Les OEuvres poétiques de Jacques Peletier du Mans. Moins, et meilleur. A Paris, de l’impr. de Michel de Vascosan, 1547. In-8, caract. ital., maroq. rouge jans., dent. intér., tr. dor. (Chambolle-Duru). ÉDITION ORIGINALE qui, outre les traductions en vers du Premier et du Second livre de l’Odyssée, du Premier livre des Géorgiques, etc…, contient Vers lyriques de l’invention de l’auteur, des odes, épîtres, sonnets,…, qui sont facilement écrits et ne manquent pas d’agrément. Ces poèmes expriment « avec un sens réel de l’art de sincères impressions personnelles. Ce n’est pas un des moindres mérites de l’auteur que d’avoir été sur bien des points un précurseur de la Pléiade et d’avoir dès 1547, servi de trait d’union entre Ronsard et Du Bellay » (H. Chamard). On trouve au verso du ff. 79 et ff. 80 une « Ode de Pierre de Ronsard à Jacques Peletier, Des beautez qu’il voudrait en s’Amie » qui est la première oeuvre de Ronsard imprimée, ayant sa place dans toute collection ronsardienne. Au verso du ff. 103 un dixain de J. Du Bellay, non recueilli dans ses oeuvres. Tchemerzine (t. IX, p. 147) annonce : « ce recueil est fort rare ». Très bel exemplaire, grand de marges (Haut. 160 mm.).
Les OEuvres poétiques de Jacques Peletier du Mans. Moins, et meilleur. A Paris, de l’impr. de Michel de Vascosan, 1547. In-8, caract. ital., maroq. rouge jans., dent. intér., tr. dor. (Chambolle-Duru). ÉDITION ORIGINALE qui, outre les traductions en vers du Premier et du Second livre de l’Odyssée, du Premier livre des Géorgiques, etc…, contient Vers lyriques de l’invention de l’auteur, des odes, épîtres, sonnets,…, qui sont facilement écrits et ne manquent pas d’agrément. Ces poèmes expriment « avec un sens réel de l’art de sincères impressions personnelles. Ce n’est pas un des moindres mérites de l’auteur que d’avoir été sur bien des points un précurseur de la Pléiade et d’avoir dès 1547, servi de trait d’union entre Ronsard et Du Bellay » (H. Chamard). On trouve au verso du ff. 79 et ff. 80 une « Ode de Pierre de Ronsard à Jacques Peletier, Des beautez qu’il voudrait en s’Amie » qui est la première oeuvre de Ronsard imprimée, ayant sa place dans toute collection ronsardienne. Au verso du ff. 103 un dixain de J. Du Bellay, non recueilli dans ses oeuvres. Tchemerzine (t. IX, p. 147) annonce : « ce recueil est fort rare ». Très bel exemplaire, grand de marges (Haut. 160 mm.).
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