IONESCO (Irina) et ROBBE-GRILLET (Alain). Temple aux miroirs. P., Seghers, 1977, 4°, reliure éditeur, jaquette illustrée et argentée. Illustré de plus de 80 photos de nus d'Irina Ionesco. Edit. orig. D'origine roumaine, Irina Ionesco (Paris, °1935) s'intéresse à la photographie à partir de 1964, lorsqu'elle reçoit des mains du peintre Corneille (avec qui elle vivra une dizaine d'années) son premier appareil photo. Elle entame alors une importante série de portraits érotiques en noir et blanc. En 1974, ses photographies sont présentées à la Nikon Gallery à Paris et connaissent un succès exceptionnel. Elles représentent essentiellement des femmes posant à demi-nues, maquillées et vêtues de tenues et d'accessoires hautement extravagants. Parmi ses modèles a longtemps figuré sa jeune fille Eva, dont les nus photographiques sont aujourd'hui encore fortement controversés (cfr "Eva" par Simon Liberati édité chez Stock en 2015). Entre 2000 et 2012, Irina Ionesco est aussi photographe de mode pour Vogue, Stiletto ou encore Givenchy. Qu'il s'agisse de femmes nues ou de yakusas, ses photographies recèlent un pouvoir hypnotique, exprimant l'ambivalence de la séduction.
IONESCO (Irina) et ROBBE-GRILLET (Alain). Temple aux miroirs. P., Seghers, 1977, 4°, reliure éditeur, jaquette illustrée et argentée. Illustré de plus de 80 photos de nus d'Irina Ionesco. Edit. orig. D'origine roumaine, Irina Ionesco (Paris, °1935) s'intéresse à la photographie à partir de 1964, lorsqu'elle reçoit des mains du peintre Corneille (avec qui elle vivra une dizaine d'années) son premier appareil photo. Elle entame alors une importante série de portraits érotiques en noir et blanc. En 1974, ses photographies sont présentées à la Nikon Gallery à Paris et connaissent un succès exceptionnel. Elles représentent essentiellement des femmes posant à demi-nues, maquillées et vêtues de tenues et d'accessoires hautement extravagants. Parmi ses modèles a longtemps figuré sa jeune fille Eva, dont les nus photographiques sont aujourd'hui encore fortement controversés (cfr "Eva" par Simon Liberati édité chez Stock en 2015). Entre 2000 et 2012, Irina Ionesco est aussi photographe de mode pour Vogue, Stiletto ou encore Givenchy. Qu'il s'agisse de femmes nues ou de yakusas, ses photographies recèlent un pouvoir hypnotique, exprimant l'ambivalence de la séduction.
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