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Auktionsarchiv: Los-Nr. 67

GHIBLI 4.7 #1972 Caractéristiques

Schätzpreis
210.000 € - 250.000 €
ca. 259.515 $ - 308.947 $
Zuschlagspreis:
250.000 €
ca. 308.947 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 67

GHIBLI 4.7 #1972 Caractéristiques

Schätzpreis
210.000 € - 250.000 €
ca. 259.515 $ - 308.947 $
Zuschlagspreis:
250.000 €
ca. 308.947 $
Beschreibung:

GHIBLI 4.7 #1972 Caractéristiques techniques Marque Maserati Modèle Ghibli Carrosserie coupé, 2 places Moteur avant, 8 cylindres en V Cylindrée 4 718 cm³ Puissance 340 ch Vitesse maximale 280 km/h Production 1 149 exemplaires Kilométrage 27 806 km Numéro de série AM115*388 L'année 1966 fut indéniablement une année faste pour le style italien. Plusieurs créations majeures dans le domaine des Grand Tourisme de série virent le jour au cours de cette année-là, à commencer par la Lamborghini Miura au Salon de Genève en mars (oublions la trop classique Ferrari 330 GTC), suivi de la De Tomaso Mangusta et de la Maserati Ghibli au salon de Turin en novembre. Dessinée par Giorgetto Giugiaro pour la Carrozzeria Ghia et baptisé du nom d'un vent du Sahara, la Maserati Ghibli fait incontestablement partie des plus belles voitures du monde. Les inconditionnels ont encore en mémoire l'extraordinaire (et longue) scène du film La Piscine (Jacques Deray, 1969) où Maurice Ronet fait les honneurs de sa magnifique Ghibli bordeaux à Alain Delon. Elle a fait ses débuts au Salon de Turin en novembre 1966. Avec une vitesse maximale en ligne droite qui frôle les 275 km/h, c'est une concurrente directe de la Ferrari Daytona qui partage son architecture à moteur avant. La Ghibli affiche cependant une apparence plus cossue et la dépasse en termes de prix et, pour beaucoup aussi, en termes de beauté. En revanche, la Miura, dessinée par Marcello Gandini avec laquelle elle se disputait justement le prix de plus belle voiture de l'année à l'époque, ne pouvait pas lui être opposée avec son architecture à moteur central et son confort bien plus spartiate. Pour une stricte deux places, la Ghibli avec plus de 4,50 m de long et 1,80 m de large occupait une importante surface au sol, mais sa dimension la plus frappante était sa hauteur de seulement 1,16 m. On avait opté pour une lubrification par carter sec qui avait permis d'installer le moteur très bas dans le châssis et d'abaisser ainsi le centre de gravité, ce qui avait également permis une ligne de capot particulièrement plate. La ligne fastback descendait depuis le haut du pare-brise jusqu'à l'arrière tronqué. La découpe de la vitre de custode reprise par une échancrure abritant une trappe de remplissage dans le panneau de custode, soulignant le passage de roue arrière était un trait de génie. Comme sa contemporaine Mexico 2 +2, la Ghibli reposait sur le châssis tubulaire de la berline Quattroporte raccourci (2,55 m au lieu de 2,75 m) à essieu arrière rigide. Son V8 à quatre arbres à cames en tête remontait au bloc des 450 S de compétition, qui avait été civilisé pour la 5000 GT à la fin des années 1950. Il affichait une cylindrée de 4 718 cm³ (93,9 x 89 mm) pour une puissance de 340 ch qui donnait une vitesse de pointe de près de 280 km/h ! Le couple phénoménal du V8 faisait de la Ghibli une des GT les plus dociles et les plus faciles à conduire de son époque. En octobre 1968, un magnifique spider en fut dérivé dont il ne fut construit que 125 exemplaires. En 1970, le V8 fut porté à 4,9 litres sur les Ghibli SS, afin de répondre aux exigences des nouvelles réglementations sur les émissions de plus en plus contraignantes, notamment aux États-Unis, sans perdre trop de puissance. La production prit fin en 1973 après un total de 1 149 exemplaires du coupé toutes versions confondues. Cette Maserati Ghibli de 1972 d'origine française à numéros concordants (AM115*388) a été restaurée il y a environ une dizaine d'années. De couleur gris métal avec intérieur en cuir rouge (une livrée qui n'est pas d'origine), la carrosserie présente un aspect encore flatteur, mais avec des traces d'usage. Son moteur a été restauré très récemment et se trouve encore en rodage, à tel point qu'il faudra prévoir le resserrement des culasses dans 2 000 km, comme préconisé par le constructeur. La voiture possède son certificat d'origine Maserati classiche daté de 2017. Ce modèle qui n'en finit pas de voir sa cote monter mériterait une nouv

