FOUCHÉ (Joseph). (1759-1820) ministre de la Police. L.A.S. « Le duc d’Otrante », [vers 1818-1820], à Antoine Jay, avocat, à Paris ; 3/4 page in-8, adresse, cachet de cire rouge à ses armes (brisé). Lettre du proscrit à l’ancien précepteur de ses fils, ancien fonctionnaire du ministère de la Police, rédacteur du Constitutionnel. Il le verra avec plaisir à son premier voyage à Paris. « Je vous remercie de la brochure que vous m’avez envoyée, je n’ay ai trouvé qu’une preuve de plus de l’ingratitude des hommes – le misérable qui en est l’auteur me doit sa fortune et la vie. Que gagnera-t-on à rallumer l’esprit de parti ? à faire écraser le million de réacteurs par les 25 millions de français qui ont fait la Révolution. Votre journal est le seul qui défende la raison. Je le lis avec plaisir »…
FOUCHÉ (Joseph). (1759-1820) ministre de la Police. L.A.S. « Le duc d’Otrante », [vers 1818-1820], à Antoine Jay, avocat, à Paris ; 3/4 page in-8, adresse, cachet de cire rouge à ses armes (brisé). Lettre du proscrit à l’ancien précepteur de ses fils, ancien fonctionnaire du ministère de la Police, rédacteur du Constitutionnel. Il le verra avec plaisir à son premier voyage à Paris. « Je vous remercie de la brochure que vous m’avez envoyée, je n’ay ai trouvé qu’une preuve de plus de l’ingratitude des hommes – le misérable qui en est l’auteur me doit sa fortune et la vie. Que gagnera-t-on à rallumer l’esprit de parti ? à faire écraser le million de réacteurs par les 25 millions de français qui ont fait la Révolution. Votre journal est le seul qui défende la raison. Je le lis avec plaisir »…
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