L'éducation, 1897 Lithographie en couleurs originale symboliste rehaussée à l'encre bronze doré 56 x 44,2 cm à la marge Signé en bas à gauche au crayon Marcel Lenoir numérotée en bas à droite 123/175. Annoté au dos Arnould Editeur 7 rue Racine Paris 1897 Nous remercions Madame Marie Ange Namy de nous avoir confirmé l'authenticité de cette œuvre. L’éducation est une enluminure imaginée en 1897, dont il subsiste une lithographie polychrome, réhaussée à l’encre bronze doré. Au chœur d’une église lugubre, se déroule une cérémonie de magie noire. Le chœur de l’église est éclairé par des vitraux figurant des aigles bicéphales bleus sur fond rouge, ainsi que par la faible lueur bleue de torchères crachées par des démons, eux-mêmes surmontés d’être féminins ailés, angéliques, présentant des offrandes, des fleurs, des roses ainsi que des oiseaux, des rapaces. Une sorcière effrayante, à la chair verte, comme en putréfaction, ornée d’une parure d’or et de rubis, un casque sur la tête d’où retombe une croix sur le front ainsi qu’un bijou couvrant son pectoral, perce avec ses ongles le cœur de l’homme, le sacré cœur, le cœur ailé, entouré d’étoiles, dont le sang s’écoule dans une vasque orfévrée où un vautour s’abreuve, elle est la dévoreuse de charogne, assoiffée de sang. La sorcière enseigne ses maléfices à une jeune vierge, vêtue de bleu, à la chevelure rose, tenant un lys, baignant dans le sang, elle est l’image de la communiante et de la Vierge Marie, le lys incarne la pureté du Christ. La Vierge succombe à l’envie du philtre et s’apprête à dévorer le corps du Christ métamorphosé en offrande sacrificielle. Un drapé entoure la vasque, où se déploient les yeux de la connaissance maçonnique. Cette œuvre reçoit un dessin d’une finesse extrême.
L'éducation, 1897 Lithographie en couleurs originale symboliste rehaussée à l'encre bronze doré 56 x 44,2 cm à la marge Signé en bas à gauche au crayon Marcel Lenoir numérotée en bas à droite 123/175. Annoté au dos Arnould Editeur 7 rue Racine Paris 1897 Nous remercions Madame Marie Ange Namy de nous avoir confirmé l'authenticité de cette œuvre. L’éducation est une enluminure imaginée en 1897, dont il subsiste une lithographie polychrome, réhaussée à l’encre bronze doré. Au chœur d’une église lugubre, se déroule une cérémonie de magie noire. Le chœur de l’église est éclairé par des vitraux figurant des aigles bicéphales bleus sur fond rouge, ainsi que par la faible lueur bleue de torchères crachées par des démons, eux-mêmes surmontés d’être féminins ailés, angéliques, présentant des offrandes, des fleurs, des roses ainsi que des oiseaux, des rapaces. Une sorcière effrayante, à la chair verte, comme en putréfaction, ornée d’une parure d’or et de rubis, un casque sur la tête d’où retombe une croix sur le front ainsi qu’un bijou couvrant son pectoral, perce avec ses ongles le cœur de l’homme, le sacré cœur, le cœur ailé, entouré d’étoiles, dont le sang s’écoule dans une vasque orfévrée où un vautour s’abreuve, elle est la dévoreuse de charogne, assoiffée de sang. La sorcière enseigne ses maléfices à une jeune vierge, vêtue de bleu, à la chevelure rose, tenant un lys, baignant dans le sang, elle est l’image de la communiante et de la Vierge Marie, le lys incarne la pureté du Christ. La Vierge succombe à l’envie du philtre et s’apprête à dévorer le corps du Christ métamorphosé en offrande sacrificielle. Un drapé entoure la vasque, où se déploient les yeux de la connaissance maçonnique. Cette œuvre reçoit un dessin d’une finesse extrême.
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