Auktionsarchiv: Los-Nr. 67
Auktion:
Datum:
25.03.2018
Auktionshaus:
LECLERE - Auction Houses
Avignon Motor Festival, Chemin des Félons 84140 Avignon
Beschreibung:

GHIBLI 4.7 #1972 Caractéristiques techniques Marque Maserati Modèle Ghibli Carrosserie coupé, 2 places Moteur avant, 8 cylindres en V Cylindrée 4 718 cm³ Puissance 340 ch Vitesse maximale 280 km/h Production 1 149 exemplaires Kilométrage 27 806 km Numéro de série AM115*388 L'année 1966 fut indéniablement une année faste pour le style italien. Plusieurs créations majeures dans le domaine des Grand Tourisme de série virent le jour au cours de cette année-là, à commencer par la Lamborghini Miura au Salon de Genève en mars (oublions la trop classique Ferrari 330 GTC), suivi de la De Tomaso Mangusta et de la Maserati Ghibli au salon de Turin en novembre. Dessinée par Giorgetto Giugiaro pour la Carrozzeria Ghia et baptisé du nom d'un vent du Sahara, la Maserati Ghibli fait incontestablement partie des plus belles voitures du monde. Les inconditionnels ont encore en mémoire l'extraordinaire (et longue) scène du film La Piscine (Jacques Deray, 1969) où Maurice Ronet fait les honneurs de sa magnifique Ghibli bordeaux à Alain Delon. Elle a fait ses débuts au Salon de Turin en novembre 1966. Avec une vitesse maximale en ligne droite qui frôle les 275 km/h, c'est une concurrente directe de la Ferrari Daytona qui partage son architecture à moteur avant. La Ghibli affiche cependant une apparence plus cossue et la dépasse en termes de prix et, pour beaucoup aussi, en termes de beauté. En revanche, la Miura, dessinée par Marcello Gandini avec laquelle elle se disputait justement le prix de plus belle voiture de l'année à l'époque, ne pouvait pas lui être opposée avec son architecture à moteur central et son confort bien plus spartiate. Pour une stricte deux places, la Ghibli avec plus de 4,50 m de long et 1,80 m de large occupait une importante surface au sol, mais sa dimension la plus frappante était sa hauteur de seulement 1,16 m. On avait opté pour une lubrification par carter sec qui avait permis d'installer le moteur très bas dans le châssis et d'abaisser ainsi le centre de gravité, ce qui avait également permis une ligne de capot particulièrement plate. La ligne fastback descendait depuis le haut du pare-brise jusqu'à l'arrière tronqué. La découpe de la vitre de custode reprise par une échancrure abritant une trappe de remplissage dans le panneau de custode, soulignant le passage de roue arrière était un trait de génie. Comme sa contemporaine Mexico 2 +2, la Ghibli reposait sur le châssis tubulaire de la berline Quattroporte raccourci (2,55 m au lieu de 2,75 m) à essieu arrière rigide. Son V8 à quatre arbres à cames en tête remontait au bloc des 450 S de compétition, qui avait été civilisé pour la 5000 GT à la fin des années 1950. Il affichait une cylindrée de 4 718 cm³ (93,9 x 89 mm) pour une puissance de 340 ch qui donnait une vitesse de pointe de près de 280 km/h ! Le couple phénoménal du V8 faisait de la Ghibli une des GT les plus dociles et les plus faciles à conduire de son époque. En octobre 1968, un magnifique spider en fut dérivé dont il ne fut construit que 125 exemplaires. En 1970, le V8 fut porté à 4,9 litres sur les Ghibli SS, afin de répondre aux exigences des nouvelles réglementations sur les émissions de plus en plus contraignantes, notamment aux États-Unis, sans perdre trop de puissance. La production prit fin en 1973 après un total de 1 149 exemplaires du coupé toutes versions confondues. Cette Maserati Ghibli de 1972 d'origine française à numéros concordants (AM115*388) a été restaurée il y a environ une dizaine d'années. De couleur gris métal avec intérieur en cuir rouge (une livrée qui n'est pas d'origine), la carrosserie présente un aspect encore flatteur, mais avec des traces d'usage. Son moteur a été restauré très récemment et se trouve encore en rodage, à tel point qu'il faudra prévoir le resserrement des culasses dans 2 000 km, comme préconisé par le constructeur. La voiture possède son certificat d'origine Maserati classiche daté de 2017. Ce modèle qui n'en finit pas de voir sa cote monter mériterait une nouv

Auktionsarchiv: Los-Nr. 67
Auktion:
Datum:
25.03.2018
Auktionshaus:
LECLERE - Auction Houses
Avignon Motor Festival, Chemin des Félons 84140 Avignon
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