Jean-Baptiste ISABEY (1767-1855). L’impératrice Joséphine, en buste de ¾ face, en robe de mousseline blanche et châle écarlate, portant un diadème en camée. Ravissante miniature octogonale signée en bas à droite. Sous verre. Dans un cadre octogonal ourlé, surélevé d’un liseré d’émail bleu (léger éclat vers le bas à droite). Miniature : 70 x 31 mm. Avec cadre : 81 x 42 mm. B.E. Epoque Consulat – Début de l’Empire. Provenance : -Lebeuf de Montgermont collection, Galerie Georges Petit, Paris, 30 mai 1891, lot 98. -Jean Dollfus collection, Galerie Georges Petit Paris, 20-21 mai 1912, lot 153. -Hôtel Drouot, Paris, 28 mai 1973, lot 85. Exposition : Paris exposition du centenaire, 1900. Bibliographie : J. Boissieux, « Gages d’amour, les miniatures », 1977, n°153-154, illustré en couleurs sur la page de couverture et p. 28 Historique : Cette représentation de Joséphine est rare car précoce. La future impératrice est habillée avec une grande sobriété et il est à noter que l’Impératrice paraît porter le même diadème représenté sur le portrait du Baron Gérard daté de 1801 (conservé au Musée de l’Ermitage).
Jean-Baptiste ISABEY (1767-1855). L’impératrice Joséphine, en buste de ¾ face, en robe de mousseline blanche et châle écarlate, portant un diadème en camée. Ravissante miniature octogonale signée en bas à droite. Sous verre. Dans un cadre octogonal ourlé, surélevé d’un liseré d’émail bleu (léger éclat vers le bas à droite). Miniature : 70 x 31 mm. Avec cadre : 81 x 42 mm. B.E. Epoque Consulat – Début de l’Empire. Provenance : -Lebeuf de Montgermont collection, Galerie Georges Petit, Paris, 30 mai 1891, lot 98. -Jean Dollfus collection, Galerie Georges Petit Paris, 20-21 mai 1912, lot 153. -Hôtel Drouot, Paris, 28 mai 1973, lot 85. Exposition : Paris exposition du centenaire, 1900. Bibliographie : J. Boissieux, « Gages d’amour, les miniatures », 1977, n°153-154, illustré en couleurs sur la page de couverture et p. 28 Historique : Cette représentation de Joséphine est rare car précoce. La future impératrice est habillée avec une grande sobriété et il est à noter que l’Impératrice paraît porter le même diadème représenté sur le portrait du Baron Gérard daté de 1801 (conservé au Musée de l’Ermitage).
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