*Henry MILLER (1891-1980). 3 L.A.S., 1939-1940, à Conrad MORICAND, et 2 L.A.S. à Théophile BRIANT, 1955 : 3 pages in-12 sur cartes postales, et 2 pages in-fol., adresses ; en français. BEL ENSEMBLE SUR CONRAD MORICAND, et la rédaction du chapitre qui le concerne dans le roman Big Sur et les Oranges de Jérôme Bosch. [C’est en 1936 qu’Anaïs Nin présente l’astrologue Conrad Moricand à Henry Miller qui découvre alors un personnage bohème et fascinant.] Corinthe 24 décembre [1939], sur son séjour en Grèce : « J’avais de la veine d’être invité par les Durrells » ; Tripoli sous la neige, avant Sparte : « Chemin merveilleux. Chez les Cyclopéens »… [New York] 1er avril 1940 : « Pas assez dit dans ma lettre de ce même jour de l’exactitude merveilleuse de votre image potentielle de Katsimbalis que je prétends de connaître au fond »… 27 décembre, séjour à Londres, invité par son éditeur W.T. Symons : « Je trouve Londres magnifique cette fois-ci – doux, charmant, sympathique – surtout les gens. La vraie politesse »… Big Sur 2 août 1955. Travaillant à son prochain livre, Miller demande au poète breton Théophile Briant : « Il y aura un longue chapitre sur Conrad Moricand – au fait, je l’ai moitié achevé déjà mais je ne trouve pas l’heure, date et lieu de naissance de Moricand. Pouvez-vous me les donner ? »… 29 septembre, il a bouclé la rédaction du chapitre sur Moricand : « Je ne crois pas que tout ce que je dis à propos Moricand vous plaira. J’ai essayé d’être juste. N’oubliez pas que chacun se montre un côté différent à l’autre. Ils se sont passées des choses presque incroyables – entre nous deux. Le bon et le mauvais. Parfois, il me semble que le portrait que j’ai donné est Goyesque »...
*Henry MILLER (1891-1980). 3 L.A.S., 1939-1940, à Conrad MORICAND, et 2 L.A.S. à Théophile BRIANT, 1955 : 3 pages in-12 sur cartes postales, et 2 pages in-fol., adresses ; en français. BEL ENSEMBLE SUR CONRAD MORICAND, et la rédaction du chapitre qui le concerne dans le roman Big Sur et les Oranges de Jérôme Bosch. [C’est en 1936 qu’Anaïs Nin présente l’astrologue Conrad Moricand à Henry Miller qui découvre alors un personnage bohème et fascinant.] Corinthe 24 décembre [1939], sur son séjour en Grèce : « J’avais de la veine d’être invité par les Durrells » ; Tripoli sous la neige, avant Sparte : « Chemin merveilleux. Chez les Cyclopéens »… [New York] 1er avril 1940 : « Pas assez dit dans ma lettre de ce même jour de l’exactitude merveilleuse de votre image potentielle de Katsimbalis que je prétends de connaître au fond »… 27 décembre, séjour à Londres, invité par son éditeur W.T. Symons : « Je trouve Londres magnifique cette fois-ci – doux, charmant, sympathique – surtout les gens. La vraie politesse »… Big Sur 2 août 1955. Travaillant à son prochain livre, Miller demande au poète breton Théophile Briant : « Il y aura un longue chapitre sur Conrad Moricand – au fait, je l’ai moitié achevé déjà mais je ne trouve pas l’heure, date et lieu de naissance de Moricand. Pouvez-vous me les donner ? »… 29 septembre, il a bouclé la rédaction du chapitre sur Moricand : « Je ne crois pas que tout ce que je dis à propos Moricand vous plaira. J’ai essayé d’être juste. N’oubliez pas que chacun se montre un côté différent à l’autre. Ils se sont passées des choses presque incroyables – entre nous deux. Le bon et le mauvais. Parfois, il me semble que le portrait que j’ai donné est Goyesque »...
Testen Sie LotSearch und seine Premium-Features 7 Tage - ohne Kosten!
Lassen Sie sich automatisch über neue Objekte in kommenden Auktionen benachrichtigen.
Suchauftrag anlegen