalement député de Paris, il refuse l'armistice de 1871 et quitte l'Assemblée. Proche de Louise Michel et d'Auguste Blanqui (qu'il avait rencontré en prison), il ne rallie pas pour autant la Commune. Impuissant en 1871 à empêcher l'assassinat de 2 généraux par les Communards puis la répression sanglante d'Adolphe Thiers qui s'en suivit, il défendra l'amnistie des Communards, en 1876 alors qu'il est à nouveau député du XVIIIe arrondissement.
CLEMENCEAU (Georges). L.A.S. ""le maire du 18e arrondissement, G Clemenceau"", slnd (1870), sur papier à entête ""Département de la Seine - Ville de Paris - 18e arrondissement - Mairie de la Butte-Montmartre"" : ""Je soussigné maire du 18e arr[ondissemen]t déclare, qu'après entente avec la Mairie de Paris, il a été convenu que les bataillons du 18e arr[ondissemen]t seraient équipés à l'hôtel de ville"". Très rare pièce, surtout autographe et signée, du jeune docteur Clémenceau, maire de Montmartre au tout début de la IIIe République et sous la Commune : il est nommé à ce poste le 5 septembre 1870 par l'ami de son père et nouveau maire de Paris Etienne Arago. Egalement député de Paris, il refuse l'armistice de 1871 et quitte l'Assemblée. Proche de Louise Michel et d'Auguste Blanqui (qu'il avait rencontré en prison), il ne rallie pas pour autant la Commune. Impuissant en 1871 à empêcher l'assassinat de 2 généraux par les Communards puis la répression sanglante d'Adolphe Thiers qui s'en suivit, il défendra l'amnistie des Communards, en 1876 alors qu'il est à nouveau député du XVIIIe arrondissement.
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